ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — J'ai trente-trois ans de nos jours, je vais sur mes trente-quatre je suis un vieux monsieur n'est-ce pas ? Mais cela ne me pèse pas, je me demande juste comment j'ai survécu jusque là. Je suis né à Londres à Sainte Magouste un 25 mai, c'était une belle journée à ce qu'il paraît. PROFESSION — Je travaille au ministère de la magie au département des jeux et sports magiques. Du moins, c'est ce que tout le monde croit. Je suis bien entendu là à tous les évènements du département mais mon réel métier se trouve être dans une toute autre direction. Je suis un membre de la Brigade Rouge, vous savez un de ces membres que l'on infiltre quand on en a besoin. Pas dans des forêts pour aller traquer des résistants mais dans la vie quotidienne de multiples sorciers qui ne se doutent pas qu'en me croisant ils pourraient être morts le lendemain. NATURE DU SANG — J'ai le sang pur comme toute ma famille avant moi. Cela a toujours été très important pour moi et même si je n'attaquais pas les moldus à l'école, je me suis toujours senti supérieur. Pourtant aujourd'hui de nombreuses questions commencent à germer dans mon esprit. BAGUETTE — Ma baguette mesure 25 centimètres et elle se compose de bois de lierre. Elle continent un cheveu de sirène et elle est prédisposée à la métamorphose, ma matière préférée à l'école. STATUT MATRIMONIAL — Je suis célibataire, plus par choix qu'autre chose en ce moment. Disons juste qu'avec le déshonneur de ma famille j'ai perdu ma copine de l'époque avec qui j'étais depuis de nombreuses années. Je ne lui ai jamais pardonné son abandon et elle n'a jamais cherché à l'acquérir de toute manière. Depuis je me contente de faire mon travail et de veiller sur ma famille. Mais mon travail pourrait me demander de me fiancer à Hannah Abbot. Son père en serait plus qu'heureux mais j'ai peur des raisons qui me poussent vers ce choix. ANCIENNE MAISON — Gryffondor. Etrange non ? Pour la famille Parkinson ça a été violent. Ma première année je l'ai passée à Poudlard sans rentrer une seule fois chez moi. C'est pendant l'été que mes parents ont fait leur deuil de leur rêve de me voir chez les verts et argents. Heureusement que ma soeur a été là pour sauver l'honneur familial. PATRONUS — Mon patronus prend la forme d'un hipprogriffe ce qui a longtemps fait rire ma soeur. C'est une créature que j'affectionne énormément mais qui est à mes yeux remplie de multiples mystères. EPOUVANTARD — Je me vois moi-même, la baguette tendue devant une sorcière enceinte et ses enfants. Et on me donne l'ordre de la tuer. Je n'ai jamais voulu tuer personne et je ne l'ai jamais fait, cela me terrifie rien que d'y penser. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — J'ai plusieurs cicatrices aujourd'hui. Des dizaines mêmes éparpillées sur mon corps meurtri. Elles auraient pu être infligées par des résistants et pourtant, elle me furent infligées par les gens en qui j'avais tant confiance. Je les dois donc à Bellatrix Lestrange et une bonne séance de torture destinée à me tuer si on n'était pas arrivé pour me sauver. GROUPE — Shadow Squad, je m'accroche à ce gouverne qui représente les valeurs que l'on m'a inculquées depuis petit. Et pourtant le doute commence à s'installer dans mon esprit ...

---

MON ÂGE — vingt ans
  MON PAYS — france
  MON AVIS SUR LE FORUM — il a l'air génial, sinon je ne serai pas ici
  MON PERSONNAGE — [] inventé [] prédéfini [X] scénario
  MON AVATAR — stephen amell
  COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — bazzart
  UN DERNIER MOT MAGIQUE — j'ai besoin de retrouver l'univers l'harry potter un peu

seize ans + Tu te promenais dans les couloirs de Poudlard ton balai à la main. C’était agréable cette sensation, de dominer tout cet endroit. Tu avais toujours aimé le statut supérieur que te donnait ton sang. Tu ne t’attaquais pas aux autres pour le montrer, bien au contraire, tu préférais ne pas le montrer plus que cela mais c’est ta posture et tes manières d’être qui faisaient passer le message, pas besoin d’aller torturer des nés-moldus pour cela comme le faisaient certains sangs-purs. Aujourd’hui c’était un jour de match voilà pourquoi les couloirs étaient presque vides. Tu te rendais toujours au dernier moment sur le terrain de Quidditch. Alors que tu t’avançais vers le stade et que le soleil de mai te donnait le sourire, tu ne pus t’empêcher de penser à ta petite sœur Pansy qui t’attendait à la maison du haut de ses quatre ans. Il te tardait de la retrouver et à chaque match tu pensais à elle et tu la voyais sur les genoux de ta mère en train de rire et de claquer des mains quand tu faisais des figures dans le jardin comme tu le faisais souvent l’été. Ta petite sœur avait été un miracle et elle serait choyée par tous. Perdre l’attention de tes parents ne te dérangeait pas du tout, c’était même un soulagement, vous alliez être deux à partager le poids de ses attentes, tu espérais que Pansy réussirait à le combler là où tu allais échouer parce que tu savais que tu allais échoué et tu l’avais déjà fait. Un Parkinson dans le rang des Gryffondor ? Des traitres à leur sang comme les appelaient tes parents … Tu avais longtemps eu honte de ce choix de maison, même après que tes parents t’aient pardonné cette répartition. Tu t’y étais fait ta place bien entendu même si la plupart de tes amis étaient à Serpentard. Tous tes amis d’enfance s’y trouvaient, tous les enfants des familles sang-pur que tes parents avaient pour habitude de côtoyer. Alors tu avais pendant longtemps subi les moqueries avant que tout cela ne disparaisse au final. Quelle importance la maison au final quand vous auriez quitté les murs du château ? Elle ne prédestinait pas notre vie, juste quelques années de notre scolarité. En attendant, tes amis à serpentard regrettaient amèrement de ne pas pouvoir apprécier ton talent dans leur équipe et c’était ce que tu adorais leur rabattre à la figure dès que tu le pouvais pour les taquiner. Finalement tu passais la porte des vetiaires et tu fus soulagé de voir que le capitaine avait terminé son discours. Tu détestais l’entendre le faire et ce dernier avait arrêté d’essayer de te forcer à l’écouter. Tu attrapais ta batte car tu étais batteur et tu fis un clin d’œil à ton coéquipier. Quand on jouait à une pareille position, il fallait une certaine complicité entre les joueurs et tu étais ravi d’avoir été capable d’en développer une avec un né-moldu. Oui, le Quidditch était vraiment le seul endroit où tu te l’étais permis et vous formiez un excellent duo sur le terrain, personne ne pouvait en douter. Une fois sur ton balai, tu oubliais tous ces détails pour te concentrer sur le match. Cognard après cognard, tu tapais toujours plus fort, toujours plus loin pour essayer d’atteindre ta cible et tu en touchais une ou deux. Pas de blessures trop graves mais tout de même. Et puis avant que tu ne te rendes compte de ce qu’il se passait, vous aviez gagné. Vous aviez réussis, la coupe était cette fois encore pour vous. Tu allais rejoindre tes coéquipiers pour partager ta joie avant eux. Tu partis ensuite en direction des vestiaires pour prendre une douche. C’est en sortant de ces derniers que tu rentrais en collision avec une demoiselle. « Désolé, je ne faisais pas attention. » Elle te sourit timidement, elle devait être un peu plus jeune que toi. Et à Serpentard vu la couleur de sa robe. « C’est pas grave, moi non plus. » La conversation aurait pu s’arrêter là mais elle ajouta : « Bravo pour la coupe, c’était un beau match. » Un grand sourire se dessina sur ton visage, tu adorais qu’on te complimente. « Merci beaucoup. Moi c’est Lowell. » Elle te tendit sa main avant de dire : « Eva, enchantée. Je suis désolée mais je dois filer. Bonne soirée, fêtez bien ça ! » Dit-elle avant de disparaître. Cette demoiselle t’intriguait, tu n’allais pas rester dans le doute longtemps, il était temps d’aller questionner tes petits espions à Serpentard.

trente ans + La fuite, c’était ce que ta famille avait trouvé de mieux. Elle cherchait à se faire connaître dans le monde sorcier mais comme toujours, elle avait trop loin et s’en était rendue compte trop tard que ce n’était pas la bonne manière de le faire. Une drôle d’histoire dans le fond. Mais tu étais d’accord avec eux, le massacre des nés-moldus était une chose peu nécessaire dans ce pays et l’extrémisme du Seigneur des Ténèbres vous faisait tous peur. Tes parents avaient apparemment tout organisé avec une autre famille sorcière alors tu leur faisais confiance, une nouvelle vie c’était peut-être ce dont vous aviez besoin et puis vous aviez les moyens de le faire. Alors au lieu de t’occuper de l’organisation, tu allais jouer ton dernier match dans l’équipe des Tornades. Tu étais triste de quitter ce monde du Quidditch mais tu ne pensais pas le quitter pour longtemps, ce n’était pas un sport spécialement Anglais alors tu trouverais toujours quelque chose à l’étranger. Après ton entraînement, tu allas rendre visite à Eva. Vous étiez un couple désormais et cela depuis des années maintenant. Il vous avait fallu attendre sa sortie de Poudlard il y a huit ans pour que les choses s’accélèrent mais désormais elles étaient bien là. Eva était parfaite, sang pur tout comme toi, elle te complétait parfaitement et vous partagiez un appartement dans Londres près de Sainte Magouste où elle finissait sa formation. Elle savait que quelque chose se tramait mais tu ne lui avais encore rien dis. La fin du mois d’août approchait à grand pas et cela faisait désormais plusieurs mois que vous aviez repris une vie normale après  plusieurs mois au service presque complet du Seigneur des Ténèbres dans son combat contre Harry Potter. Tu rentrais donc dans l’appartement et tu trouvais Eva dans la cuisine. Tu posais ton balai avant de lui dire : « Faut qu’on parle Eva. » Ta valise était déjà faite, tu avais peur du tournant que prendrait cette conversation. Elle pouvait tout changer dans votre conversation et tu le savais. « Il n’est pas trop tôt Lowell, je l’attends celle-là, tu m’expliques pourquoi il y a une valise dans notre placard ? » Tu l’avais faite ce matin alors qu’elle était au travail, tu pensais qu’elle ne la remarquerait pas. Tu soupirais avant de lui dire : « Avec ma famille on quitte le pays tant qu’il est encore temps pour s’offrir une nouvelle vie et j’aimerais que tu m’accompagnes. » Voilà, c’était dit et c’était écris noir sur blanc. Elle te regarda pendant un long moment avant d’éclater de rire. « Tu es complètement fou Lowell et puis pourquoi partir ? On a gagné non ? Cela ne te fait pas plaisir ? » Voilà le seul sujet sur lequel vous n’étiez jamais d’accord tous les deux. Non, cela ne te faisait pas plus plaisir que cela car tout ce que tu avais vu depuis la fin du conflit c’était plus de morts dans la communauté magique. Tu te sentais peut-être supérieur avec ton sang mais de là à exterminer le reste de la communauté ça allait loin. « Ce n’est pas la question, c’est n’importe quoi de tuer tous ces gens de toute manière. » Elle te regarda avec un regard perçant avant de te dire : « Tu devrais y aller Lowell, pour l’amour que je te porte je te souhaite bonne chance mais je ne t’attendrai pas. Ma vie est ici, ma famille est ici, je reste. » Au moins c’étair clair. Tu le savais au fond, tu t’y étais attendu. Tu allas récupérer tes affaires et tu pris ton balai. Avant de sortir, tu déposais une dernière fois tes lèvres sur les siennes avant de quitter à jamais cet appartement où vous aviez passé de si bons moments. Ce souvenir de cette soirée avec Eva te revint à l’esprit alors que tu te trouvais dans des pièces secrètes du ministère. Bien sûr qu’ils vous avaient retrouvés, ils ne pouvaient pas vous laisser tranquille. Tu savais que ta vie ne serait plus la même désormais, tu ne le savais que trop bien. Et tu savais qui t’avait trahi. Eva … Pas de gaité de cœur cependant, elle avait été torturée, tu pouvais le voir sur son visage mais elle ne chercherait jamais à te revoir, pas après ça et la disgrâce dans laquelle ta famille allait devoir vivre désormais. Une fois devant tes parents, tu leur demandais : « Qu’est-ce que vous avez échangé contre notre liberté ? » Ta mère avait les larmes aux yeux et ton père baissa le regard avant de te dire : « La moitié de notre fortune personnelle. On a gardé le manoir. Nous allons être sous surveillance pendant un moment, il fallait s’en douter. Ils m’ont promis un poste dans le département des sports magiques pour toi et un emploi dérisoire pour moi, je ne pouvais pas faire mieux. » Tu te contentais de poser ta main sur l’épaule de ton père avant de prendre ta mère dans tes bras. Et ta sœur finit par vous rejoindre quelques minutes plus tard. Elle se jeta elle aussi dans tes bras. Il était temps d’aller faire face à notre nouveau statut maintenant.

trente-deux ans + Deux ans que vous aviez tenté de fuir, deux ans que vous viviez une humiliation quotidienne. Tu ne savais que trop bien l’effet que cette fuite avait eu sur ta famille car même si ta mère passait le plus clair de son temps au manoir et ton père dans un bureau au fin fond du ministère, toi tu faisais parti encore de la communauté sorcière et tu faisais face tous les jours aux bruits de couloirs, aux rumeurs les plus folles. Et votre nom n’était jamais épargné, il y avait toujours une circonstance qui le ramenait sur le devant de la scène. Tu savais que ta famille chercherait à se venger. La surveillance avait cessée sur votre famille, du moins elle n’était pas plus surveillée que les autres car vous étiez tous vérifiés et vous le saviez très bien. C’était peut-être ça le pire dans ce gouvernement. Pour ou contre, tout le monde était surveillé d’une manière ou d’une autre et toi tu ne faisais pas exception loin de là même. Pourquoi ? A cause de ton nom et de ta place dans la Brigade Rouge que tu avais obtenue l’année passée après avoir rendu plusieurs services à la famille Malfoy. Aujourd’hui, tu faisais parti de ces infiltrés dans la vie quotidienne de tes collègues du département des sports magiques, un mot de travers et ils pouvaient mourir le soir même. Mais tu devais aussi enquêter en dehors du ministère. Pour l’instant, on ne t’avait pas donné de telles responsabilités mais tu avais que tu étais surveillé, un Parkinson dans la Brigade Rouge, ce n’était pas bon du tout, ils étaient presque comme des traitres à leur sang d’avoir fui de la sorte. C’est donc sans grande surprise que tu fus convoqué un soir après ton travail au département des sports magiques à venir faire un rapport au QG de la Brigade Rouge. Si tu avais su ce qui t’attendait à cet instant précis, tu serais parti en courant et tu aurais cherché à disparaître. Mais à l’époque, tu étais encore naïf, tu croyais que ceux de ton camp ne pouvaient pas te faire physiquement du mal. Tu te trompais. En entrant dans la salle habituelle, tu tombais sur Bellatrix Lestrange. « Madame Lestrange, que me vaut cet honneur ? » Parce que cela en était un, tu n’aimais pas plus que cela la jeune femme mais si elle était là ce n’était pas sans raison vu son emploi du temps ces derniers mois. « On est venu m’informer d’une trahison dans le service vous n’en auriez pas entendu parler monsieur Parkinson ? » Et là ton sang se glaça. Tu étais peut-être naïf mais tu n’étais pas idiot, si Bellatrix était venue ce n’était pas sans raison. Cependant, tu n’avais rien à lui dire parce que tu n’avais trahi personne du Gouvernement ni de la Brigade à vraie dire. « Je suis désolé mais je ne vois pas de quoi vous parlez. » Elle se mit à rire de manière tonitruante dans cette salle vide. « Sauver des petits résistants va te coûter la vie Parkinson. » Oh tu n’en doutais pas à cet instant précis et les sortilèges de torture finirent par tomber les uns après les autres. Mais Bellatrix était connue pour son sortilège Doloris et tu ne te souvins plus combien elle s’amusa à en jeter sur toi jusqu’à ce que tu perdes conscience de la douleur, elle n’était plus importante. Payer pour un crime que tu n’avais pas commis. Alors c’était ça la justice de ce gouvernement ? Tu le savais déjà, tu avais juste fermé les yeux. De simples rumeurs, tout partait toujours de là. Pas de procès, on punit à la source et au plus vite avant qu’une égratignure ne se transforme en plaie béante. C’était pathétique vraiment et pourtant, tu faisais partis des leurs. Tu sentais tes forces te quitter, petit à petit quand quelqu’un se mit à crier. « Bellatrix ! Ca suffit ! » C’est tout ce que tu entendis avant de perdre connaissance. C’est plusieurs jours plus tard que tu te réveillas dans un lit de Sainte Magouste. Ta sœur à tes côtés. Tu ne savais pas depuis combien de temps tu étais là mais ton corps te faisait toujours un mal de chien. « Ca fait trois jours que tu dors grand frère, papa et maman seront soulagés. » Trois jours. Tu essayais de regarder sous ta tenue d’hôpital et les cicatrices que tu vis sur ton corps te firent peur, tu les découvrirais plus tard, mieux valait ne pas brusquer les choses. « Tu vas encore les défendre pas vrai ? » Ta sœur qui ne comprenait pas tes choix, surtout ceux irrationnels comme celui-là. Cependant c’était à sa sécurité que tu pensais avant tout. « Pas maintenant Pansy, on en discutera mais pas ici. » Tu étais assez bien placé pour savoir que les murs avaient des oreilles. Une semaine plus tard tu sortais de l’hôpital et tu rencontrais la personne qui t’avait sauvée, un collègue de la Brigade qui devint ton ami. Il savait que tu étais innocent et il t’avait sauvé, tu lui devais ta vie et tu ne savais pas comment la lui rendre maintenant.

trente-trois ans + Depuis l’attaque de Bellatrix, beaucoup de choses avaient changé pour toi. Tu n’avais pas quitté la Brigade Rouge comme ta sœur l’avait espéré mais tu ne pouvais pas le faire, tu n’avais rien à te reprocher et tu refusais de quitter cette position qui commençait à donner du renom à votre nom de famille une nouvelle fois. C’était ce que tu attendais depuis longtemps alors tu ne pouvais pas partir. Toutefois, ce n’était pas pour cela que tu n’avais aucun problème avec ce qui s’était passé. On t’avait accordé une semaine de repos avant que tu ne reprennes tes fonctions et tu en avais profité pour réfléchir. Tu n’étais pas d’accord avec ce qui était en train de se passer, tu étais loin d’être d’accord avec toute cette torture toi qui refusait de tuer. Tu n’avais pas le choix par contre, la torture avait été ta sortie de secours. Mais aujourd’hui tu n’étais même pas certain de pouvoir infliger ce sort à qui que ce soit pas après que les cicatrices qu’avaient laissée Bellatrix étaient encore si visibles. Alors malgré des doutes qui s’installaient, tu restais pour une multitude de raisons. Et on te donna une nouvelle mission. Celle de surveiller la famille Abbot. Pourquoi ? Parce que le fils avait fait l’erreur d’entrer dans la résistance et en avait payé le prix fort. Du coup il fallait s’assurer que les Abbot ne suivent pas les pas de leur fils. Mais c’était surtout Hannah qu’il fallait surveiller, cette petite blonde qui à Poudlard avait été amie avec tout l’entourage d’Harry Potter. Tu savais qu’ils n’attendaient que de le coincer. Alors tu étais parti pour ta mission et tu avais rencontré les Abbot qui savaient déjà que quelqu’un viendrait. Tu ne fus pas aussi mal accueilli que tu le pensais ce qui était un soulagement. Et puis tu avais rencontré Hannah, cette magnifique blonde. Elle était belle, c’était la première chose que tu avais pensé, la seule pensée non professionnelle que tu t’étais permise à son égard. Et puis tu avais appris à la connaître, tu avais appris à connaître sa famille. Un soir, après dînner alors que tu allais partir, le père de la demoiselle te prit à part dans son bureau. « Il y a une affaire dont je voudrais vous parler. » Tu ignorais ce qu’il pouvait avoir à te dire parce qu’ils n’étaient pas résistants, du moins pas les parents. « J’ai besoin de marier Hannah. » Tu le regardais incrédule avant de penser que la demoiselle n’allait pas se laisser marier aussi facilement. « Si vous pensez que c’est le mieux. Vous avez eu des propositions ? » Demandas-tu curieux. Le patriarche Abbot laissa échapper un petit rire. « Des propositions pour la sœur d’un traître ? Bien sûr que non. Mais je veux m’assurer qu’elle soit protégée par son sang et le statut de son mari. Je ne vois pas un autre moyen de la protéger. » Tu avais eu envi de lui demander de quoi il voulait la protéger mais là aussi tu avais une idée. Hannah était peut-être mystérieuse au premier abord mais elle commençait à s’ouvrir en ta présence comme tu commençais à le faire aussi. Tu savais que tu devrais la dénoncer parce que plusieurs petits détails te faisaient comprendre qu’elle était du côté de la résistance mais tu étais incapable de le faire. Alors tu pouvais comprendre que son père veuille la protéger. Cependant quel mari de sang pur serait prêt à la couvrir ? « Pense-y Lowell, on en rediscutera. » Alors c’était pour cela qu’il voulait t’en parler, il te voyait comme un prétendant idéal … Tu étais rentré faire un bilan de cette conversation à ton supérieur qui n’hésita pas en te disant que l’épouser était une option à considérer. C’était pour le bien du gouvernement, il fallait le faire si on t’en laissait l’occasion. Le lendemain, tu passais au manoir pour ta visite quotidienne quand tu vis Hannah assise dans le salon. Elle semblait pensive. « Tout va bien ? » Lui demandais-tu appuyé contre l’encadrement de la porte. Elle posa alors ses yeux sur toi avant de dire : « Je viens d’apprendre que l’on veut me marier, cela pourrait aller mieux. » Tu ne dis rien, tu savais déjà que ça ne la ravirait pas cette histoire. Devant ton manque de surprise, elle te dit : « Je vois que ce n’est pas une surprise pour toi. Mon père est déjà passé à l’attaque alors … » Tu répondis avec l’affirmatif parce que c’était vrai. « Il veut te protéger tu sais, il ne veut pas perdre sa fille de la même manière qu’il a perdu son fils. » Tu savais qu’elle comprendrait ce que tu lui disais, elle était beaucoup trop intelligente. « Il ne me perdra pas ! Je suis si jeune et je n’ai aucune envi de me marier avec quelqu’un que je déteste. » Tu secouais la tête avant de lui dire : « Tous les mariages arrangés ne sont pas désastreux non plus. Cela a fonctionné pour mes parents et vu ce qu’ils ont traversé ensemble, ils doivent s’aimer pour que cela tienne. » Tu pensais à votre déshonneur, à l’impossibilité de ma mère d’avoir un second enfant pendant les onze premières années de ta vie … « Tu as certainement raison … De toute manière j’ai de la marge, qui voudrait épouser la sœur d’un traitre n’est-ce pas ? » Dit-elle avec un sourire en coin sur les lèvres. Tu levais les yeux au ciel avant de lui dire : « Il faut que je file, ma sœur doit m’attendre. Bonne soirée Hannah. » Dis-tu avant de quitter a pièce et le manoir. Cette belle blonde te faisait perdre tes mayens la plupart du temps mais tu voulais la protéger malgré tout ce que tu soupçonnais à son égard, tu n’avais pas envi qu’elle subisse ce que tu avais subi.

jolie fiche, même si un parkinson à gryffondor, ça m'a très très légèrement fait tiquer. mais ça, c'est la faute à hannah.
fais juste attention aux répétitions un peu disgracieuses des fois.
mais je te valide avec plaisir.

Félicitations petite chouette, te voici validé   Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin   voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillet, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition