ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Roshario naquit un vingt six septembre mille neuf cent soixante et onze, à Saint-Pétersbourg en Russie, soit cinq années avant la naissance de son frère cadet, alors que sa famille rendait visite à une tante maternelle. Elle est maintenant âgée de trente ans, à l'aube de ses trente et un, elle ne se pose guère de question sur le temps qui passe et estime que ce ne sont que des chiffres posés aléatoirement sur la ligne aussi abstraite et constante qu'est le temps.  PROFESSION — Faire oublier aux gens ce qu'ils n'auraient du voir. Voilà en quoi consistais le travail de Roshario. D'un mouvement sec du poignet, elle faisait disparaitre les souvenirs interdits dans des esprits. Que ce soit les moldus mais aussi tous les intrus. Elle est devenue par la suite langue de plomb, très investie dans son travail, elle ne compte pas ses heures. Et lorsqu'elle n'est pas au Ministère, elle passe tout son temps à développer des manifestations d'art, de théâtre mais aussi des réunions sur des thèmes philosophiques, réservées aux personnes influentes. Elle se porte comme une véritable garante de la préservation de la culture. Depuis peu, elle songe à redevenir une oubliator, un métier qui lui manque grandement. NATURE DU SANG — Les Montague sont depuis des générations sang-mêlés, pourtant, Roshario se rêve à être issue de sang pur. Loin d'elle l'idée de renier les origines dont elle est très fière mais elle associe pureté du sang et sagesse infinie. Néamoins, elle accorde une place essentielle à sa famille qu'elle respecte plus que tout.  BAGUETTE — Depuis ses onze ans, Roshario possède une baguette taillé dans du bois d'if, renfermant en con cœur un cheveu de vélane. Elle mesure vingt sept centimètres et est prédisposée à la métamorphose. C'est une baguette fine qui lui correspond totalement, Mr Ollivander lui a dit lui même que la baguette semblait avoir été créée pour elle même.  STATUT MATRIMONIAL — Pendant cinq ans, Roshario a été fiancée à un sorcier américain appelé Arnold Jefferson, issu d'une riche famille de sorciers de Washington. Le mariage a été sans cesse repoussé en raison de l’alcoolisme et de la violence grandissante d'Arnold. Elle l'a aimé, aux premiers émois de leur rencontre. Admiré, un grand médicomage de renom à l'accent exotique. Il lui a fait tourné la tête mais au final, il s'est révélé être son pire bourreau. Durant des mois entiers, elle était couvertes de bleus et de plaies toujours plus importantes. La peur de se faire tuer ou pire, humilié lui obligeait de rester de ne rien dire. Souvent, elle arrivait à le controler mais sa force physique valait bien plus que ses maigres bras. Ce fut cinq années de tourments silencieux, jamais une fois Roshario n'en a parlé à quelqu'un et son amant, Marcus Rookwood est toujours dans l'ignorance quant à cela. Elle a appris il y a trois mois qu'elle était tétanisée. Elle s'est enfermée dans un silence inébranlable. Elle ignore qui est le père de cet enfant. Une part d'elle ne veut pas qu'il soit l'enfant d'Arnold, ce monstre terrible mais elle refuse que ce soit celui de Marcus, ayant peur de lui accorder bien trop importance qu'il ne lui en donnera jamais.   ANCIENNE MAISON — A l'instar de son cousin, c'est chez les aigles que Roshario a effecté les sept années de scolarité. Particulièrement vive et à l'affut de nouvelles connaissances, ce ne fut pas une surprise pour ses parents, de même pour elle. Elle garde un très bon souvenir de sa scolarité, notamment lors de sa sixième où elle est devenue une membre régulière du club du professeur Sulgohrn avec lequel elle est restée en contact de nombreuses années après l'obtention de son diplôme. PATRONUS — Excellente sorcière, elle a jadis réussis à en produire un,  il s'agissait d'un aigle. Pour y parvenir, elle pensait à ce qu'elle appelle "une situation d'harmonie", un moment, un instant où elle se sentait particulièrement bien. Où le passé et le futur ne lui posait plus de soucis, c'était énormément connoté à  la sensation de bien-être et d'adrénaline provoqué par un projet ou un élément particulier. Aujourd'hui et ce depuis des années, elle n'en est plus capable. A chaque fois qu'elle essaie, un misérable petit filet bleu sort de sa baguette pour se dissoudre instantanément. EPOUVANTARD — Il est pratiquement redoutable et la mettrait dans une angoisse épouvantable si elle était amené à le voir. Il s'agit de celui qui était son bourreau mais aussi son fiancé, et qui tient dans ses bras, un nourrisson pleurant à chaudes larmes. Cet homme, regarde l'enfant en lui broyant les mains alors que les pleurs du petit ne font que de redoubler. Elle crie pour venir en aide à son enfant, en vain. Même maintenant, ce souvenir inexistant la hante.  CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Roshario est une femme élégante, aux mains fines et aux traits délicats, elle n'a jamais été réellement exposée au danger. Elle est d'ailleurs connue pour sa beauté sans imperfections, cependant, elle garde souvent, et pendant de très longues périodes de temps, des hématomes causés par les coups de son fiancé, qu'elle camoufle comme elle le pouvait grâce à l'aide de Narcissa Malfoy.    GROUPE —Wandering Soul.

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MON ÂGE — toujours 17 ans
     MON PAYS — france.
     MON AVIS SUR LE FORUM — très laid.
     MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
     MON AVATAR — keira knightley.
     COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — i didn't choose the thug life, thug life chose me.
     UN DERNIER MOT MAGIQUE — MONTAGUE AU POUVOIR  

Le bruit de ses talons était régulier sur le carrelage parfaitement ciré de Gringotts. Sa démarche était fluide et déterminée, une Montague. Les volants de sa jupe de tailleur suivaient parfaitement la courbe longiligne de ses hanches. Elle regardait droit devant elle en avançant le plus rapidement possible jusqu'au comptoir. Cela allait être une longue journée, encore une fois. La fatigue pouvait se lire dans ses yeux malgré ses traits de grande dame indépendante. La journée avait commencé comme toutes les autres. Après une courte nuit troublée par de vieux démons du passé – Roshario s'était tournée et retourner, tâchant de chasser l'image de son frère hors de son esprit – elle avait enfin trouvé le sommeil. Mais impossible pour elle de retourner un quelconque réconfort auprès de celui avec lequel elle allait se marier. Il lui semblait qu'elle avait rêvé, cette nuit là. Pour la première fois depuis des mois, cela avait été quelque chose de totalement abstrait qui, même pour le plus grand des philosophes ne voudrait sans doute pas signifier grand chose. Elle se souvenait de grandes tâches de lumières qui, peu à peu envahissaient sa vision jusqu'à l'aveugler. Des ombres rectangulaires qui l'enveloppaient, comme dans du tissu. Pour finir une sensation de tomber sans fin avant de s'écraser et de se réveiller. Arnold partait bien plus tôt qu'elle le matin, pourquoi même, elle oubliait qu'elle s'était couchée avec lui, c'était les meilleurs matins. Le soleil ne se lèverait pas encore avant quelques heures mais c'était ainsi que cela fonctionnait au Ministère. Le sommeil n'était que secondaire, le monde n'attendait pas que les mortels que nous étions se reposent. Roshario n'avait jamais l'air fatiguée, pourtant ses paupières se fermaient souvent lorsqu'elle avait un instant de libre malgré sa concentration à toute épreuve. Ses talons sur le carrelage du Ministère avaient fait le même bruit régulier et stricte lorsqu'elle s'était rendue dans le bureau de Desmera Goyle pour lui faire part d'un dossier urgent qui touchait à sa fin. A vrai dire, à n'importe quel moment de la journée, ses talons faisaient le même bruit. Ce n'était pas un cadeau. Roshario les avait acheté il y a maintenant plusieurs années dans une minuscule échoppe à Diagon Alley et elle ne les avait plus quitté. Roshario n'était pas du genre à jeter des affaires user, elle en changeait les talons et les semelles mais elle n'avait pas l'intention de les jeter pour autant. C'était un peu sa marque de fabrique et dans un milieu aussi stricte qu'est celui du Ministère de la Magie, elle ne pouvait se permettre de se vêtir autrement. Cela avait été une matinée classique, à courir dans tous les sens, à se sentir angoissée de ne pas finir son travail à temps, à entamer d'autres projets plus grands les uns que les autres. C'était la vie de Roshario Montague. Elle ne savait plus bien à quel moment elle avait du affronter son fiancé pour la deuxième fois de la journée, ce qui était beaucoup trop à son gout. Il s'était rendu au Ministère après une longue visite chez un autre juge, elle l'avait croisé dans son habit de pourfendeur de la justice et elle en eu envie de vomir. L'égo de Roshario était assez considérable en temps habituel, elle qui s'était hissée à un rôle important et était habituée à donner des ordres alors elle se détestait d'être sous la tutelle. Et qu'est-ce que dirait son frère, ou Jacob et Rosen ? Les Montague n'étaient pas du genre à se faire dominer, et pourtant. Une infime partie d'elle lui en voulait cruellement de ne pas répliquer aux provocations que, quotidiennement, Arnold lui envoyait. Son égo lui hurlait de stopper les fiançailles pour enfin se sentir libre, comment elle, avait finalement accepté cela ? Elle-même ne connaissait pas la réponse à toutes ses interrogations. Elle l'avait regardé, détaillé son corps enroulé dans cet habit superficiel avant qu'il ne la rejoigne pour qu'ils partent ensemble, à Gringotts. Le rendez-vous avec les gobelins avait été fixé à neuf heures mais comme à son habitude, Anrold avait décidé de venir chercher sa fiancée deux heures en avance, pour assurer son éternelle ponctualité.

Le chemin jusqu'à la banque s'était déroulé dans le plus grand et assourdissant des silences. Ni l'un, ni l'autre ne daignait prononcer un mot. Arnold repensait à procès auquel il allait bientôt assister et aux conséquences que ce dernier allait avoir. Quant à Roshario, elle était perdue dans des rêves légers. Son esprit gambadait entre peinture et le doux son d'un piano. Elle se surpris même à sourire lorsqu'elle pensa à des lèvres contre les siennes. Depuis des années, Roshario avait appris à accepter cette grande douleur qui régnait en maitre dans son foyer, cela était devenu une habitude et ne relevait plus de l'ffort quotidien. Ils marchaient l'un à côté de l'autre, les bras le long du corps. Parfois, dans leur élan, leur deux mains se touchaient mais pourtant, Roshario ne réagissait pas. Lle se contentait d'avancer le regard fixé sur l'horizon sans se préoccuper de ce qu'il pourrait se passer. Elle avait envie de retourner travailler, d'être en paix et elle ne mettrait aucun enthousiasme à parler argent avec ces créatures froides qu'étaient les gobelins. Lorsqu'ils pénétrèrent dans le hall de la banque Gringotts, Roshario poussa un soupire en constatant à tel point tout était déjà occupé par d'autres sorciers, tous aussi visiblement pressés de rentrer chez eux. Roshario elle, avait bien autre chose à faire que de converser sur l'argent et autre sujets futils. Elle savait parfaitement que au moment où un gobelin viendrait à lur parler, ce serait pour la carrière incroyable de son futur époux. Elle le détestait, elle le détestait de tout son coeur. Il n'avait ni mérite, ni talent. Elle ne le trouvait ni beau, ni séduisant. Ses beaux discours ne voulaient plus rien dire et elle ne l'écoutait même plus. Tout le charme qu'il avait un jour pu avoir s'était évaporé pour laisser place un monstre calculateur, borné et misérable. Ce qu'il était. Elle le haïssait et se détestait d'être encore dans ses filets. Pourtant, elle était bien prisonnière. « Encore un soupire exaspéré et je t'assure que ça risque d'aller mal. » murmura t-il de cette voix cruelle qu'elle connaissait tant, au creux de son oreille, comme un mot d'amour déposé à l'être aimé. Roshario se raidit aussitôt, crispa la mâchoire avant de serrer les poings. Arnold avait pour habitude de lui lancer des remarques désobligeantes et des menaces comme celle ci. A quoi équivalaient-elles ? Non seulement à une douleur physique extrême, elle se souvenait encore de la pression qu'avait exercé sa main sur sa joue et le bruit de son corps tombant à terre après avoir perdu l'équilibre. Mais aussi celle qu'il lui infligeait quand il la menaçait. IL était plus dur que l'on ne le croyait de se débarrasser d'un homme violent et son esprit finissait par être formaté à cette violence qui l'habitait chaque jour. Mais ici ils étaient public et Arnold ne pouvait l'atteindre. Étrangement, lorsqu'ils étaient à l'extérieur, toute la pression qui opérait sur elle n'avait plus d'effet. C'était leur foyer qui renfermait un climat malsain qui la retenait, à partir du moment où elle posait un pied dans sa propre maison, elle ne se sentait plus en sécurité. Cet homme était fou. Cela faisait maintenant près de six ans qu'ils se connaissaient, amis, amants et ennemis. Qu'est-ce qui les avaient entrainé jusque là ? Il était un grand sorcier, un excellent juge, alors pourquoi était-il un si misérable mari ? Comment une femme aussi digne et libérale que Roshario avait-elle pu se laisser prendre dans ses filets ? Autant de questions qui restaient en suspens. « Tu ne te risquerais pas à me frapper ici, Jefferson. » murmura t-elle entre ses dents. Il l'avait entendue et elle en avait parfaitement conscience. Elle fixa le plafond en attendant que son très cher fiancé finisse une conversation avec un juge dont elle ignorait totalement le nom et même l'existence. Roshario était quelqu'un de libre et d'indépendant, qui ne supportait pas être rattachée à quelqu'un. Et bientôt, elle imploserait de devenir une bonne petite femme comme on les aime. « Je te conseille de la fermer avant que je ne m'énerve. Ne pas l'insolente. » Roshario sentit un énorme poids s'abattre sur sa poitrine. Et cela était ainsi depuis des années. Elle vit passer des membres du Ministère, qu'elle saluait d'un bref signe de la tête. Vint ensuite leur tour, un gobelin fut assez aimable pour les recevoir en avance. Alors que son fiancé parlait comptes et problèmes de placement, Roshario arqua un sourcils et se retourna vivement, faisant claquer ses talons contre le carrelage. « Qu'est-ce qu'il y a ? » siffla Arnold. Elle lui fit un signe de main pour qu'il se taise et ne donna nulle attention à la mine enragée et au regard noir qu'il lui répliqua. Elle aurait voulu dire qu'elle avait attendu quelque chose du suspect mais elle fut projetée au sol avant d'avoir eu le temps de dire quoi que ce soit.

Les instants qui suivirent furent extrêmement rapides et Roshario n'eut que simplement le temps de jeter un coup d'oeil à son fiancé qui, pour une fois avait l'air aussi inquiet que lui. La jeune femme avait toujours eu cette particularité de sentir lorsque quelque chose de mauvais allait se produire et cet instant ne présageait rien de bon. Elle se releva en s'appuyant contre le comptoir, le souffle court, encore sous l'effet de la surprise. C'est en courant hors de la banque qu'elle le vit. Un imposant dragon, au beau milieu de Diagon Alley. Elle posa une main sur sa bouche pour étouffer un cri de surprise. Elle connaissait cette espèce – sa famille étant très reconnue dans l'étude (et l'exploitation surtout) des créatures magiques – mais celle si semblait hors de contrôle. C'est alors qu'elle aperçu celui dont tout le monde parlait Seamus Finnigan. Cet effarouché complétement idiot et arrogant. Dans les rues, c'est la pagaille et le chaos. Chacun essayait de s'enfuir mais Roshario, la peur au ventre, restait clouée devant la bête. Une multitude de pensées se bousculaient dans son esprit alors qu'un brigadier qui venait d'arriver lui ordonna de se pousser avant qu'elle soit blessée. Mais elle ne pensait qu'aux conséquences qu'allait avoir cet acte idiot. Augustus Rosier était loin d'être un homme naïf et il saurait exactement ce que cette attaque voudrait dire. Les gens, pris par la peur, la bousculait mais elle ne pouvait détacher ses yeux de cette bête montreuse qui semblait avoir rejoins la folie. Son esprit était focalisé sur le futur alors que ses jambes étaient réduis à l'état de cotons. Elle avait perdu toute notion du temps et elle serrait ses poings tremblants. Ils voyaient peut-être tous cela comme un acte sans importance mais Roshario avait compris. C'était prémédité et ce ne serait pas le seul. « C'est une révolution. » murmura t-elle. Les sourcils froncés, elle restait debout alors que le dragon était sur le point de charger sur elle. Elle était seule au milieu du vacarne qu'était maintenant devenue la rue commerçante. Pourquoi ? Elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait plus rien à ce monde et elle regardait, dépitée, les pauvres agents s'en sortir pitoyablement avec ce dragon. « Roshario ! » hurla une voix masculine a sa gauche. Elle lui était familière et elle lui avait déjà murmuré des mots à l'oreille. Ce n'était pas Arnold. La jeune femme tourna sa tête en sa direction et elle le vit. Son regard glissa sur son brassard rouge écarlate. C'était Marcus. Elle tâcha de protester, en vain. « Bouge de là, maintenant...Rosh...ATTENTION ! »
En se réveillant à Sainte-Mangouste le lendemain elle ne se souvenait plus de tout. Son esprit semblait avoir été en partie nettoyé par ce choc. Des espèces de flashs lui revenait de façon irrégulière. Elle avait encore très peur mais les interrogations ne quittaient pas son esprit. Ce n'était pas fini.

LES MONTAGUE AU POUVOIR. j'aime beaucoup ce que tu as fait du personnage, comment tu as tourné les évènements, le pseudo et l'avatar, l'histoire... à mes yeux, tout est parfait. donc, te voilà validée une nouvelle fois.

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition