ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Vingt quatre ans. Asaël est né un trente novembre mille neuf cent septante sept. PROFESSION — Depuis toujours, il est employé au chaudron baveur, servant les alcools une fois la nuit tombée. Depuis la mort du survivant, il est resté là bas. Les horaires lui conviennent, personne ne lui demande de compte et il a une liberté sans borne. NATURE DU SANG — les Richter sont des sangs-mêlés depuis toujours. BAGUETTE — Au bois de Cerisier, avec un cheveux de Vélane. Elle mesure vingt trois centimètres et demi. STATUT MATRIMONIAL — Célibataire depuis toujours. L'attache ? Il n'aime que ses frères. ANCIENNE MAISON — Serpentard. PATRONUS — Serpent à Sonnette. EPOUVANTARD — Un corps sans visage, aux trous béants sur son abdomen. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Excepté son corps rempli de tatouages, Asaël n'a pas réellement de marques visibles. Il a beau avoir un caractère de merde, généralement, il essaie d'échapper aux emmerdes, préférant servir son alcool et draguer ses clientes. Ses seules cicatrices se résument à celles qu'il a eu en aidant son plus jeune frère, Noam, lorsque celui-ci s'est transformé pour la première fois en loup-garou. Malgré sa peur, malgré ses doutes, Asaël est resté auprès de son cadet. A essayé de le protéger le plus possible. Il en a récolté les frais, certes, mais pour lui, rien ne compte plus que de savoir son frère en sécurité. Alors deux ou trois griffures n'y changeront rien. GROUPE —BREATH OF LIFE

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MON ÂGE — 20 ans
MON PAYS — Belgique
MON AVIS SUR LE FORUM —     
MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — Keno Weidner
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — Via une pub sur fb
UN DERNIER MOT MAGIQUE —   

« Maman, maman ! Je suis admis à Poudlard, maman, maman, t’es où ? Maman j’ai réussi ! » Un jeune garçon, d’à peine onze ans court dans toute la maison, à la recherche de sa mère, une lettre dans la main, trop heureux d’avoir fait comme toute sa famille. Avoir été admis à la prestigieuse école de sorcellerie. Depuis des générations, la famille Richter faisait ces études là-bas. Et Asaël avait eu tellement peur de ne pas être accepté. Peur de ne pas avoir sa place là où il se voyait déjà tellement. Sa mère le prit dans ses bras, faisant tournoyer ce petit homme aussi léger qu’une plume dans ses bras. Elle n’avait jamais douté. Mais comment elle aurait pu ? Il était son fils, son petit, son tout, sa vie. « Tu es un sorcier mon fils, comme ta mère. Comme ma mère avant moi. » C’est sur ces paroles que le plus vieux des Richter pris le chemin de l’école. Mais pas n’importe laquelle. Dès son arrivée, il sut que rien d’autres n’aurait pu lui faire plus plaisir que de savoir magner une baguette magique. Il savait que quelque part au fond de lui, il allait faire de grande chose. Ainsi passa ces trois premières années, dans le calme et l'apprentissage de la magie. Au fil du temps, il accueillit ses frères les uns à la suite dans l'école. Tous chez les verts et argents, ils formaient une famille soudée. L’année où il finit sa deuxième année et qu’il s’apprêtait à entrer en troisième, il rentra les deux mois d’été chez lui. Etrangement, il n’avait reçu aucunes lettres, aucuns hiboux de sa mère lui disant qu’ils les attendaient à la gare, comme chaque année. Il se dit qu’il devait être assez grand maintenant, et que peu importe si sa mère ne le réconfortait pas, il allait savoir les repérer seuls, comme un grand qu’il était, accompagné de ses deux frères. Descendant de cet étrange train qu’il prenait pour la xième fois, il mit pied à terre sur la terre ferme. Il en était soulagé, il n’avait jamais eu confiance en ce qui était mécanique. C’était trompeur. Pour lui, rien ne fallait la sécurité des baguettes, doux euphémisme. Cherchant avidement des yeux ses parents, il ne vit que sa mère, portant dans ses bras le petit dernier dans ses bras et ayant Ishmael à ses côtés, son doudou pendant au bout de son bras. « Maman …. ? » Un coup d’œil sur son visage ne lui dit rien qui vaille. « Ton père est parti. » La mère Richter n'avait jamais été très habituée à montrer ses sentiments, chose que Asa avait hérité. Le petit garçon voulait pleurer son père, comme tout fils. Mais il voyait Ishmael, les yeux rouges d'avoir trop pleuré, Arik en larmes, assis sur un banc. Il ne pouvait pas craquer. Pas maintenant. Aujourd'hui, c'était lui l'homme de la famille. Ravalant à grande peine ce qu'il sentait monter en lui aussi fort qu'une tempête, il releva la tête, regardant sa mère, entourant Arik d'un bras. « Je serai un grand garçon. Je vais protéger mes frères, moi. Je te le promets maman. »



« Putain Richter, tu fais chier, arrête de toujours regarder par cette foutue fenêtre » Le dit Richter foudroya son ami du regard. Merde, il faisait ce qu'il voulait. Puis il voulait pas venir boire des shots de whisky pur-feu avec eux. Lui, il voulait rester dans son dortoir, bien au chaud, veillant sur ses frères. Mais non. Il avait fallu qu'ils le traînent presque par le cou, et il avait cédé. Mais le pire, c'est quand il avait appris qu'Ishmael sortait. Bordel, il sortait avec ses potes. Pour la première fois, son jeune frère allait quitter la sûreté de leur dortoir pour les rues de Pré-au-Lard le soir venu. Il se détestait pour ça, mais il ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'oeil toutes les dix secondes pour vérifier si il ne voyait pas son frère. Imbécile. « Aller mec regarde la blonde, elle te reluque depuis tantôt » Daignant tourner son regard vers une autre table, il tomba dans les yeux bleus d'une jeune fille. De par son attitude de vrai tyran, de jeune homme totalement en dehors de la marge, de mec mal rasé aux tatouages sortant de partout, il avait toujours eu un succès plutôt prononcé de ce côté de la gente féminine. Et si d'habitude il ne perdait jamais l'occasion d'approfondir sa connaissance du corps humain, ce soir, il voulait juste rentrer, et pendre par ses appendices les plus douloureux Ishmael pour ne pas l'avoir prévenu qu'il sortait. Bête type. « Ouais, elle est pas mal... » A croire qu'il venait de sortir une absurdité sans nom, il se prit une claque derrière la tête d'Erik. Qui fit signe à la jeune demoiselle de les rejoindre. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois, et après trois secondes, elle était déjà collée à Asaël, une main sur sa cuisse, l'autre dans ses cheveux à elle. Vagin sur pattes. Elle lui susurra des mots doux, essayant d'attirer l'attention du beau barbu. « Putain Ishmaël ! » Sans plus attendre, il se leva, bousculant la dénommé Pauline pour sortir dans le froid. « ... Laisse tomber, ce type a un brother complexe, pas possible autrement » A la tête du sanglier, la soirée se poursuivit, tandis que le jeune homme furieux et un peu trop protecteur, partit à la poursuite de son imbécile de frère qui n'en faisait qu'à sa tête.



Alors que tout garçon normalement constitué sortirait avec ses potes pour fêter chaque soir le fait d'être en vie, Asaël lui préférait rester chez lui, entouré de ses frères. Avec eux il pouvait parler. Avec eux, il se sentait entier. Avec eux, il n'avait pas à faire semblant de s'intéresser à la vie des autres. C'était naturel, ils l'intéressaient comme personne. Jeux de société avec Arik pour lui prouver que non, il n'était pas l'intelligence incarnée dans tous les domaines. Matage de séries les plus débiles les unes que les autres avec Noam pour rire un bon coup. Et n'importe quelle autre activité avec Ishmael. Ou avec les deux autres. Ce soir là, Ishmael avait insisté pour que son grand frère vienne avec lui faire de la planche. Et comme à son habitude, Asa n'avait pas pu lui dire non. Jamais. Pour lui, c'était toujours oui. Si son petit frère lui demandait de sauter les yeux fermés du haut d'une tour en lui promettant qu'une pizza volante allait le rattraper à mi-course, Asaël sautait. Sans demander son reste. Il l'aimait tellement. Alors le jeune homme a pris son skate, et est parti avec le petit brun dans les rues de Londres. Durant ce genre de jeu, une certaine compétition s'est depuis toujours installée entre les deux frères. A celui qui ira le plus vite. Le plus loin. Le plus casse cou. Et comme toujours, Asa finit toujours pas gagner. Presque. Et ça l'emmerde. Au petit Ishmael. Parce qu'il ne supporte pas perdre face à son grand frère. Face à personne d'ailleurs. Et Asaël ne peut s'empêcher de se foutre de lui, toujours. Bref. Ce soir là n'échappe pas aux autres. Tandis qu'ils dévalent les rues, les gens hurlent, rouspètent. Certains vont même jusqu'à essayer de balancer un caillou sous leurs roues. Les jeunes sont cons. Mais ils parviennent toujours à esquiver. Et Asaël parvint en bas avant son frère. Un sourire triomphant sur son visage où nait une barbe blonde, il se tourne vers son cadet, celui fronce les sourcils. Il a mauvais, et Asaël ne peut s'empêcher de ricaner. C'est toujours drôle de le mettre en rogne. Sauf que cette fois, il ne daigne même pas lui accorder un regard, descendant sans attendre son reste, zigzaguant entre les gens. « Ce gosse me tuera bordel » Le jeune homme attrape sa planche sous son bras et essaie de rejoindre son frère, tout en jurant qu'il n'était rien d'autre qu'un gosse pourris gâté et entêté comme pas deux. « Arrête toi bordel » Asaël agrippe son frère d'une main, le plaquant à moitié contre un mur aux affiches remplies de groupes de rock. Et de détritus à terre. Les sous-sols de Londres l'ont toujours fasciné. Des recoins les plus sombres aux gens les plus bizarres. Mais pour l'instant, il est focalisé sur cette créature d'une bonne dizaine de centimètres de moins que lui. Il sait qu'il est proche. Peut-être trop proche de ce garçon. De son frère. Mais ça a toujours été ainsi. Et il ne se remet pas en question. Ni lui, ni ses intentions. Il agit. Comme toujours. Sans réfléchir. « C'est la dernière fois que tu m'ignores, ok ? » Il a jamais aimé ça. Que sa chair, son sang, son frère l'évite, l'ignore. ça le casse. Mais surtout, il prend à chaque fois un malin plaisir à le remettre sur le bon chemin. Ses pupilles noires se fondent dans le regard fiévreux de son cadet. Il est frêle. Tellement vulnérable. Asaël presse sa grande main dans le bas de son dos. Descendant toujours plus bas que l'éthique lui permet. Il doit arrêter, mais il s'en branle comme de l'an quarante. Ses jambes bloquent celles d'Ishmael. Un geste et tout éclate. Un geste et tout s'effondre.



Harry Potter est mort, Poudlard est loin derrière lui. Asaël aurait pu faire tellement d'autres choses. Mais il a finit derrière le comptoir du chaudron baveur. Peu lui importe, il aime servir l'alcool, tendre une oreille indiscrète et entendre mille ragots. La guerre ? Il ne veut pas en prendre part. Parce qu'il en fout, mais surtout parce qu'il refuse de risquer de perdre le moindre membre de sa famille. Ici, au chaud de l'autre côté du bar, il ne risque rien. Il n'hésite pas à deux fois avant de renseigner un mangemort. Il a entendu tellement d'horreurs arrivées à ceux qui refusaient. Des familles entières détruites, des membres arrachés. Et rien que l'idée de voir sa famille tomber à cause d'un refus de sa part le met hors de lui. Alors il évite de trainer là où il ne devrait pas être. Il a un jour promis à sa mère qu'il veillerait sur ses frères. Ce n'est pas maintenant qu'il manquera à sa parole.

ce personnage est vraiment parfait bienvenue ici et j'ai hâte que Asaël puisse servir quelques boissons à Draco après le travail

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
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