ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — 30 ans, Riker est né à Sainte Mangouste un 7 janvier. PROFESSION — Il a toujours aimé les potions, curieux invétérés qui en a finalement fait son métier au sein de la mafia, allant même jusqu'à innover dans la création de certains produits. De manière plus officielle, il est médicomage (et chercheur en médicomagie) à Sainte Mangouste. NATURE DU SANG — C'est un sang-mêlé, et loin d'en avoir honte, il n'a jamais considéré que cela avait eu une quelconque influence sur la qualité de son intelligence, bien au contraire. Autant dire que c'est un détail qui pour lui n'a pas la moindre importance. BAGUETTE — Faites en bois de noisetier, elle contient en son cœur une moustache de fléreur, mesure 25,27 cm, et est prédisposée aux sortilèges informulés.STATUT MATRIMONIAL — Célibataire, il n'a pour ainsi dire jamais eu de relations durables, mais cela ne veut pas dire qu'il n'a pas de temps à autre des aventures. Mais il considère, contrairement aux désirs de ses parents, qu'il ne se mariera que lorsqu'une femme aura su éveiller en lui les mêmes instincts que pour l'un des membres de sa famille : loyauté, protection, présence. Sans oublier, parallèlement, un désir profond, pugnace, une possessivité à son encontre et une jalousie envers ceux qui pourraient s'aventurer trop près d'elle.  ANCIENNE MAISON — Serdaigle l'a accueilli sans l'ombre d'une hésitation, le choixpeau a su immédiatement combien l'envie de découvrir, cette soif qu'il avait d'apprendre surpassait toutes ses autres qualités ou le moindre de ses défauts.PATRONUS — Il s'agit d'un chien-loup. EPOUVANTARD — Lui-même, emmitouflé dans une camisole, traité de dément, et privé de la moindre possibilité de recherches et de découvertes. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Il possède quelques fines cicatrices causées par quelques erreurs idiotes. PARTICULARITÉ — Animagus American Wolfdog Solid Blue (chien loup bleu américain). GROUPE — BREATH OF LIFE : il s'adapte, soutenant avant tout les intérêts de sa famille, sans soutenir véritablement le moindre camp. Il suffit d'avancer la monnaie pour s'octroyer des produits de la part des McFadey.
   

---

Des années à s'acharner. Des années à pousser ses investigations. Des années à s'épuiser. Il avait laissé le temps charger son obstination de l'impossibilité d'abandonner. A quoi bon ? A rien. Ce n'était rien que l'acharnement dérangé d'un excentrique serdaigle. Celui qui prenait des notes à chaque nouvel échec, qui cherchait désespérément à comprendre ce qui ne fonctionnait pas, ce qui rendait tout ceci si compliqué, si difficile que cela devait en rebuter plus d'un. Mais pas lui, il était tout simplement hors de question que le McFadey rebrousse chemin alors qu'il commençait à comprendre, à saisir les nuances de cet apprentissage, le besoin de visualisation poussé, la façon dont le sortilège devait agir sur les courbes en accord avec l'esprit. Pourtant à la seconde où il y parvint, où ses membres changèrent, où l'obscurité de sa cape noircissait le pelage naissant sur sa chair modifiée, où son regard si bleu fixait son reflet dans la flaque au-dessus de laquelle il surplombait sa nouvelle apparence. Le monde était si différent, presque trop grisant sous la liberté frappante, et l'instinct qui se glissait à travers son esprit. Toutes ces fragrances qui venaient agresser ses narines, le pousser à déraper vers d'autres besoins plus primaires, comme celui de s'abandonner à la sensation de l'herbe sous ses pattes... Il esquissa quelques pas, comme pour vérifier qu'il savait marcher, et ce fut tout naturellement qu'il prit conscience des mouvements graciles de sa nouvelle silhouette. Puis il huma l'air, réaction plus animale qu'humaine, pourtant il se trouvait toujours là, parfaitement conscient et maître de son être. Il huma pourtant l'air qui l'entourait, comme s'il réapprenait la moiteur des bois sur sa langue, la consistance des champignons qu'il devinait un peu plus loin. Ses oreilles s'orientant naturellement en fonction des sons qui lui parvenaient, le laissant aux aguets, à la fois curieux et angoissé de tous ces nouveaux bruits qui dérivaient jusqu'à lui, et auxquels il n'avait jamais prêté attention jusqu'ici. Peut-être parce qu'ils étaient inaudibles, peut-être parce qu'ils ne parvenaient pas à attirer son attention sous sa forme bipède.

Le monde semblait totalement différent de ce point de vue, de cette position plus basse, de ce regard acéré qu'il portait sur ce qui l'entourait. Tout semblait mille fois plus simple, et l'animal chercha à sourire, mais cela ne fit que retrousser ses babines d'une manière plus menaçante qu'autre chose. Il y était enfin arrivé, et il lui semblait qu'enfin, un nombre incalculable de barrière venait de s'écrouler, alors qu'il foulait l'herbe d'un pas rapide, s'enfonçant entre les branches avec indifférence, flairant l'air avec un naturel qu'il ne connaissait pas. Comme si l'instinct de l'animal était venu se greffer au sien, s'entremêler sans qu'il n'y fasse attention. Et il saisissait à cet instant, il comprenait combien cette étape avait été nécessaire avant de parvenir à changer. Sans cette fusion qui ne dévorait en rien la conscience humaine, il était impossible de prendre les traits de l'animal qui se rapprochait au plus de la personnalité qui était la sienne. Le chien-loup pour sa loyauté à sa famille et à sa meute, le flair pour sa débrouillardise, les crocs pour sa possessivité et son instinct de conservation, l'intelligente et la vivacité d'esprit pour ces traits communs entre l'animal et de l'humain. Ils protègent les leurs, mais pas les autres.

Il le comprenait. Il le savourait. Lui qui bénéficiait de l'animal autant que de l'humain sous cette forme canidé. Il avait longtemps été fasciné par les créatures appelées Loup-garous, ces monstres affamés, et autres créatures malsaines des bois méconnues des moldus mais trop intimement incrusté dans l'esprit des sorciers. Il avait désiré comprendre le fonctionnement sans pour autant vouloir devenir l'un d'eux. L'esprit de la science, l'envie d'observer comme un animal, comme un autre. Tout avait démarré de là, de comprendre pourquoi le virus voulait que l'humain disparaisse sous l'effet de la lune, et l'envie d'être celui qui découvrirait comment l'y faire survivre, combattre, ou comme en cet instant, s'entremêler à l'instinct animal, en allant même plus loin pour eux... à l'esprit animal. Pourtant, à cette seconde précise, il avait juste soif de liberté, et sa vitesse ne cessait d'accélérer tandis qu'il slalomait entre les arbres, ses pattes prenant un appui sûr sur le sol. L'instinct animal était là, ancré dans sa poitrine, sans obscurcir ses pensées, mais il s'y laissait aller. Il aurait tout le loisir de réfléchir au reste par la suite, pour l'instant, il ne faisait que savourer, lorsqu'une odeur l'attira.

Incapable de savoir à quoi cela correspondait, il eut simplement faim à cette fragrance qui lui chatouillait les narines. Ralentissant subitement, il suivit la piste jusqu'à apercevoir la fine silhouette d'un lièvre non loin de lui. Sa langue rapeuse glissa sur sa babine, avant de la retrousser, son corps tout entier se tendant alors qu'il se laissait entraîner par les sensations d'être un animal. Après tout, s'il mangeait volontiers du lapin sous forme humaine, pourquoi pas sous forme de chien ? Une odeur de peur vint l'envelopper alors que le rongeur venait de l'apercevoir... Grisante sensation, il s'élança, courant, coupant tout retrait avant que d'un coup de dents il lui arrache la vie. Tout ceci lui paraissait naturel, alors que méthodiquement, il dépeçait sa proie pour commencer à la ronger, ses sens malgré tout toujours aux aguets. Ce fut ainsi qu'il entendit du bruit dans les fourrés, non loin de lui, et un grondement sourd s'esquiva de ses lèvres alors qu'il entendait distinctement la voie de sa sœur. « Tu as entendu ? » demandait-elle à celui dont il ne reconnaissait pas l'odeur. S'avançant à pas de loup, le canidé grisâtre scruta les deux silhouettes qui se détachaient au milieu des bois. Relevant son museau vers le ciel sans trop savoir ce que cela allait donner, il laissa un choulement s'esquiver de sa gorge. Cela oscillait entre le loup et le chien, quelque chose d'intermédiaire, quelque chose de différent, qui laissa le garçon prendre sa sœur par la main en lui proposant de rentrer. Elle était sans doute plus courageuse que lui, mais elle ne le contredit pas tout en le suivant loin des bois alors que le silence retombait, laissant la forêt reprendre ses bruissements habituels. Lapant le coin de sa babine, Riker se détourna d'eux et décida qu'il était temps d'aller observer, de découvrir ses propres limites. D'apprendre.

Question de sciences. Question de liberté. Question de... Il ferait de grandes choses sur le plan scientifique, et cette manière de se métamorphoser l'y aiderait, il en était intimement persuadé. Le vent glissa sur son pelage, et il s'ébroua, avant d'observer ses propres empruntes et d'y fourrer son museau pour découvrir l'odeur qui était la sienne. Puis il rejoignit l'endroit où sa sœur et ce type se trouvaient encore quelques minutes auparavant, pour s'imprégner de la fragrance de Margaery. Il voulait savoir s'il serait capable de la reconnaître par la suite, comment tout fonctionnait... et sa forme l'aiderait peut-être à comprendre ces autres canidés qui l'avaient toujours fasciné, ces monstres affamés et cruels et dont il ne comprenait pas comment l'humain pouvait être totalement annihilé par la créature.

---

La folie imprégnait chaque parcelle du département des urgences de Sainte Mangouste, les blessés de la dernière bataille affluaient dans une pagaille mémorable, et Riker, comme bon nombre de ses collègues, avaient été rappelé. Abandonnant ses activités parallèles, le médicomage examinait une patiente en ignorant ce qu'il se passait à l'extérieur de ces murs, ce qu'il en était de l'affrontement, même si vu les personnes que l'on emmenait ici, il semblait évident de dire que la résistance avait l'avantage. Il réfléchissait, n'ignorant rien qu'un nouveau changement de pouvoir ne pouvait signifier que des choses bénéfiques pour sa famille, puisque ce qu'ils possédaient était on ne pouvait plus crucial pour aider un nouveau monde à renaître de ses cendres. Néanmoins, rien n'était moins sûr, peut-être viendrait-on à reprocher certains détails à sa famille, comme le fait d'avoir honteusement fournit les partisans du Lord, de la même manière que la résistance. L'argument "un client est un client" n'aurait peut-être aucune valeur à leurs yeux, mais il n'était pas question de se proclamer pour l'un des deux camps. Riker n'y avait jamais vu d'utilité, tout comme sa famille à vrai dire, les McFadey suivaient simplement le mouvement, se contentant de prendre une nouvelle respiration et de poursuivre. Tant que l'on ne reprochait pas au faiseur de potion certaine de ses créations et de ses concoctions sous prétexte qu'il les avait conçu, tout irait pour le mieux. Il perdrait la raison s'il ne pouvait plus orchestrer, rechercher, continuer à découvrir de nouvelles vérités. Il ressentait ce besoin qui lui brûlait l'âme jusqu'à la dernière cendre. Mais en cette seconde, c'était la tenue de médicomage qu'il avait revêtue, celle qui lui permettait de donner les soins nécessaires aux différents blessés.

Délaissant la précédente, il s'approcha d'une autre femme qu'une infirmière peinait à maîtriser. « Votre baguette est en train de se refaire une beauté ? » fit-il claquer avec sarcasme, juste après avoir lancé un sort capable de tranquilliser la patiente en question. « Non docteur. » souffla l'intéressée en rougissant légèrement, mais il n'était pas en colère, simplement, il désirait que tout ceci soit réglé au plus vite. « Je suis le docteur McFadey, je vous ai tranquillisée pour que nous puissions déterminer vos blessures. Ne vous inquiétez pas, vous êtes à Sainte Mangouste, comme la plupart de vos camarades j'imagine. Vous ne risquez plus rien. » Le discours bien rôdé s'esquivait de ses lèvres, tandis qu'il posait brièvement une main sur l'épaule de celle qui se trouvait sur le lit, avant d’ausculter les blessures apparentes, puis d'effectuer un sort bref pour déterminer d'autres blessures invisibles.

Il donnait quelques instructions à l'infirmière lorsqu'il entendit... « Riker ! » ... la voix de sa sœur au sein de l'hôpital. Il termina brièvement ce qu'il avait à dire, avant de diriger son regard vers celle qui s'approchait d'un pas vif dans sa direction. Il plissa les yeux tandis qu'il l'observait avec inquiétude à la recherche de la moindre blessure, même s'il ne l'imaginait pas prendre part à tout cela, peut-être se trouvait-elle au ministère lorsque tout s'était produit après tout. « Tu es blessée ? » « Je... non. » « Alors nous parlerons plus tard. » « Riker ! C'est Robb. » Robb ? Robb était à Poudlard, en parfaite sécurité de ce qu'il pouvait savoir. Pourquoi venait-elle lui dire qu'il y avait un problème avec leur frère cadet ? « Comment ça Robb ? » « Ils sont à Poudlard. Voldemort, les mangemorts... ils se sont cachés à Poudlard. » Et ce n'était pas, mais alors pas du tout une bonne nouvelle. Comment serait-il possible de les déloger de l'école ? Oh non, Riker ne prenait pas parti, mais il voulait que son petit frère soit en sécurité. La famille avait toujours compté énormément pour lui, et l'idée de savoir Robb, tout seul, dans ce château avec certains êtres plus cruels et monstrueux que les autres pour certains, ne lui plaisait absolument pas. Naturellement, il prit la main de Margaery pour la serrer brièvement, comme pour lui assurer que tout se passerait bien, mais il n'en savait rien.

---

Une beuglante, voici ce que Margaery venait de lui envoyer, alors qu'il se trouvait dans la boutique d'apothicaire, à la recherche d'ingrédients particuliers. L'odeur rance de la boutique n'était pas des plus agréables, mais elle flottait avec indifférence autour de lui, à l'instant où il l'ouvrit, avec pour unique consigne celle de la rejoindre chez leurs parents, immédiatement. Et le dernier mot semblait pressant, comme une évidence qu'il ne devait pas refuser cette si agréable invitation. Mais il sentait le ton pressant de sa sœur et étant donné son rôle dans l'information des derniers faits divers, il ne faisait aucun doute qu'elle avait appris quelque chose dont elle voulait les informer. Aussi transplana-t-il, dès qu'il eut rejoint la rue, en direction de la demeure familiale et dans laquelle il pénétra avec la nonchalance du canidé en lequel il était capable de se transformer à sa guise. Animal trop semblable à son propre tempérament, il était mille fois plus agréable avec les membres de sa famille et ses amis qu'avec les personnes dont il n'était pas proche. Néanmoins, il eut l'idée d'ouvrir les lèvres alors que le regard inquiet de Margaery venait frapper le sien, qu'il remarquait avec avidité les doigts entremêlés de sa mère et de sa sœur, tandis que son propre père se tenait trop raide, à l'écart dans la pièce.

« Quelqu'un est mort ? » fit-il résonner avec ironie, mais cela n'eut pour effet que de rendre les visages plus graves encore, et la tension de son père plus évidente sous les jointures qui blanchissaient. Quelqu'un était bel et bien mort et personne ne semblait pressé à l'idée d'en parler. Il s'avança dans la pièce, rejoignant Margaery, la responsable de ce silence pesant, la responsable de leurs présences à tous entre ces murs, celle qui devrait desserrer les lèvres pour l'informer. « Qui ? » « Un élève de Poudlard. Un sang mêlé. » Il dût sans doute pâlir, puisqu'elle se précipita pour ajouter. « Pas Robb. Mais ils commencent à envoyer des messages avec des sangs mêlés. Ils ont envoyé une tête... ça aurait pu être Robb. » « Mais ce n'était pas lui. » « Mais... » « Ils n'ont aucun intérêt à s'en prendre à lui, Margaery. Aucun. » Mais cela aurait pu être lui... elle avait entièrement raison. Néanmoins, la famille était une donnée importante pour les McFadey, au pire, Robb pourrait être un moyen de pression. Une fois mort, il n'aurait plus aucune valeur, et Riker en avait conscience tandis qu'il analysait la situation sans un mot. « Il a plus de valeur vivant, et vous le savez tous aussi bien que moi. » Il vit alors son père se dérider et acquiescer à ce qu'il venait de dire... car s'ils n'étaient pas des assassins, ils pourraient bien le devenir si l'on tentait de s'en prendre à un membre de leur famille. Mais Robb n'était pas idiot, il veillerait sans doute à ne pas se faire remarquer, à faire le moins de remous possibles. Pour autant, Riker réfléchissait déjà à un moyen de récupérer son petit frère, de le sortir du piège que pouvait être l'école des sorciers pour le petit dernier de la fratrie. Il trouverait... de la même manière qu'il parviendrait un jour à rendre les lycanthropes maîtres de leur transformation en leur permettant de conserver l'ombre d'une conscience humaine. Parce qu'il avait beau regarder son père, il ne voyait aucune solution dans son regard, aucune réponse, et il en faudrait pourtant une si la situation continuait à devenir si sombre et compliquée.

   

ta plume. tout est fluide et super agréable à lire, j'aime beaucoup. j'ai un peu de peine pour robb, et j'espère qu'il s'en sortira vivant, et j'ai hâte de rp avec toi. .
Félicitations petite chouette, te voici validée ! Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille personnalisée !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillet, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici, et si tu n'as pas le courage de créer un scénario entier, tu peux aller exposer tes semi-liens ici. Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition.