ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — tu as vingt-sept ans. oui, cela fait vingt-sept ans que tu as pointé le bout de ton nez à l'hopital saint mangouste de londres ce huit mai mille neuf cent soixante quatorze. PROFESSION — tu es médicomage. soigner des gens a toujours été ta vocation. NATURE DU SANG — tu es de sang-mêlé. ta famille est de sang-mêlée depuis des générations et tu ne saurais dire d'où provient le peu de sang moldu qui coule dans tes veines.  BAGUETTE — ta baguette est en bois d'épicéa, contient un crin de licorne, mesure vingt-quatre virgule dix-huit centimètres et est prédisposée aux soins de guérison.STATUT MATRIMONIAL — tu es célibataire. pour toi, tu as encore le temps de trouver l'homme de tes rêves. après tout, tu n'as pas encore dépassé la trentaine.  ANCIENNE MAISON — tu étais à serdaigle. tu étais poursuiveuse dans l'équipe de quidditch et tu as été préfète. bref, tu as toujours tout fait pour honorer ta maison. PATRONUS — ton patronus est un lapin. t'as pas trop compris le jour où tu as réussi à le produireEPOUVANTARD — ton épouvantard est ta soeur qui te lancerait un avada kedavra pour l'avoir dénoncée. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — tu as une tache de naissance en bas du dos ainsi qu'une cicatrice sur ton épaule droite. PARTICULARITÉ — aucune, tu es déjà assez unique dans ton genre.  GROUPE — breath of life.
   

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MAISON DES HAMILTON, LONDRES (7 ans) — Le paysage était d'un blanc d'ivoire, un blanc pur et innocent qui faisait rêver la plupart des enfants. La neige qui recouvrait la pelouse tombait toujours voluptueusement, venant caresser les branches nues des arbustes qui trônaient fièrement dans le jardin. Au loin, on pouvait entendre les cris gais des enfants qui jouaient dans la poudreuse. La période de Noël approchait. Alors, toute la famille Hamilton s'était réunie. Enfants, grands-parents, tantes et cousins. Tout le monde était là et tu ne faisais pas exception à la règle du haut de tes sept années. Hestia et toi étiez confortablement installées dans une épaisse couverture, un chocolat chaud à la main, observant vos parents installer le sapin traditionnel à l'aide de Wingardium Leviosa. Vous n'aimiez pas avoir froid alors il était normal pour vous de rester à l'intérieur. Le reste des Hamilton préparait le dîner pendant que tes cousins jouaient dans la poudreuse. Cependant, l'avant de Noël s'annonçait particulier. Effectivement, alors que les parents quittèrent un instant le salon où aurait lieu la remise des cadeaux, une dispute bénigne éclata entre vous. Une simple histoire de couverture. Vous criiez, vous tiriez les cheveux sans aucun ménagement. Et Hestia était en train de te pousser à bout. De quel droit pouvait-elle s'approprier toute la couverture ? Ta petite sœur n'était pas la seule à avoir froid. La preuve, tu avais la chair de poule. Soudainement, sans que tu ne comprennes ce qu'il se passe, une boule de Noël atterrit dans l'œil de ta sœur. Comme par magie. Ses pleurs attirèrent vos parents pendant que toi, tu regardais la boule sans comprendre grand-chose. Comment une boule qui se trouvait sur le sapin avait pu se retrouver dans la tête de ta soeur ? Cela n'avait aucun sens. Vos parents demandèrent une explication et alors que tu t'attendais à ce qu'ils vous disputent pour vous être battues, ils éclatèrent de joie, te serrant chaleureusement dans leurs bras. Hestia regardait la scène de son visage rougi et toi, tu ne comprenais vraiment rien à la situation. Pourquoi diable les félicitations étaient de mise ? Finalement, Monsieur et Madame Hamilton vous expliquèrent que sous la colère, tu avais utilisé involontairement la magie. En entendant leurs propos, tes yeux s'écarquillèrent. Tu commençais à comprendre où voulaient en venir tes parents. Tu avais utilisé la magie, tu étais une sorcière. Et du haut de tes sept ans, c'était pour toi, le plus beau Noël de toute ton existence.

LA GRANDE SALLE, POUDLARD (11 ans) — Les lourdes portes s'ouvrirent, laissant apparaître une immense salle aux allures enchantée. Devancés par le professeur McGonagall, les élèves de première année s'engouffrèrent dans la Grande Salle, observant attentivement les alentours et tu en faisais partie. Le plafond semblait être ouvert sur l'extérieur, laissant apercevoir des millions d'étoiles. Cependant, tu savais qu'il s'agissait d'un plafond magique. Tu l'avais lu dans l'Histoire de Poudlard que tu avais dévoré en un rien de temps, après avoir reçu ta lettre d'admission. En plus de la longue table où vous observaient les professeurs du collège, quatre autres vous dévoraient des yeux. Tu devinas rapidement qu'il s'agissait des tables destinées aux différentes maisons de Poudlard et bien trop absorbée par ton observation, tu ne remarquas pas que tu étais déjà arrivée au bout de l'allée centrale de la salle. Un vieux chapeau rapiécé était posé sur un tabouret en bois et tu écoutais attentivement les paroles de Minerva McGonagall qui vous expliquait la répartition. Ce bout de chapeau n'était pas ordinaire. Non. C'était le choixpeau magique et c'était entre ses mains – ou du moins entre ses plis – qu'était ton destin. Il allait avoir la lourde tâche, comme chaque année, de répartir une bonne centaine de gamins de onze ans dans les différentes maisons de l'école ; Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Puis, commença l'appel. Le professeur appelait les élèves par ordre alphabétique. Les A passèrent, puis les B. Certains C furent envoyés chez les téméraires, d'autres D furent répartis chez les persévérants tandis que certains E prirent place à la table des verts et argents. Et ainsi de suite jusqu'au moment où la directrice adjointe commença les H. « Hamilton Uranie ! » Ton nom résonna dans toute la salle, et les regards étaient tournés vers toi. Tu t'avanças sur l'estrade, pris place sur le tabouret et attendis doucement la sentence pendant que la sorcière installait le Choixpeau sur sa tête. A peine avait-il effleuré tes cheveux qu'il s'écria de sa voix forte : « Serdaigle ! » Une salve d'applaudissements résonna de la tablée en question et ce fut avec grand plaisir que tu rejoignis ceux que tu considérerais comme ta seconde famille. Tu faisais partie des érudits et tu ne pouvais que t'en réjouir !

TERRAIN DE QUIDDITCH, POUDLARD (12 ans) — Le temps était maussade en cette fin de septembre. Tu étais sur le terrain de Quidditch, un balai emprunté à l'école en attendant les instructions des sélections. Tu avais décidé de tenter ta chance dans l'équipe de Quidditch en tant que poursuiveuse. Il y avait des chances que le capitaine ne te prenne pas au vu de ton jeune âge, mais tu pouvais toujours tenter. Il n'y avait rien à perdre. Pour l'instant, c'était aux tours de sélection du gardien de l'équipe et tu regardais d'un œil discret les sélections. À dire la vérité, tu commençais à stresser. Et si tu te ramassais lamentablement la gueule au sol, finissant à l'infirmerie pour le reste du mois ? Puis vint le tour de la sélection des poursuiveurs. Trois places leur étaient réservée dans l'équipe et tu comptais bien avoir la tienne. Alors, tu t'élanças, donnant le meilleur de toi-même, passant le souafle à tes coéquipiers le temps des sélections, marquas trois buts parmi les cinq tentatives qui t'étaient destinées. C'était un véritable travail d'équipe. Et si le temps avait pu rendre morose l'ambiance qui régnait sur le terrain, il n'en fut rien. Quels que soient les résultats, l'esprit d'équipe avait été de mise et en redescendant sur la terre ferme, tu pensas que si tu n'avais pas ta place cette année, tu retenterais l'année prochaine. Tu avais encore du temps devant toi. Finalement, le capitaine de l'équipe annonça les résultats et miraculeusement, tu fus retenue. Tu étais simplement folle de joie, te promettant ainsi de donner le meilleur de toi-même pendant les matchs et de toujours te relever malgré les défaites que pourraient essuyer l'équipe de Serdaigle.

MAISON DES HAMILTON, LONDRES (15 ans) — Les vacances d'été touchaient à leur fin. Tu allais rentrer en cinquième année à Poudlard à la rentrée prochaine et tu attendais avec impatience le hibou qui t'apporterait ta liste de fournitures, au plus grand désespoir d'Hestia qui te lançait des regards noirs à chaque fois que tu mentionnais ce qu'elle ratait à l'école. Effectivement, ta sœur cadette était une cracmole. Elle avait hérité de la partie moldue de votre famille et n'avait donc aucune capacité magique. Si vous étiez proches pendant votre enfance, cela avait creusé un gouffre dans votre relation. Elle fréquentait les moldus, toi les sorciers. Elle allait à l'école moldue, toi, tu faisais ta vie à Poudlard racontant à ta famille ton quotidien d'apprentie sorcière. Alors quand en cette fin d'été, le hibou grand-duc de l'école vint toquer à la fenêtre de votre maison, Hestia remonta brutalement dans sa chambre mécontente d'être ainsi mise à l'écart quand cela touchait au monde sorcier. Tu pensais souvent qu'Hestia aurait fait une très bonne Serpentard au vu de son caractère. Tu lanças un regard triste en direction de l'escalier, regrettant sincèrement que ta sœur ne puisse pas partager cette excitation quand tu recevais une lettre de Poudlard avant d'aller ouvrir à l'oiseau et de lui donner un peu de Miam-Hibou pour le remercier. Tes parents t'observaient pendant que tu ouvrais délicatement l'enveloppe épaisse qui t'avait été envoyée. Deux lettres s'y trouvaient. La première te citant toutes les fournitures qu'un élève de cinquième année se devait d'avoir. La seconde t'annonçant quelque chose de particulier, accompagnant l'objet qui épaississait l'enveloppe. Un badge en forme de P accompagnait donc cette lettre et avant même d'avoir pu lire le contenu du parchemin, tu savais dors et déjà, ce que cela signifiait. Tu avais été élue préfète. La direction t'avait fait confiance pour t'attribuer ce rôle plein de responsabilités et tu ne pouvais pas être plus fière qu'à cet instant. Par la barbe de Merlin, préfète de Serdaigle ! Tu n'arrivais pas à y croire et tu avais hâte de connaître ton homologue masculin. Tu lanças un regard ému à tes parents et tu annonças d'une voix fébrile qui respirait la fierté d'avoir été promue à ce rang : « Je suis préfète ! Vous vous rendez compte ! Préfète ! » Des félicitations fusèrent. Les bras de tes parents t'enlacèrent alors que tu interceptas les yeux noirs de jalousie de ta sœur en haut de l'escalier qui avait dû entendre toute la conversation. Le gouffre semblait s’agrandir au fur et à mesure que le temps passait, mais pour une fois, tu n'y prêtas pas attention.

SALLE COMMUNE DE SERDAIGLE, POUDLARD (17 ans) — Les ASPICS venaient de se terminer. Il fallait désormais attendre les résultats qui te parviendraient pendant l'été. Mais qui disait ASPICS, disait fin de l'année. Cela signifiait donc que tu allais quitter définitivement Poudlard. Plus jamais tu ne mettras les pieds dans ta salle commune, plus jamais tu ne répondras aux énigmes pour rentrer dans ta salle commune. Plus de festins incroyables, plus de cours de sortilèges, plus de Dumbledore. Non, tout ça se terminait bel et bien après de nombreuses coupes des quatre maisons, de nombreux matchs de Quidditch. Tu en avais fait du chemin depuis ta répartition. Tu étais devenue poursuiveuse de l'équipe de Quidditch, étais devenue préfète en cinquième année tout en combinant simultanément le quidditch. Tu avais obtenu d'excellents résultats à tes BUSES, comme les années précédentes par ailleurs. Tu avais excellé, avait obtenu rarement quelque désolants et piètres, avait fait gagner des points à ta maison comme tu en avais déjà fait perdre. Et tu étais là, assise dans un des fauteuils de ta bien-aimée salle commune à contempler les flammes qui dansaient dans la cheminée, te disant que ton histoire à Poudlard était bel et bien terminé, qu'une page se tournait.

HOPITAL SAINT MANGOUSTE, LONDRES (22 ans) — « HAMILTON ! On a un grand brûlé chambre 312, tu t'en occupes ! » Hurla ton chef de service. Sans plus attendre, tu récupéras le dossier du patient lisant à la va-vite les notes des infirmières. Un certain Rowan Breslinn dont le nom et le prénom te disaient vaguement quelque chose. C'était certainement un des étudiants qui avaient étudié avec toi à Poudlard, rien de bien original en soit. Quand tu entras dans la pièce, tu ne t'attendais effectivement à voir ce Rowan. Tu te rappelais de lui. C'était le préfet en chef pendant que tu étais en septième année. Il t'avait pourri la vie ce fichu Serpentard. Tu l'avais détesté de toutes tes forces et tu ne savais pas pourquoi il t'avait pris en grippe comme ça. En tout cas, tu te faisais toujours un plaisir de répliquer quand il te provoquait dans les couloirs de l'école. Mais, aujourd'hui, il fallait que tu mettes ton ressentiment de côté pour lui venir en aide. Son état était catastrophique et il était évident que cette brûlure était la conséquence d'un acte de magie. Tu t'approchas doucement de l'auror – renseignement que tu avais lu dans son dossier médical. Ses yeux papillonnèrent vers toi. Visiblement, rien que d'ouvrir les yeux lui semblait difficile et un instant, tu eus peur de devoir diagnostiquer des problèmes encéphaliques. Cependant, quand il prononça ton nom, tu sus que finalement la brûlure n'aurait pas trop de conséquences que cela. Du moins, tu l'espérais et tu ferais des examens pour en être sûr. Il ne valait mieux pas s'avancer dans ton métier. « Oui, Monsieur Breslinn, je m'occupe de vous. Soyez tranquille, vous serez sur pied en un rien de temps. » Ta voix était douce et rassurante. On ne pouvait pas deviner que vous vous étiez fait la guerre pendant vos études à l'école de sorcellerie. Tu avais mis toute rancune de côté et selon toi, c'était à cela qu'on reconnaissait les bons médicomages. À leur capacité à être objectif et neutre en toute situation.

PLACE CENTRALE, CHEMIN DE TRAVERSE (24 ans) — Cela faisait plusieurs mois que Harry Potter était tombé. Celui sur lequel tout le monde magique avait mis tous ses espoirs était mort de la main du Seigneur des Ténèbres. Ce jour-là tout avait bousculé. Vous-savez-qui régnait maintenant en maitre et quiconque s'opposait à lui risquait des représailles. Cette situation ne te plaisait pas du tout, mais par souci de survie, tu ne disais rien. Tu te contentais d'accepter toutes les nouvelles décisions que prenait le gouvernement. Aujourd'hui, nous étions le 1er Mai 1998 et c'était l'un de tes jours de congé. Tu ne travaillais pas et à midi, tu te trouvais à contre coeur devant la place où auraient lieu les exécutions des résistants. Chacune te fit mal au coeur, tu en connaissais la plupart. Mais aucun sanglot ne sortit de ta bouche. Cependant, quand arriva le tour de Minerva McGonagall, tu ne pus t'en empêcher. Tu venais d'assister à l'exécution de ton ancienne professeure et si tu avais voulu garder un visage de marbre tout le long de la cérémonie, tu n'avais pas pu pour le professeur de métamorphose. Tu n'étais pas insensible. Et tu n'étais visiblement pas la seule à être dans cet état. Tu savais pertinemment que cela représentait un avertissement pour quiconque s'opposerait au nouveau régime et intérieurement, tu te fis la promesse de protéger ta famille quoi qu'il en coûte. Tu ne voulais pas voir tes proches, au sol, inanimé, comme tu observais l'ancienne professeure inerte sur le sol de l'estrade.

MAISON DES HAMILTON, LONDRES (25 ans et 8 mois) — Cela faisait plusieurs semaines que ta famille tentait de cacher ta sœur cracmole au gouvernement. Si tu avais été contrainte à être d'accord avec eux lors de la prise de décision, tu ne pouvais pas te mentir à toi-même. Tu étais contre. Non pas que tu voulais voir absolument ta sœur s'éloigner de toi. Tu l'aimais ta Hestia mais tu repensais sans cesse au corps de McGonagall sur le sol et tu ne souhaitais pas voir ta famille subir le même sort. Alors, tu avais vécu avec la peur au ventre que quelqu'un ne découvre la supercherie avant ce matin-là où tu avais pris l'importante décision de te rendre au ministère. Tu ne l'avais pas fait de gaieté de coeur. Mais, à choisir, tu avais préféré sauver le plus grand nombre que tenter de sauver tout le monde et de mourir par la suite. Non à choisir, tu préférais vivre en sachant ta famille vivante et Hestia bannie dans le monde moldu que mourir. Quand tu étais rentrée, le plus dur fut d'annoncer ce que tu avais fait à tes parents et à ta sœur qui avaient remarqué le regard triste mais déterminé que tu arborais. Et maintenant tu subissais les cris des coeurs brisés que tu venais de faire. « Comment as-tu pu faire ça à ta propre sœur ?! » s'écria son père tandis que la mère sanglotait, tenant fermement sa fille cadette dans ses bras. « Comment as-tu pu faire ça à ta propre famille ? Tu te rends compte de ce que tu as fait espèce d'idiote ?! Vendre ta sœur ! Et puis quoi encore ? Tu vas nous dénoncer pour faire de la résistance également ?! Ca ne m'étonnerait pas de toi ! » Tu n'arrivais pas à en placer une. Ton père t'assassinait du regard, ta mère était brisée et ta sœur avait le regard d'une personne trahie. Les paroles qui suivirent, furent plus dures les unes que les autres. Plus froides, plus cruelles. Elles faisaient saigner ton coeur alors que tu partais de bonnes intentions. Tu voulais les sauver mais tu avais détruit la famille Hamilton. Et finalement, les dernières paroles de ton père t'achevèrent un peu plus. « Tu dégages ! Je ne veux plus jamais te revoir mettre les pieds ici ! Vas-t-en et ne reviens jamais, sale traîtresse ! »  Ils te détestaient alors que tu avais simplement voulu faire le bien.
   

oh, je suis trop triste du sort de la sort d'uranie. mais j'ai bien aimé ta fiche hâte de voir le personnage en jeu. .
Félicitations petite chouette, te voici validée ! Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille personnalisée !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillet, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici, et si tu n'as pas le courage de créer un scénario entier, tu peux aller exposer tes semi-liens ici. Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entière disposition.