better to die on your feets than to die on your kneels.

nieves "kesh" vinador

- there will be blood -

ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — La chaleur du pays des toreros, l'Andalousie et ses chevaux, les espagnols et leur fierté inébranlable. Quoique à en voir son teint si basané, il est d'évidence que d'autres origines se sont entremêlées à celle de son père espagnol. (encore faudrait-il qu'elle connaisse sa mère.) C'est en la ville festive de Séville, dans la péninsule andalouse, qu'elle poussa ses premiers cris. C'est un fils, que Vinador souhaitait, c'est une fille, qu'il obtint, et c'est une des raisons qui ont poussé Nieves à croire que son père haïssait sa mère pour ce don maudit. Elle ne connait pas la vérité, et n'a jamais osé demander à son paternel ce qui était advenu de sa génitrice, trop effrayée de la réponse qu'il aurait pu lui donner. Le seize juin 1977 marque le début de son histoire, ce qui porte à vingt-quatre ans son existence sur terre. (c'est tout du moins ce que précise son acte de naissance, seule trace irréfutable qu'elle aie obtenu sur sa génitrice.) PROFESSION — Légalement, elle est journaliste indépendante, mais ce n'est plus quelque chose qu'elle pratique. (si elle l'a jamais pratiqué un jour.) Son réel travail, ce pourquoi elle vit, est complètement illégal, qui plus est, elle y risque sa tête. Elle est à la tête d'un trafic de drogues moldues, qu'elle s'est plu à mélanger à des substances magiques. Ses clients sont aussi divers que variés, moldu ou sorciers d'ailleurs. Mais son trafic n'est que bénin, comparé à ce que la guerre lui as permit de faire: monter sa propre équipe, qui fournit en armes -magiques ou non s’entend (elle se plait à mélanger les deux mondes) - la résistance ou le régime en place. Son sens de la loyauté est très limité, de fait, elle ne voit bien souvent que ses propres intérêts et ceux de son commerce. Ne tentez pas de lui faire la morale, elle est née dans ce monde-là, et c'est tout ce qu'elle a connu jusqu'à présent, et c'est étrangement quelque chose ou elle est très douée. NATURE DU SANG — Sujet sensible... vraiment ? Elle se fiche de son sang comme d'une douille de carabine. Il est loin d'être pur, loin d'être sang-mêlé, tout ce qu'il y a de plus moldu. Nieves est une née-moldue, bien qu'elle le cache, de peur de se retrouver en ligne des gros titres. Sa tête vaut plus cher que dix foutus gallions. BAGUETTE — Elle est en bois d'ébène, et possède une larme de licorne. Mesurant quelques vingt-cinq centimètres, elle est assez souple, et est prédisposée aux enchantements. Si elle possède encore sa baguette, il peut sembler étrange qu'elle ne s'en serve pas; elle préfère les armes à feu, qu'elle a appris à manier depuis son enfance. De plus, ces temps-ci, une née-moldue et une baguette, sont les deux moyens les plus sûrs de se faire repérer, d’autant que les talents magiques de Nieves sont pour le moins... désastreux. Son seul talent réside dans les potions, pas les lancers de sorts. (entre vous et moi, elle trouve ça aussi un peu archaïque, mais chacun son point de vue, mais, la vérité, c'est qu'elle ne s'est jamais sentie à sa place avec une baguette entre les mains). STATUT MATRIMONIAL — On pourrait dire qu'elle ne s'embarrasse pas de relations à long terme. Elle trouve difficilement chaussure à son pied, et la plupart du temps, c'est juste pour une partie de jambes en l'air. Pour rien au monde, elle ne se verrait la bague au doigt, ce n'est pas elle, ça, elle ne sera jamais l'adorable petite femme qui attends son mari tendrement. Kesh, c'est tout feu, tout flamme. Tout, ou rien. ANCIENNE MAISON — Ah, ça a pas mal jasé, puisque le Choixpeau l'a expédiée chez les Slytherin. Je vous laisse donc imaginer la tête des sangs-purs, quand une gamine haute de trois pommes, née-moldue qui plus est, s'est dirigée vers leur table, les jaugeant comme s'ils étaient des cafards à écraser. Au final, la maison lui sied à merveille, quelque soit la nature de son sang. PATRONUS — Elle n'est jamais parvenue à en produire un. De ses efforts acharnés n'est apparu que de la fumée argentée, et, vaincue, elle a décidé de ne plus tenter d'en produire depuis. Il est incorporel. EPOUVANTARD — Ce ne sont pas les ténèbres, ce n'est pas le vide, ni la mort de quelqu'un qu'elle craint. C'est de la lumière qu'elle est effrayée. Si vive, si blanche, qu'elle la brûlerait toute entière. Un feu que l'on ne peut éteindre, un feu qui purifie, et la déception d'un père. Elle rejette la lumière, fuit le soleil, pourtant se plaît parfois à l'observer se coucher. Elle est fascinée par la Lumière, autant qu'elle en est terrifiée. Les ténèbres sont source de sécurité, le blanc est l'exposition, et c'est la fin de tout. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Elle possède plusieurs marques ici et là sur son corps, dues à d'anciennes blessures plus ou moins grave, allant de celle ou, jouant au vélo, elle s'était brisé le genou, à celle ou, enfant, elle avait voulu savoir ce que faisait le jouet-pistolet de papa. Mais ce ne sont que des marques bénines, sans importance. Le renard sur son épaule, lui, observe, aux aguets. Le tatouage est plus qu'un simple dessin, il a une profonde signification. Elle a exigé de ses membres qu'ils portent le même, à l'image d'un gang de série américaine. Le renard était le symbole de son père, et il lui a semblé juste de le reprendre. GROUPE — hear me roar.

Killing is not so easy as the innocent believe

Les Enfants, Edward Bond.
L’enfance, cette utopie dorée, c’est là ou l’enfant s’épanoui, là ou il découvre son monde. Ce n’est pas une utopie, c’est un mensonge. On jette dans la tête du gamin des rêves, tandis que le monde n’est en rien comparable aux rêves. Nieves, Kesh, qu’importe son nom, cette gamine perdue dans un monde trop grand pour elle. Lâchée dans la débâcle dès le plus jeune âge, là ou certains s’amusaient avec des trains en bois, elle jouait avec le flingue de son père. Ce n’est pas une enfance, ce n’est pas une utopie. C’est le monde, le vrai, le cruel. Elle regardait son père agir avec violence, traiter ses hommes comme s’ils n’étaient que des chiens errants, et pour finir par faire disparaître leurs cadavres blafards. Il ne lui a jamais rien caché, lui a toujours jeté à la figure la vérité de la Terre. Il n’a jamais su être un « père », jamais su ce que le fondement même du mot signifiait, et peu lui importait. Il voulait un fils, et il écopait d’une gamine aux yeux écarquillés devant la cruauté des choses. Un garçon fort, était-ce trop lui demander ? La putain n’avait même pas su lui accorder ça, alors même qu’il avait daigné l’aimer. Il aurait pu abandonner l’enfant, la donner en pâture à un réseau de prostitution. Mais elle était sa chair et son sang, et sa fierté en aurait pris un coup de la voir devenir l’une de ses filles ou le regard n’est accaparé que par le fric que son corps peut s’offrir. Et il voyait autre chose dans les yeux de la gamine, cette petite parcelle d’une étincelle, qui prédispose à la grandeur. Alors, oui, il lui a jeté la vérité dans la figure, mais il ne lui a jamais menti. Et c’est peut être ça qui subsiste, cette loyauté qui existe envers lui, attachée à sa carcasse, alors même que son père ne lui a pas donné de nouvelles depuis plus de deux ans. Elle se revendiquera toujours comme étant la fille de Juan Carlos Vinador, Baron de la drogue du Cartel de Sindra.
Alors, non, ce n’est pas une enfant douillette.

Littoral, Wadji Mouawad
Son monde, c’était le trafique de drogues. A onze ans, elle connaissait déjà les rudiments du métier. Suspecterait-on un visage si angélique de vendre un kilo de cocaïne en quelques jours ? Que nenni. Puis, les choses ont changé. Enriques l’a écartée à la réception de la lettre. Juan Carlos n’aurait jamais laissé sa fille entrer dans une « école de Sorcellerie », encore moins s’il avait su ce que ces mots signifiaient. Mais le lieutenant ne l’entendait pas ainsi, et son ambition écrasante ainsi que la confiance aveugle de Juan Carlos en lui le fit céder. Nieves fut jetée dans un nouveau monde, ou l’on qualifiait son père de « moldu ». La première fois, le mot a fusé comme une insulte, et elle s’était jetée sur le garçon en question et l’avait expédié à l’infirmerie, la mâchoire brisée. Son intégration ne fut pas facile, elle n’était pas à sa place, dans ce château. Le monde des sorciers ne lui plaisait pas, elle était médiocre en toutes matières – sauf celle des potions qu’elle se prit de passion. Elle ne s’est jamais sentie chez elle autour de ces excentriques parlant de duels à la baguette, de matches de quidditch, et d’autres parties d’échecs sorciers. Mais bien vite, les mauvaises habitudes reprirent leurs droits, et c’est au sein même du château qu’elle commença un petit trafic de drogues. C’est à cette époque-là, quand elle passait plus de temps dans les cachots à tester des potions, qu’elle se mit à tester et à mélanger les ingrédients moldus et sorciers. Parfois, elle obtenait ce qu’elle voulait, parfois non, mais toutes les fois, elle se débrouillait pour ne pas éveiller de soupçons, et prétextait vouloir s’entrainer à travailler. Jouer les petites filles modèles effaçait toute trace de ce qu’elle pouvait être en réalité. Si bien qu’au sortir de cette foutue école, elle avait développé un réseau respectable. (et qu’elle ne voulait rien faire d’autre)

Roberto Zucco, Bernard Marie-Koltès.
La donne, cependant, a légèrement changé. Le profit, et ses propres intérêts ont toujours été son principal mobile. D’aucuns viennent lui dire que ce n’est pas un métier pour une femme ; mieux aurait valu qu’ils se contentent de lui acheter sa marchandise. Elle déteste qu’on lui dicte sa conduite, plus encore qu’on remette son sexe en jeu. Mais elle joue, Kesh, et, souvent, elle gagne. C’est la guerre. Et à la guerre comme à la guerre, tous les coups sont permis.
Sa petite troupe, les Renards, sont des hommes – et des femmes - triés sur le volet, et dont leur loyauté n’est pas remise en question. Mais Kesh ne fait pas confiance et la règle d’or est stricte et indiscutable. Tu es pris, tu es mort. Pas de traces, pas de preuves. Le trafic de drogues est toujours en activité, mais les Renards se concentrent sur le trafic d’armes moldues et magiques. Baguettes, potions, fusils d’assauts, pistolets, épées, peut importe, tout ce qui est estampillé du mot arme passe dans ses filets du marché noir. Et la guerre profite à son petit commerce ; résistants comme mangemorts, elle ne fait aucune distinction. L’argent est l’argent, moldu ou sorcier. Elle est un seigneur de la guerre.

QUE PENSEZ-VOUS DU GOUVERNEMENT ACTUEL ? VOUS EN ACCOMMODEZ VOUS OU PAS DU TOUT ? — « et vous ?, ou vous situez-vous ? Dois-je rendre une réponse en accord avec le gouvernement, ou en faveur des résistants ? (un pâle sourire effleure ses lèvres.) Voulez-vous la vérité, ou voulez-vous le mensonge ? (le sourire disparaît.) La vérité, avant tout. Ce serait mentir que de dire que l’époque ne m’est pas favorable. La guerre engendre son lot de morts, de blessés, mais elle engendre aussi une machine dangereuse, de ceux qui la nourrissent dans l’ombre. Une guerre n’est pas menée sans armes, sinon ce n’est pas une guerre, c’est un débat. Il y a certaines choses, toutefois, sur lesquelles mon esprit tique, certaines extrémités prônées par ce gouvernement. Commençons par les nés-moldus. (elle se redresse sur sa chaise, son regard vous transperce ; elle vous fixe dans les yeux.) J’ai été forcée de falsifier des documents, autrement, impossible d’avoir des clients convenables, et, qui plus est, se retrouver avec la Brigade Rouge à mes trousses, ce n’est pas pour moi. Qu’importe mon sang, lorsqu’ils tuent avec mes armes… (elle rit. Un temps.) Le mensonge, maintenant. Je ne suis qu’une pauvre née-moldue, je ne mérite pas ma baguette – d’ailleurs, débarrassez-moi en, j’ai bien mieux niveau armes. Seriez-vous intéressé ? Une petite potion inflammatoire, et c’est l’embrasement assuré, et impossible à éteindre, bien sûr. Vous savez, c’est important de savoir se protéger en ces temps troublés. »
QUE VOUS ÉVOQUE HARRY POTTER ET L'ORDRE DU PHOENIX AUJOURD'HUI ? — « Chimères du passé, martyrs de ce temps ; l’erreur est énorme. Les gens n’oublieront jamais Potter ; ils n’oublieront jamais les exécutés sans autre procès. Le gouvernement aurait pu étouffer l’affaire, mentir, mais, à la place, on a donné des exécutions publiques. Ils en ont fait des martyrs, et les gens adorent les martyrs. Savez-vous pourquoi ? Ils déchainent les foules, parce qu’ils sont le reflet de l’injustice de ce bas monde. Quel meilleur autre moyen que d’attiser la haine déjà ancrée de la rébellion que d’agir ainsi ? C’est mettre le feu aux poudres, appuyer sur le détonateur, c’est une bombe à retardement. Ils encouragent la Terreur, mais d’un autre côté, ils encouragent ceux qui ne se sont pas décidés encore à rejoindre la rébellion pour faire front à cette injustice. C’est une bombe à retardement. On le lui sur le visage des balafrés, de ceux qui marchent en vitesse dans les rues, du petit homme venu dans les ruelles sombres pour s’offrir une arme qu’il ne peut se payer au bourgeois au regard déterminé qui préfère la kalachnikov à la baguette magique. »
LA VALEUR DU SANG, LE MARTYRE DES NÉS-MOLDUS, QUE PENSEZ-VOUS DE TOUT CELA ? — « Je ne suis pas quelqu’un qui s’offusque à la moindre effusion de sang ; je vis ainsi depuis que je suis née, mais certaines choses remuent, certaines choses déclenchent la Colère, certaines choses sont hors limites. Juger une personne selon son sang. (un temps) n’es-ce pas un peu moyenâgeux comme méthode ? (un temps, l’étincelle de colère brille dans le fond de ses prunelles. Elle se contrôle. Difficilement.) Voilà qui revient à juger un animal – encore que, les animaux se fichent de quel sang ils sont issus. La traque des nés-moldus reflète une forme de peur, de ce sang ‘impur’. Une peur, oui. (elle serre les poings.) Il y avait cette gamine, qui courrait dans les bois ; deux sorciers étaient après elle ; elle était de sang moldu selon eux, et pour cela, elle méritait la mort. Ceux qui ordonnent la mort sont le moins à même de la donner. Ils n’allaient pas la tuer, non, lâches qu’ils étaient. Ils préféraient la ramener à leur ministère (elle serre les dents, ses ongles s’enfoncent dans sa chair), et la faire mourir de peur. Si lâches… ils ne méritaient pas la mort rapide qu’ils ont obtenue. (elle inspire, reprend contrôle de ses émotions) Non, je ne cautionne pas le meurtre gratuit pour simple prétexte le sang. »
AVEZ-VOUS FAIT DES CHOSES HORRIBLES POUR SURVIVRE ? AVEZ-VOUS DU TRAHIR DES AMIS ? VENDRE DES NOMS POUR NE PAS ÊTRE PUNIS ? — « (un sourire étire ses lèvres, mais il n’atteint pas ses yeux. c’est un rictus) L’horrible fait partit de mon quotidien. (le rictus disparait, elle redevient sérieuse.) J’ai disparu de la circulation, purement, simplement. Introuvable. Sur nul registre vous ne trouverez mon nom. Nulle part. Je n’existe pas. Je suis un fantôme. Je n’ai pas d’amis, pas d’attaches. (elle hausse les épaules) Qu’entendez-vous par « choses horribles » ? Je ne suis pas sûre que vous et moi ayons la même notion de ce mot. Je trempe dans le trafic de drogue depuis que je sais marcher, je vends des armes au plus offrant, je n’ai aucune morale éthique, que vous faut-il d’autre ? Mon nom ? (à nouveau, elle rit. C’est presque un rire dément, à faire froid dans le dos) J’ai un rôle, je joue mon rôle. (elle est plus près de la vérité que vous ne le pensez. Kesh n’est pas Nieves, et Nieves n’est pas Kesh. Pourtant, elles sont si étroitement mêlées que l’ont pourrait croire le contraire.) »
EST-CE QUE VOUS AVEZ DU FUIR LE CONFLIT ET LE GOUVERNEMENT OU, AU CONTRAIRE, L'AVEZ VOUS ACCEPTE ? — « ma famille a toujours eu des désagréments avec le gouvernement, quel qu’il soit ; nous n’avons jamais fait dans le légal. Etre d’accord avec les hautes sphères de l’Etat n’entre pas vraiment en osmose avec ce que je fais. C’est une chose, de le dénigrer, une autre, de penser que le climat actuel profite largement aux seigneurs de la guerre. Cela ne veut pas dire que je cautionne chaque acte, chaque pensée ; quant à fuir, c’est déjà fait, je n’existe plus. Je n’ai pas de nom, et s’ils le découvrent ? (un sourire nait au creux de ses lèvres) espérons qu’ils ne peuvent se passer de mon trafic pour que je reste en vie. »
QUEL SOUVENIR EST LE PLUS DOULOUREUX POUR VOUS, CELUI QUI VOUS HANTE JOUR ET NUIT ? — (un long moment, elle ne répond pas. Et celle qui le fait, n’est pas Kesh, c’est Nieves.) « Ils sont là, dans la lumière. Les ténèbres ne m’effraient plus ; c’est dans la lumière qu’ils sont, dans la pure, blanche, lumière, de celle qui brûle ceux qui se sont perdus dans les abysses du néant. Parfois, je vois leurs visages. (un temps) Ils m’attendent. (un temps) Les visages de ceux à qui j’ai ôté la vie. (un temps) Amir est celui qui revient sans cesse. (un temps) Il ne dit rien, il est juste là. Mais ses yeux, ses yeux sont vides, et c’est vers moi qu’ils sont tournés, vers moi qu’ils accusent, vers moi qu’ils supplient. (un temps) Puis, il hurle, il souffre, et je suis incapable de l’aider. (un temps) j’ai donné l’ordre. (un temps) je l’ai tué, ce n’est pas mon bras qui a fait le geste, mais c’est moi qui aie donné l’ordre. (un temps) j’ai tué le seul homme que j’aie jamais aimé. (un temps) Et je dois vivre avec. (elle sort.) »

laurine - middle ages

MON ÂGE — 22 ans
MON PAYS — francee
MON AVIS SUR LE FORUM — splendide, vous avez fait un super travail. I love you

MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — anthonia thomas. (elle est belle, hein ? better to die on your feets than to die on your kneels. 898565604

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)
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — bazzart.
UN DERNIER MOT MAGIQUE — à insérer ici

divide ut regnes (c)

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there is no worst death than the end of hope.

La lumière, le ciel, les étoiles, la nuit, les ténèbres, l’ombre. Le bord des abysses frôle les courbes délicates des rayons lumineux, et la poussière danse dans l’air. Le puits sans fond jamais ne voit le soleil, l’eau y pourrit. Parfois, je sens encore la chaleur du soleil sur ma peau ; en ces brefs instants, d’intenses souvenirs prennent possession de mon esprit. Le champ de blé oscille lentement à la faveur du vent, les éclats de rire de deux enfants, la course effrénée du petit chiot, son jappement, le grincement de la balançoire résonnent. Et, lorsque je tends le bras pour effleurer les grains de mes doigts, ils passent au travers, et la vision disparaît. Aussi brutalement qu’elle s’était emparée de moi, elle me laisse pantelante, mes genoux en tremblent, mes mains sont prises de spasmes incontrôlables. La lumière m’a à peine effleurée, et le souvenir est trop présent pour que je n’ose bouger. A nouveau, les ténèbres.

ACTE I SCÈNE I – PÉNINSULE IBÉRIQUE.

C’est une histoire de grands. Une débâcle de sentiments, de mots et d’actes. Sept ans est un âge trop jeune pour comprendre les affaires d’un trafiquant de drogue. Sept ans est trop jeune pour être jetée dans l’arène. Sept ans est trop jeune pour ne plus être un enfant. Mais que sont les protestations d’une âme que personne n’écoute ? C’était comme hurler dans les oreilles d’un sourd. Mais c’est normal, pour une gamine de sept ans qui n’a rien connu d’autre que son paternel acharné et obsédé par l’argent. L’adulte se fiche de sa fille ; il n’en voit que le futur profit qu’une telle innocence puisse lui apporter. Sa mère a disparu, terrorisée par ce qu’il faisait, trop faiblarde pour le supporter. Et, les gens faibles, il n’en veut pas. Sa fille n’est pas faible. Il s’en assure.
L’adulte claque des mâchoires, agacé. Elle lève les yeux sur lui, pâlit.
-Excuse-moi, père.
(Pas de réponse. La terreur s’infiltre.)
-Recommence.
(elle s’exécute, et cette fois le paquet est parfait.)
-Bien. Maintenant, va le porter à Enriques. (elle s’apprête à quitter les lieux.) Nieves. (Elle se stoppe. Se tourne, et fixe son père dans les yeux, comme il lui a appris.) Tu progresses. Tu passes à l’étape suivante. Dis-le aussi à Enriques. Il se chargera de la suite de ton éducation. Je pars demain pour Madrid. (un temps. Elle ne bouge pas, ne sait pas quoi penser. La voix claque, la fait sursauter.) VA !

ACTE I, SCÈNE II – LONDRES.

Enriques. Elle le déteste. Petit salopard d’espagnol machiste jusque dans le bout de ses ongles. Ce qu’elle fait n’est jamais assez bien pour lui, parce qu’elle est une fille. Mais elle ne lui arrache pas la tête – déjà, parce que père risque de ne pas apprécier, ensuite, parce qu’il est loin d’être stupide, et pour finir, parce qu’elle a besoin de lui, de ses enseignements. Alors, elle l’écoute, elle étouffe le dragon, le renvoie dans sa cave, et n’est que le tendre petit agneau qu’il pense qu’elle est. Un autre nom, dit-il, un nom, un surnom, peut importe, mais pas le réel, pas le vrai. Un faux nom. Elle le sait déjà, il est inscrit là, dans le creux de sa paume. Nieves, c’est l’enfant. Elle, c’est Kesh la Grande. Elle n’a peur de rien, méprise les hommes et leur machisme incontrôlé, et ne cherche que la puissance. Car c’est ce que son père veut – une branche à Londres. C’est pour ça que le Bourru d’Enriques est là. Il a pas l’âme d’un Baron, trop prudent, trop suiveur pour l’être. Deux ans à trainer dans les rues de Londres la Bouseuse. Deux ans à concevoir un réseau qui s’étend sur plusieurs kilomètres. Mais Enriques ne voudra jamais la laisser faire. Il sera le premier qu’elle devra tuer.

ACTE I, SCÈNE III – LONDRES.

-qu’es-ce que c’est ? (Enriques désigne la lettre parcheminée qu’elle lit)
-je ne sais pas.
-tu ne sais pas lire ? (Il se moque, elle serre les dents.)
-mieux que toi, ¡estúpido!
(il lui arrache la lettre des mains, en colère.)
-Hogwarts ? C’est quoi ce truc ? Un pensionnat pour gamines surdouées ?
(elle le fixe.)
-Je dois y faire ma scolarité, c’est écrit sur la lettre. Père ne sera pas d’accord. (elle le voit hausser un sourcil.)
-Pourquoi ça ? Je pense qu’il est temps que quelqu’un t’apprennes les bonnes manières, et rien de mieux que le collège pour ça. « Ecole de Sorcellerie » ? (Il rit.) Eh bien, en fait, cette école est faite pour toi, Nieves.
-c’est Kesh, maintenant.
-Mmmn, non, ce n’est pas ce qui est écrit ici.
-Donne-moi ça. (elle lui reprend la lettre, la relit, et voit « Nieves Vinador » écrit en lettres d’encre. Elle hausse les épaules) Père ne me laissera jamais y aller, même si c’était un asile.
-Ton père m’a donné le droit d’être ton tuteur, et, en temps que tel, je décide que tu iras.
Il sort, la plante là, un air hébété sur le visage. Puis, lentement, lorsqu’elle comprend, la colère la gagne. Enriques est loin d’être stupide, et il vient de saisir la chance de se débarrasser d’elle, d’en faire une menace minime pour devenir le futur Baron de drogue de Londres. Elle pince les lèvres. Laisse donc à Enriques ce qu’il veut, chuchote une voix. Tu peux avoir tellement plus que ces malfrats de bas étage.

ACTE II, SCÈNE I – HOGWARTS.

Elle entre, en silence. Le dortoir est vide, à cette heure de la journée. Elle s’empare de son notebook, y griffonne des mots, murmure.
-Là, ils ne sont pas différents des autres. Ils veulent la même chose. Père disait qu’un réseau se construit sur plusieurs années ; il a raison, il est la raison, et c’est ce qui y est. Ils ne s’en rendent pas compte, ils viennent à moi l’Espoir dans leurs yeux, et, en échange de quelques pièces –sorcières ou non, l’argent est l’argent- ils se retrouvent au paradis pour quelques heures. Le mélange de la cocaïne avec la racine de mandragore broyée donne un mélange détonnant et que tous, moldus ou sorciers s’arrachent. C’est par là que les choses commencent. Petit à petit, ils viennent à moi, tels des chiens égarés réclamant de la nourriture. Bientôt, ils en demanderont plus, toujours plus – et le Baron de la drogue d’Angleterre ne sera pas cet imberbe d’Enriques, mais la fille même du Cartel de Sindra. (un temps.) Ce monde est étrange, ils se battent en usant de baguettes magiques, et une incantation. Incarcero. Parfois, j’ai l’impression de marcher dans les couloirs d’un asile ou chaque personne est complètement folle, ou les élèves sont vêtus de robes, ou les tableaux ne sont pas capables de vous laisser en paix. Je ne suis pas chez moi. Mais la tourmente gronde, et un Baron sait reconnaître les signes d’une apocalypse imminente. Le ciel s’assombrit, les visages se ferment, les rires n’existent plus. Et là ou furent autrefois les défenseurs de la paix, bientôt s’élèveront ceux à qui profite la guerre, car c’est bien une guerre que voilà, si noire, si profonde, et son ombre approche.

ACTE II, SCÈNE II –

Elle est fébrile, la peur se lit dans ses yeux. Ce n’est plus Kesh, c’est Nieves. Et la terreur la ronge. Elle tourne dans la salle comme un lion en cage, mais un lion terrifié.
-La révolte, c’est un coup de canon, l’annonce du massacre, la déclaration de guerre. Sa mort, Potter, a ébranlé le monde ; il y a ceux qui fuient, ceux qui sont terrifiés, ceux qui défient, puis, ceux qui ont ce sourire sur le visage. Le sourire du vainqueur. La guerre a éclaté, mais le combat est inégal. Sorciers ou pas, l’heure n’est plus aux affaires. Serait-il temps de mettre les voiles ? La menace gronde, qui suis-je à leurs yeux ? Oh, petite Sang de Bourbe, tu es le repas des Grands. –Non ! –Si fait ! –Que nenni, on ne mange pas le renard. Le renard est fourbe, malin, il discute. Mais ils ne discuteront point, ils prônent leur Sang au-dessus des lois. Sois des leurs. Sois le serpent, sois l’aigle, sois le lion, sois le Change forme. Change. (un temps. L’éclair se fait, son regard cesse d’être terrifié, lentement, il se fait déterminé. Revoilà Kesh.) C’est ça, c’est ça. Sois ici et ne le sois pas. Devient leur bras armé et leur ennemi le plus vil. Mélange les deux mondes. Baguettes et armes à feu, explosifs moldus et sorciers. Fais ce que tu fais de mieux, Kesh.

ACTE III, SCÈNE I – QUELQUE PART DANS LES RUES DE LONDRES.

C’est une histoire de gosses. Un trésor oublié, des mots jetés sur le papier, des pages jaunies par le temps et l’espace, et des taches de sang. Le livre s’effrite presque sous mes mains. L’enfant lâche le pistolet, s’empare du livre. C’est une histoire de gosses. Amir s’approche, sa colère transcende. Elle est là, elle la sent, elle la voit. Elle sort par les yeux d’Amir, par sa bouche, par ses oreilles, par sa peau. La violence n’est jamais loin, mais elle ne se recroqueville pas. Pas ici. Pas dehors. Amir devrait le savoir. Mais, idiot, il continue, houspille, hurle, décharge sa colère. Puis, le geste de trop. Violent, il la saisit au poignet. La force de l’homme fait glisser le livre à terre. A ses oreilles, c’est un vacarme assourdissant, une bombe qui explose, le tonnerre qui éclate. L’instant d’avant, il la tenait, l’instant d’après, c’est du vide : un pistolet pointé sur son œil droit, le livre serré contre elle, les lèvres pincées, le regard flamboyant.
Mais jamais elle n’a ouvert la bouche, pourtant Amir était sûr qu’elle allait le tuer.
(…)
(plus tard, en bordure de la Tamise)
-tu l’as tué ?
-j’avais pas le choix, ce brujo avait découvert ma couverture.
-ouais, mais, te trimbaler son cadavre tout le long ? t’es pas net, Nieves.
-ose le redire, je te fais cadavre aussi. Et ne m’appelle pas comme ça.
-calmos, gamine, hein. (un temps.) tu vas faire quoi, maintenant ?
-trouver un endroit ou l’enterrer. (un temps, elle se tourne vers Amir) et tu vas m’aider.
-pas question ! (il pâlit, l’arme qu’elle pointe sur lui se fait menaçante.) calme-toi putain ! si tu me tues..
-tais-toi, j’vais pas te tuer, juste te menacer, c’est différent. (un temps, ils s’observent en chiens de faïence) t’es trop pathétique pour que je te tue. (il tique, sa lèvre se retrousse.)
-tu regretteras tes paroles.
-certainement, j’attends ce jour. (elle lui jette une pelle.) en attendant, creuses.

ACTE III, SCÈNE II – QUELQUE PART DANS LES RUES DE LONDRES.

-ou tu vas ?
-Amir. (elle s’arrête, l’observe. Le silence s’éternise, elle ne dit rien, rien que son prénom qui flotte dans l’air. Puis :) je m’en vais.
(il fronce les sourcils)
-comment ça, tu t’en vas ?
-là-bas, ailleurs, autre part. pas ici.
-tu peux pas.
-si.
-non. Ils te tueront.
-qu’ils essaient.
-tu vas finir en taule.
-et alors ?
-tu le mérites pas.
-je m’en fiche. (elle hausse les épaules, puis elles s’affaissent, et la trafiquante redevient enfant.) je pars.
-Kesh ?
-oui ?
(Il l’embrasse.)

ACTE IV – REPAIRE INCONNU.

-le convoi a été attaqué.
-N’était-ce pas ce qu’il était prévu qu’ils fassent ? C’est pour ça que nous leur avons fourni les armes.
-Il y a autre chose.
-quoi donc ?
-Amir était parmi eux.
(un temps. Trop long. Kesh retient sa respiration. Elle se tourne vers son ‘lieutenant’)
-¡joder de mierda! (un temps. Elle semble contenir sa colère. Difficilement.) Ou est-il ?
-C’est le problème, il n’est pas revenu. Nous ne savons pas ou il est, ni ce qu’il est advenu de lui, si la résistance l’a gardé, ou si, en revanche, le ministère le retient quelque part.
(un temps, tous ont les yeux fixés sur Kesh. Le pouce et l’index entre l’arête de son nez, elle soupire)
-retrouvez-le. S’il se trouve au ministère, tuez-le. Vous connaissez les règles. ¡Pronto!
ils se dispersent tels des oiseaux de proie. Alors, elle laisse tomber le masque, et la fille terrifiée refait surface.

divide ut regnes (c)

Bienvenue sur le forum !
Bonne chance pour ta fiche ! Plein de courage aussi ! I love you

olololo, mais quels choix ! antonia est parfaite, et la nationalité, et le pseudo, et la profession. I love you

j'suis déjà conquise, et j'ai hâte d'en lire plus.
bon courage pour la suite !

j'aime la diversité et le choix d'avatar I love you

je demanderai un lien, surement avec Aiden, on peut en discuter par mp better to die on your feets than to die on your kneels. 3593521119

bienvenue

better to die on your feets than to die on your kneels. 3865868227

Ce choix d'avatar, ce choix better to die on your feets than to die on your kneels. 1084901888

Une profession qui donne envie d'en savoir plus en tous cas better to die on your feets than to die on your kneels. 3207508622

merci beaucoup, contente que le choix vous plaise autant, j'avais un peu peur de faire tâche, je dois l'avouer. better to die on your feets than to die on your kneels. 2534075639

better to die on your feets than to die on your kneels. 2534075639

better to die on your feets than to die on your kneels. 1243160711

Utopia, tu peux parler, kerry quoi. better to die on your feets than to die on your kneels. 3593521119

Draco, oh, merci, avec plaisir pour ce petit lien. better to die on your feets than to die on your kneels. 2696326756

desmera, merci, je suis très touchée, là. j'espère que la suite te plaira. I love you

Quel d'avatar, original et dans la diversité, j'apprécie !
Bienvenue parmi nous !

merci.

que dire d'ewan, je suis amoureuse de lui depuis star wars. better to die on your feets than to die on your kneels. 3865868227

JE. OH. OMG. MY GOD. CE PERSO EN JETTE better to die on your feets than to die on your kneels. 1873345134

Réserve-moi un lien better to die on your feets than to die on your kneels. 1084901888

Bienvenue

Moi qui voulait jouer Lupita, au départ, pour apporter de la diversité dans les forums, je suis comblé , vraiment, choix parfait !
Bienvenue .

antoniaaaaaaaa j'applaudis ton choix, elle est tellement belle
bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Victoire, avec plaisir. et merci, je suis ravie qu'elle te plaise better to die on your feets than to die on your kneels. 2870128747

Phineas, oh le choix de malade que ça aurait été. better to die on your feets than to die on your kneels. 1885394892

mais bon je te pardonne, nikolaj est aussi un sacré choix, et le perso. better to die on your feets than to die on your kneels. 2534075639

Cho, merci beaucoup! et Arden, elle va si bien à Chang je trouve. better to die on your feets than to die on your kneels. 3593521119

j'ai terminé ma fiche, j'ai peut être un peu trop développé les anecdotes, mais bon.

Si ya des choses qui vont pas, comme le fait qu'elle soit allée à Hogwarts malgré qu'elle ne soit pas née en Angleterre, je peux changer. better to die on your feets than to die on your kneels. 3865868227

Je viens juste dire que j'ai adoré ta fiche ! Le personnage est intéressant, brutal totalement à l'opposé de ce qu'on peut attendre better to die on your feets than to die on your kneels. 2870128747

Voila sur ce, bienvenue Laughing

Bienvenue, bon courage pour la validation I love you

Helios, merci beaucoup, je suis ravie qu'elle te plaise. better to die on your feets than to die on your kneels. 3207508622

et puis, je te retourne le compliment, ton personnage est très intéressant aussi, j'ai adoré ta fiche, ces deux personnalités qui le ronge. better to die on your feets than to die on your kneels. 2870128747

Cordélia, merci. better to die on your feets than to die on your kneels. 3593521119

better to die on your feets than to die on your kneels. 2155442247

T'es parfaite meuf What a Face

Bienvenue

better to die on your feets than to die on your kneels. 3839010037

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le vent souffle sur les plaines

tu es validé, bravo, on te jette des cotillons !

ta fiche est plus que parfaite. tout est vraiment bien choisi, rédigé, on comprend le personnage sans que tu en dises trop, chapeau. ta plume est magnifique, j'ai dévoré ta fiche, l'avatar et le pseudo sont des excellents choix.
pour ce qui est de son entrée à hogwarts, je pense que son installation à londres à ce moment-ci explique le pourquoi du comment. sinon, elle aurait été à beauxbâtons, mais comme je pense que la miss à plus sa place en angleterre à mes yeux, on ne change rien.
bref, tout est parfait, je te valide de suite.

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition

divide ut regnes

2014

je suis contente qu'elle plaise autant, merci beaucoup pour la validation et tes compliments. better to die on your feets than to die on your kneels. 3207508622