ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Tu as vu le jour un seize août mille neuf cent soixante dix neuf, à Exeter. Tu viens de fêter ton vingt deuxième anniversaire. PROFESSION — Tu travailles au Chaudron Baveur. Tu exécutes toutes les tâches ingrates qui ne nécessite pas l'utilisation de la magie. NATURE DU SANG — Tu es une née moldue, plus vulgairement appelée une Snag de Bourbe. Tu as beaucoup souffert de ce statut. BAGUETTE — Ta baguette était constituée de trente trois centimètre de bois de cerisier, contenant une aile de fée. STATUT MATRIMONIAL — Célibataire au cœur de chewing gum. ANCIENNE MAISON — Ta loyauté, ta tolérance et ton dévouement t'ont envoyé immédiatement dans la maison de Poufsouffle. PATRONUS — Tu es incapable de produire un patronus corporel. Tes souvenirs heureux ne parviennent qu'à créer une brume argentée et informe. EPOUVANTARD — Tu retrouves la caves froides et humides de tes parents. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Des cicatrices invisibles à l'oeil humains, elles déchirent ton cœur sans jamais parvenir à se refermer. GROUPE — à insérer ici

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MON ÂGE — à insérer ici
 MON PAYS — Belgium. Yeahaaaaaa.
 MON AVIS SUR LE FORUM — Une tuerie  
 MON PERSONNAGE — [X] inventé [] prédéfini [] scénario
 MON AVATAR — Britt Robertson
 COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — La publicité bazzart.
 UN DERNIER MOT MAGIQUE — à insérer ici

Perchée en haut des escaliers, tu épies tes parents, ta soeur et cette mystérieuse personne qui a fait éruption dans votre vie. Tu essayes de percevoir des brides de conversation. Tu n'es qu'une môme, tu ne comprends pas grands choses, mais tu as la certitude cette visite inattendue va bouleverser ton existence à tout jamais. Tu croises le regarde de ta sœur aînée. Un regard boursouflé et empli de larmes. Tes parents se cloîtrent dans un silence. Ton paternel scrute ce personnage extravaguant. Il est incapable de proférer le moindre mot, son regard fixe le néant. Il subit cette conversation. Ta mère, elle, semble plus nerveuse. Ses doigts s'agitent sur son vieux chapelet. Elle se risque à quelques regards hasardeux vers le curieux bonhomme qui se tient dans notre salon. Le vieil homme à la barbe argentée ne semble pas se formalisé de leur réaction, il parle davantage à ta sœur. Sa voix est douce, réconfortante et chaleureuse. Il parle de magie. Tu savais, tu avais toujours su. Et dire que tes parents ne te croyaient pas et te réprimandaient à chaque fois que tu essayais de leur parler de cette curieuse petite fée, gardienne de lumière, ayant élu domicile dans ta frigo. Tu te redresses, lentement, tu n'es pas censée être là. Oh Seigneur si t'es parents le découvraient, ils t'enverraient dans ta chambre sans plus attendre pour expier tout ton péché. Combien de fois ta maman t'avait-elle répété que la curiosité était un bien vilain défaut? Sans doute pas suffisamment. Tu descends les marches, une à une, faisant particulièrement au placement de tes pieds pour qu'aucun craquement sonore ne trahisse ta présence. Tu t'immobiles de temps à autres contre le mur, les mains plaquées contre ta bouche, craignant de t'être fait repérée. Tu atteins le couloir. Tu te glisses à quatre pattes jusqu'à la cuisine. La porte du frigo ne t'a jamais paru aussi merveilleuse. Tu t'avances doucement et poses ta main sur la poignée. Tu prends une inspiration profonde et tu ouvres le frigidaire d'un mouvement rapide. Encore raté. La lumière est bel et bien allumée. Tu n'arrives jamais à la surprendre, cette petite fée. Tu t'installes devant la maison glacée, laissant le froid s'en échapper. Je sais que tu es là. Tu te penches dans le frigo pour murmurer doucement. N'aie pas peur. Ce sera notre petit secret. Tu n'as pas le temps de te reculer que la voix de ta mère, bien plus aiguë qu'à l'accoutumé. Debra. Par tous les saints. Que fais-tu? tu te redresses et fermes la porte de la maisonnette qui habrite la fée de lumière. Tu te tournes avec lenteur vers ta mère. Tu découvres, honteuse, que tout les protagonistes du salon te toisent. Même l'étrange bonhomme. Il te semble avoir décelé une lueur amusée dans la profondeur de son regard. Tu baisses les yeux, honteuse d'avoir été découverte aussi facilement. Dans ta chambre. Et tu ferras Deux 'Nôtre Père" et un "Je vous salue Marie". Elle te tend le chapelet qu'elle avait gardé entre ses mains. Oui Maman. Je vous demandes pardon. Tu n'oses pas la regarder. Pas plus elle que les autres. Tu te contentes de prendre le chapelet et de l'emporter avec toi pour demander pardon au Seigneur d'avoir désobéi à tes parents.


Les larmes roulent sur tes joues alors que ta mère te force à te relever. Cette agressivité et cette violence ne fait que s'accroître à chaque manifestation de magie. Tes parents pensaient avoir réussi à te sauver de l'emprise du Malin. Depuis le départ de ta sœur aînée pour cette école de sorcellerie, ils avaient tout fait pour que tu ne sois pas ronger par les mêmes démons. Ils avaient échoués. La magie grandit en toi. Tu le sens se rependre délicieusement dans tes veines. Tu ne comprends pas ce qu'il y a de mal. Maman, s'il te plait ! Je ne le ferais plus. Tu gémis, essayant de te défaire de l'étreinte musclée et douloureuse de sa main contre ton bras. Tu finis par retomber contre le sol. Je ne peu pas te croire, Debra, tu es une créature du Diable. Chaque mot que tu profères n'est qu'un mensonge éhonté. Elle t'attrappe les cheveux, t'arrachant un cris de douleur. Tu viens toi même saisir tes cheveux, essayant que sa prise soit moins douloureuse. Elle te tire, elle te traîne pour te forcer à te redresser et à avancer par toi même. Elle t'entraîne vers la cave. Tu essayes de résister, mais elle tire encore davantage.Tu implores, mais rien n'y fait. Elle finit par te balancer dans cette cave, sans craindre que tu ne te rompes le coup dans l'escalier. Elle n'éprouve plus le moindre amour, ni la moindre compassion pour toi. Elle t'a perdu. Elle ne te considère plus comme humaine. Elle ne te considère plus comme sa fille, sa chaire et son sang. Tu n'es qu'une abomination qui pourri son existence. Le cliquetis de la serrure se fait entendre. Le froid de la cave t'enveloppe et te pétris les membres. Tu dévales quelques marches, parvenant tant bien que mal à te réceptionner du mieux que tu le peux. Tu reste sur les marches froides et humides. Tu laisses ton regard s’accoutumer à la pénombre avant d'exécuter le moindre mouvement. Tu commences pourtant à connaître cette pièce. La première fois que tu y avais été enfermé, c'était en attente d'un exorciste. Tes parents croyaient alors encore à ta guérison. Ils te cédaient encore nourriture, eau et couverture. Il espéraient que leur fille soit encore enfouie au fond de cette abomination. Puis ils avaient perdu espoir et se montraient de moins en moins indulgents. Tu avais vu naître la haine dans la profondeur de leur regard. Ils t'avaient infliger les pires douleurs, au nom de ce Seigneur auquel tu ne parvenais plus à croire.


Entrée à Poudlard


Vacance


Dîplôme


Fuite des réfugiés


Baguette brisée