ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Les années passent et ne se ressemblent pas. Jamal a poussé son premier cri il y a trente neuf ans déjà, lors d'une journée ensoleillée de juillet. Plus précisément, l'homme a vu le jour un vingt-six juillet, dans le nord de l'Angleterre. PROFESSION — Longtemps resté sans emploi - du moins officiellement - Jarmal travaille aujourd'hui au ministère de la magie en tant que directeur du département des sports magiques. Il occupe donc un poste relativement important, qui lui permet entre autre d'accéder à des informations qui ne sont pas connues du grand public et dont il se sert pour arriver à ses fins. NATURE DU SANG — Les Shafiq sont une ancienne famille de sorciers qui prend sont origine en Inde, il y a plusieurs siècles de cela. Si les membres de cette famille se sont déplacés, génération après génération, une chose reste cependant inchangée : jamais le sang de ces sorciers ne s'est mélangé à celui de moldus. Les Shafiq font en effet partie des quelques sorciers qui peuvent encore prétendre avoir le sang pur. BAGUETTE — Sa baguette mesure vingt-six centimètres. Elle a été taillée dans du bois de saule, symbole de malice, et contient un croc de loup-garou. On l'a dit prédisposée aux enchantements. STATUT MATRIMONIAL — Jusque là, il n'y a qu'une femme que Jarmal ait véritablement aimée. Elle s'appelle Ansya et est la mère de Rohan, son unique fils. Seule ombre au tableau : Ansya est décédée à la suite d'un tragique accident. Jarmal est donc veuf depuis près de deux ans. ANCIENNE MAISON — Ayant toujours excellé dans l'art de la manipulation et possédant un esprit bien plus vif que la moyenne, personne n'a été surpris de voir Jarmal rejoindre Serdaigle lors de son entrée à Poudlard. PATRONUS — Un éléphant, un animal qui - selon un grand homme moldu - « dépasse toutes les autres par l'intelligence et l'esprit ». L'éléphant est effectivement symbole d'intelligence et de mémoire, des  qualités que le sorcier possède effectivement. EPOUVANTARD — La plus grande peur de Jarmal est de perdre son fils unique, auquel il tient plus que tout. Son épouvantard prend la forme de Rohan Shafiq, le teint livide, se vidant peu à peu de son sang. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Etrangement, il ne possède qu'une seule et unique cicatrice. Celle-ci se trouve le long de son épaule et est le résultat d'un mauvais sortilège dont il a été victime il y a près de vingt ans. GROUPE — We never forgive.

---

MON ÂGE — 22 ans.
MON PAYS — Suisse.
MON AVIS SUR LE FORUM — Marine, arrête avec tes projets de ouf, le forum est franchement génial  
MON PERSONNAGE — [] inventé [X] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — Pedro Pascal
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — Bazzart (a)
UN DERNIER MOT MAGIQUE —

Tic, tac, tic, tac. L'horloge tournait, le silence se prolongeait. Et tu attendais. Tu attendais que ton hôte veille bien prendre la parole. Tu n'étais pas le bienvenu dans son bureau et pourtant, tu te permettais de régulièrement rendre visite à Phineas Flint. Les affaires, disais-tu. Des affaires auxquelles l'auror aimerait bien mettre un terme ; mais on ne se débarrassait pas de toi aussi facilement : tu ne disparaissais que lorsque tu le décidais. Sans se départir du regard méfiant qu'il avait posé sur toi dès le moment où tu avais frappé à sa porte, Phineas se lança enfin : Que puis-je faire pour vous cette fois, Jarmal? Un sourire se dessina sur tes lèvres alors que tu te recalais dans ton fauteuil. Allons Phineas, vous êtes un homme intelligent. Vous connaissez parfaitement la raison de ma venue. Le visage de ton interlocuteur se ferma. Oui, il savait pourquoi tu étais là. Tu venais toujours pour la même raison : lui extorquer un peu d'argent. Tu avais en ta possession quelques informations compromettante sur Phineas, qui achetais ton silence depuis quelques mois. Cerseï n'était pas la fille biologique de Phineas. Ils n'avaient aucun lien de sang et, de ce fait, elle n'avait sans doute pas le sang aussi pur que son "père" voulait bien faire croire. Un mensonge qui pouvait avoir de grande conséquence en cette période de troubles.
Tu avais toujours été comme cela. Observateur, malin. Tu remarquais beaucoup de choses et tu t'en servais pour atteindre tes fins. Petit déjà, tu utilisais les mots avec une telle aisance qu'il était difficile pour les adultes de te refuser quelque chose. Ta scolarité à Poudlard n'était pas si différente : tu t'étais facilement mis la majorité de tes professeurs dans la poche - et plus tard, tu as même commencé à faire chanter tes camarades en leur demandant quelques pièces contre ton silence, lorsque tu apprenais quelque chose de croustillant sur eux. N'en avez-vous donc pas assez?! Vous rendez-vous seulement compte de la monstrueuse somme que je vous ai versé jusque-là?! La petite Cerseï vaut bien plus que cet or. Aucune réponse. Phineas était loin d'être un homme stupide ; il savait que tu avais raison. Tout l'or du monde ne pourrait remplacer sa précieuse petite fille. Ne vous en faites pas, Phineas. Vous serez bientôt débarrassé de moi. Et plus tôt qu'il ne l'espérait. Ces longs mois durant lesquels tu avais fait chanter Flint n'avaient pas été vaines : tu avais enfin récolté assez d'argent pour fuir l'Angleterre et commencer une nouvelle vie sur la terre de tes ancêtres. Phineas devait être soulagé : il ne te reverrait sans doute jamais. C'est toujours un plaisir de faire affaire avec vous.


Le soleil s'était couché depuis plusieurs heures déjà et les étoiles, elles, brillaient dans le ciel. Tu n'étais pas encore couché pourtant, il y avait des choses qui ne pouvaient attendre demain. Tu ne rencontrais jamais tes clients lorsque le soleil était dans le ciel ; tu préférais attendre la nuit, pour plus de discrétion - que ce soit pour toi ou pour eux. Pour cela, tu avais accepté de rencontrer l'un d'entre eux cette nuit-là, afin de pouvoir lui remettre le dernier rapport que tu avais écrit sur l'une des personnes que l'on t'avait demandé d'espionner. Cela sera suffisant, vous avez fait du bon travail. Je ferai à nouveau appel à vous en cas de besoin. Tu acquiesces et accepte le dernier paiement du client, avant de t'éloigner. Le travail était fini, il était temps pour toi d'aller rejoindre les bras de morphée. Tu tournes dans une ruelle, sans ralentir ton pas. Tu aurais pu transplaner jusque chez toi, mais tu aimais marcher. L'air était doux à cette heure de la nuit et il n'y avait pas un bruit. Cette atmosphère t'apaisait, te faisait presque oublier ton quotidien l'espace d'un instant. Jarmal Shafiq? En entendant ton nom, tu te retournas pour apercevoir une personne encapuchonnée, à quelques mètres derrière toi. Une femme, sûrement, étant donné le timbre de sa voix. Ton nom commençait à être connu dans le coin ; les gens faisaient appel à toi pour toute sorte de mission. De l'espionnage, surtout, mais tu avais également quelques liens avec la mafia locale et tu contribuais à leurs trafics. Toutefois, tes potentiels clients n'étaient pas les seuls à connaître ton nom. Il y avait aussi ceux qui voulaient ta peau, ceux que tu gênais. Et pour cette raison, tu étais sans cesse sur le qui-vive. Qui le demande? J'ai du travail pour vous. Il te lança une bourse, que tu attrapas au vol avant d'ouvrir. Lorsque tu vis les pièces d'or qui se trouvent à l'intérieur, un sourire se dessina sur tes lèvres. Quel que soit la tâche que cet individu te donnerait, tu serais son homme. À seulement vingt-et-un ans, tu avais déjà l'habitude de tremper dans des affaires louches pour gagner ton pain.


Tes yeux se promenaient sur le papier, ta gorge se serrait un peu plus à chaque fois que tu reconnaissais un nom dans la liste. L'une de tes anciennes enseignante, d'anciens camarades de classe. Exécutés. La Gazette du Sorcier que tu lisais était parue quelques mois plus tôt. Tu le savais car, à l'époque, tu avais entendu de nombreuses rumeurs sur ce qu'il se passait en Angleterre. Des rumeurs qui t'avaient conforté dans ta décision : il était hors de question que tu reviennes à Londres avec ce qu'il s'y passait en ce moment. Tu ne prendrais pas un tel risque, ni pour toi, ni pour Rohan. Cet article n'est plus tout récent. Que veux-tu que je te dise? Kingsley Shacklebolt, ton ami et beau-frère, était installé face à toi. Il t'avait gracieusement offert cette vieille édition de la Gazette lors de son arrivée, mais tu savais que ce n'était pas tout. Il n'aurait pas fait le déplacement uniquement pour te donner de quoi lire - et confirmer les rumeurs auxquelles tu avais jusque-là refusé de croire. Nous avons besoins de gens comme toi, Jarmal. Tu as toujours su tirer ton épingle du jeu. Si tu revenais en Angleterre... Je n'ai pas l'intention de revenir. J'ai déjà perdu ta soeur, je ne compte pas risquer la vie de Rohan. Ansya Shacklebolt, cette femme pleine de vie à laquelle tu étais resté marié pendant un peu plus de quinze ans. Cette femme qui avait réussi à te faire changer, qui avait su tirer le meilleur de toi. Celle qui avait mis au monde ton fils. Envolée, disparue. Un malheureux accident que tu devais à ces machines moldues que l'on appelait des "voitures". Ansya était décédée quelques heures après son arrivée à l'hôpital moldu dans lequel elle avait été admise. C'était quelques mois plus tôt et tu n'avais toujours pas été capable de t'en remettre. Nuit et jour, tu revoyais l'accident et tu te maudissais de ne pas avoir pu la sauver. Heureusement que ton fils était là ; tu n'aurais sûrement pas tenu le coup sans lui. Rohan a 15 ans, il possède ton talent. Ce n'est plus un gamin, il s'en sortira. À côté de cela, il y a des gens qui ont besoin de toi à Londres. Il est temps d'arrêter de fuir. Fuir. Oui, tu avais été lâche. Tu n'avais cessé de fuir, encore et toujours, depuis que tu avais quitté Londres. Ton ami avait raison, tu le savais. Tu ne pourrais fuir éternellement. À toi de voir. Mais je ne crois que c'est ce qu'Ansya aurait voulu. Elle aimait aider les autres tu sais et je suis sûre qu'elle aurait aimé que tu fasses de même. Les derniers mots que Kingsley t'adressa. Une semaine plus tard, tu étais prêt à partir pour l'Angleterre. Et jamais plus tu n'entendis parler de ton ami.


Tes journalistes font un travail remarquable. Je serai presque tenté de croire à leurs mensonges. Tu posas doucement le quotidien sur ton bureau, levant les yeux sur la femme qui venait de faire son entrée dans ton bureau. Ravenna Fawley, sans doute l'alliée la plus précieuse que tu aurais pu trouver. La jeune femme te ressemblait sur de nombreux point et c'est sans doute là, la raison pour laquelle vous travailliez si bien ensemble. Ravenna était une femme fascinante, tu devais bien l'admettre. Et si tu ne la connaissais en réalité que très peu, tu brûlais d'envie d'en apprendre toujours plus sur sa personne. Intelligente, elle avait largement le potentiel de pousser cette révolution plus loin ; tu savais qu'en tant qu'alliés, vous seriez voués à accomplir de grande choses. Je ne suis pas venue pour supporter tes sarcasmes. Ils se posent des questions sur toi, Jarmal. Ils remettent en question ta loyauté. Un sourire s'afficha sur tes lèvres tandis que tu écoutais la jeune femme. Ta loyauté n'a jamais appartenue aux mangemorts ou à leur cause, bien au contraire. Ce n'était qu'une façade, un rôle dans lequel tu étais rentré dès ton arrivée sur le sol anglais afin d'assurer ta survie et celle de ton fils. Un rôle qui te permettait également d'avoir des yeux partout, d'en savoir bien plus que si tu avais ouvertement clamé être opposé au gouvernement. Tu avais d'ailleurs rapidement compris que certains se méfiaient de toi et observaient tes moindres faits et gestes dans le but de découvrir la preuve qui pourrait te faire chuter. Et bien, cela prouve qu'ils sont moins stupides que je me l'étais imaginé. Il est vrai que la tâche se révélait être bien plus compliquée que tu ne l'avais pensé. Mais tu croyais dur comme fer en vos chances de réussite ; la complexité de la situation ne faisait que rendre le jeu un peu plus intéressant. Les mangemorts finiraient par tomber, tu en avais la certitude. Avec des gens tels que Ravenna et toi, il était impossible qu'il en soit autrement. Le moindre faux pas de ta part et c'en est fini de nous. Que crois-tu qu'il arriverait à ceux qui se cachent dans ce manoir? Tu connaissais les enjeux de cette guerre mieux que quiconque. Tu t'étais promis de protéger ces sorciers ; tu l'avais promis à ta défunte femme également. Il ne leur arriverait rien. Je sais ce que je fais, Ravenna. Il n'y a pas de quoi paniquer : ils ne m'auront pas. Je suis bien trop malin pour eux. Tu avais confiance en toi, en tes talents. Mais peut-être cette confiance aveugle que tu avais en tes capacité était ta plus grande erreur. À force de trop vouloir s'approcher du soleil, on fini par se brûler les ailes.

j'adore ta fiche, tu as très bien sur interpréter le caractère de jarmal et j'aime ta plume.   c'était complet et ça donne envie d'en savoir plus sur lui, vraiment et voir l'évolution que tu vas lui donner. en tous les cas j'ai vraiment hâte de pouvoir rp avec toi.     

   Félicitations petite chouette, te voici validé   Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin   voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
   Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition