FRATERNITÉ DÉPRAVÉE — oberyn & dolores / Dolly, sa douce et arrogante Dolly. Malgré leur relation houleuse, des plus changeante, elle s’est accroché à sa vie comme si elle était sienne, elle a sauvé un être qui ne méritait que de tomber. Et pourquoi ? Parce que son cœur était déchaîné par une lubie des plus abstruse, anticonstitutionnelle, régissant chaque mouvement, chaque pensée, chaque pas qu’il souhaiterait faire. Sa douce Dolly, ils étaient les enfants séparés, ceux qui préféraient s'arracher les cheveux au lieu de partager le plus simple des jouets. Terribles ? Surement, mais à présent, toutes querelles passées sont oubliées, ils ne ressassent pas ces cauchemars, n’appartiennent-ils pas à un autre monde ? Ils n'ont jamais eu le luxe de se morfondre dans des rêves les plus roses, ils ne se perdront pas dans ces simulacres d'horreur. L'enfant lui révèle petit à petit son visage, il croit malheureusement qu'elle est des plus gâtées, plus pourrie que lui. Elle s'efforce de se noyer dans son propre malheur, parfois il aimerait appuyer un peu sur sa tête, l'aider dans son acte laid. Il ne peut se résoudre à la transformer, à la modeler à son visage. Il l’a connait si bien à présent. Petite Lo échevelée, son écriture est toujours aussi désordonnée, brusque qu'autrefois, et elle est un malheur à regarder. Mais il ne veut plus la voir, il cessera de la tourmenter, elle, sa Lo, sa Dolly. Elle reste l'enfant brune et rose, brûlante et souillée, celle qui minaude en dévoilant ses épaules lorsque il arrive. Petite soeur, elle était un monstre de domination, elle a manipulé sa vie de ses yeux grimaçants. Mais tous cela dois s'arrêter dès à présent, leurs jeux vicieux prennent fins dès maintenant. Il y met un terme, car sa Lola s’est perdue et il ne fait que lui montrer la mauvaise voie. Dans ses chaussettes informes, elle erre sans âme, sans chagrin, elle n’a rien pour pleurer, pas même les vestiges d'une ancienne estime de soi. Il l’a détruite dès son plus jeune âge, elle lui a interdit d'aimer depuis toujours. Ils s’entre-déchirent, ils se haïssent, oui ils se détestent. Elle danse sur les mots qu’ils avaient tissés, tard le soir quand elle paressait sous sa couette, prétextant la peur de l'orage. Il savait bien qu’elle n'avait peur de rien, si se n'est d'être imparfaite, banale. Oh ! Il l’a voit bien, en bouderies bleues, vêtue de son hilarité rose, parcourir ces mots de ses yeux d'abadir, oui ses pierreries trompeuses qu’elle chérit tant. Non, il lui demande pardon pour tout le mal que qu’il lui a fait, pour toute la médiocrité de son être faible. Le baiser qu’il lui a donné sous la fureur, il le reprend, il ne lui appartient plus. Plus exactement, il lui rend ce moment volé, quand il a souillé ses lèvres des siennes, gangrenées.

alors, si tu lis ces mots, c'est que tu lorgnes sur les doux deux yeux de Dolly, et comme je te comprends, la plastique de la demoiselle réveillerait un comateux    sache que si tu prends ce scénario, tu deviendrais un peu mon dieu vivant, so, QU'ATTENDS BOUGRE DE BOUDIOU ?

HISTOIRE Elle est née chez les Montague, elle a vécu une enfance assez difficile, si vous voulez en savoir plus sur ma famille et Oberyn, je vous conseille fortement de lire ma fiche, ici
AVATAR Alors, c'est difficile de pas mettre Emily, mais vous pouvez toujours essayer de me refiler une autre donzelle, le mieux c'est qu'elle soit assez petite, frêle et mutine en même temps. En gros qu'elle puisse passer pour un ange alors qu'elle est juste la pire des tordues.
LE NOM Pas négociable, parce que Dolores, C'EST FUCKING LOLITA. Voilà, et puis Montague, parce que c'est un peu ma soeur, wallah  
LE LIEN Assez libre et assez restreit pour qu'on puisse bosser dessus   En gros, si vous avez pas compris, Oberyn est juste sous la coupe de ce petit être démoniaque et l'aime un peu trop   INCESTE
AUTRE Alors, pas trop de fautes d'orthographe, mais je suis indulgente, juste necrivez pa côm sa. Sinon, un rp par semaine me semble le strict minimum et si vous venez sur la cb, se serait le top du top

SINON VIENT MA LOLITA
ensemble on va refaire le monde, kubrick n'a qu'à bien se tenir, puis lolita c'est la vie, l'inceste aussi, joteum déjà, viens avec moi, gambadons dans les prés.