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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 1:11


balthazar othello bagshot
- “ There will come a time when all of us are dead. All of us. There will come a time when there are no human beings remaining to remember that anyone ever existed or that our species ever did anything. There will be no one left to remember Aristotle or Cleopatra, let alone you. Everything that we did and built and wrote and thought and discovered will be forgotten and all of this will have been for naught. Maybe that time is coming soon and maybe it is millions of years away, but even if we survive the collapse of our sun, we will not survive forever. There was time before organisms experienced conciousness, and there will be time after. And if the inevitability of human oblivion worries you, I encourage you to ignore it. God knows that's what everyone else does. ” -
ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — un vingt-deux juillet caniculaire, à godric’s hollows. soleil de plomb, ciel céruléen qui se répercute, des années plus tard, dans l’abysse de ses yeux. il est là, vingt-sept ans plus tard, sourire canaille et regard ravageur, contemplant ce monde qui tombe en ruines, une moue étrange tordant sa bouche ; un rictus, comme si la vie était une vaste farce dont il est le seul à comprendre le sens. on dit pourtant des bagshot qu’ils n’ont pas d’âge, qu’ils sont tous nés trop vieux, à se consacrer davantage au passé lorsqu’ils feraient mieux de se tourner vers l’avenir, aussi sombre semble-t-il. il a vingt-sept ans, mais il pense comme s’il en avait cent et, parfois, il parle comme s’il en avait dix. PROFESSION — il est un aventurier en mal de vivre. un voyageur cloué au sol, coincé entre quatre frontières par sa folle volonté de retrouver son épouse. il est un auteur méconnu, un homme qui collectionne les ébauches de romans, qui se perd entre deux pages d’un livre, qui s’enfonce dans de vastes fantaisies en papier mâché. balthazar a de grands yeux bleus qui brillent de leur éclat rêveur ; balthazar écrit, raconte et invente des histoires. sa véritable magie consiste à ensorceler les mots, à en faire des phrases toutes plus fantastiques les unes que les autres. et puis, un soir, au coin du feu, il les soufflera au creux de l’oreille de sasha, avant de la faire basculer sur le sofa, et de lui conter le firmament et ses étoiles entre deux baisers. balthazar se plaisait à se dire aventurier, mais aujourd’hui, il ne fait plus que rôder, et traquer ; traquer la moindre trace de sa femme, traquer son souvenir qui le hante et le dévore. (car elle est là, toujours là ; tenez, regardez, là, derrière les rideaux, à l’autre bout de la rue, cachée sous ses draps. elle est partout mais surtout dans sa tête.) il rôde et poursuit ses ambitions macabres, cherche un chemin qui saura le mener vers son désir implacable, prêt à s’enrôler dans les rangs, prêt à tout pour cesser de rôder et d’errer sans savoir où aller. NATURE DU SANG — sang-mêlé ; voilà bien des années que l’hémoglobine des bagshot est considérée comme viciée par les plus conservateurs du monde magique. (depuis que le grand-père de balthazar a choisi une sang-mêlé pour épouse.) une lignée qui, pourtant, ne fut jamais trainée dans la boue, ne fut jamais la risée des antiques familles au sang encore pur ; de par sa fortune et sa renommée à travers le monde, les bagshot ne furent jamais mis au banc de la haute société sorcière. leur nom, certes, n’a aucune influence en dehors des sphères littéraires. balthazar, quant à lui, ne prête aucune attention à l’idéologie du sang. (s’il se prêtait vaguement au jeu autrefois, il se fiche bien du statut de chacun depuis qu’il a épousé une née-moldue.)  BAGUETTE — mesurant vingt-sept centimètres et cinq millimètres, sa baguette est taillée dans du bois de sequoia et contient, en son cœur, une écaille de dragon. relique qu’il garde précieusement, sur laquelle il veille comme la prunelle de ses yeux. certes, cette baguette ne lui obéit pas autant que la première qui épousa la forme de sa main, qui le choisit chez ollivander (celle-ci mesurait vingt-neuf centimètres et deux millimètres, était confectionnée à partir de bois de poirier et contenait un crin de centaure ; spécialisée dans les métamorphoses.) mais, durant son périple en europe de l’est, se rendant à nurmengard, il put mettre la main sur la baguette ayant appartenu à gellert grindelwald, conservée dans les bas-fonds de la prison. et, si balthazar a pu s’en emparer (il a sagement attendu que le gardien tourne le dos pour échanger sa propre baguette avec celle de celui qu’il reconnaît comme un cousin à un degré des plus alambiqués.) aujourd’hui, ce bout de bois est la prunelle de ses yeux, la première pierre de l’édifice qu’il compte bien bâtir, jusqu’à construire son empire. STATUT MATRIMONIAL — marié à ce petit ange aux ailes brisées. la princesse de ses plus belles histoires, si belles qu’il ne saurait comment les conter tant les mots perdraient de leur sens. (et, pour balthazar, demeurer sans voix, c’est bien une première.) il a épousé cette gosse aux cheveux tissés d’or, couleur soleil, et aux yeux d’un bleu bien plus pur que les siens (car, son regard à elle n’est pas dévoré par ces ombres dansantes. car le ciel de ses iris ne s’embrase pas de ce feu d’ambition démesurée qui aura tôt fait de le consumer et de ne laisser plus que des cendres.) époux de cette jolie môme aux grands yeux et au grand cœur, à la taille si gracile qu’il jurerait pouvoir la briser entre ses doigts avides. avide de son être, avide de la posséder toute entière. et lui n’a nul besoin de porter une alliance pour se souvenir qu’il lui a juré fidélité car sasha, il l’a dans la peau. sasha, il veut lui raconter des histoires d’éternité, pour toujours et à jamais. ANCIENNE MAISON — balthazar fut réparti à gryffondor, la maison des cœurs de lion, ceux à l’âme noble et au courage inébranlable. le choixpeau, pourtant, hésita longuement quant à le répartir à serdaigle, de par son nom, si profondément ancré dans l’histoire pour en être l’auteur, impliquant une soif intarissable de connaissances. mais, plus encore, le choix fut difficile entre les rouge et or et la maison serpentard car, s’il aime apprendre, bagshot est encore plus ambitieux, désireux de marquer l’histoire plutôt que de l’écrire. il est de ces hommes qui ont de grands rêves, et qui se consacrent à un avenir brillant ; et, s’il était moins volcanique dans ses emportements, sans doute qu’il aurait trouvé sa place parmi les vipères. PATRONUS — un raton-laveur. il ne connut pas de grandes difficultés quant à former un patronus corporel, quand bien même il mit du temps avant de s’y essayer, s’étant toujours contenté du vague nuage informe de fumée blanche opaque. (il était bien assez satisfait, tant que le sortilège parvenait à repousser les détraqueurs.) voilà pourtant quelques temps que son patronus prend donc la forme d’un raton-laveur et, balthazar s’étant penché sur la symbolique de l’animal, il a appris que celui-ci incarnait l’ingéniosité, l’adresse et la discrétion ; une définition qui amena alors un sourire aux lèvres de bagshot. EPOUVANTARD — balthazar est de ces hommes qui ont peur de l’oubli, qui craignent dans tomber en désuétude pour n’avoir pas assez marqué les esprits. il a peur d’à peine errer à travers le monde sans y laisser la moindre trace. autrefois, son épouvantard représentait donc un imposant grimoire aux pages entièrement vierges ; toute cette encre qu’il n’aura jamais fait couler pour n’avoir jamais rien accompli, pour avoir mené une vie vide de sens, et ne laisser dans son sillage qu’une poignée de cœurs éplorés. aujourd’hui, néanmoins, la représentation de sa peur la plus profonde a changé de forme, pour prendre celle du cadavre de sasha, sa tendre sasha. pourtant, elle est toujours aussi belle, même blême, blafarde, cadavérique. ses beaux cheveux blonds en soleil autour de sa tête, elle repose sur le sol, divinement angélique. sa peau, délicieusement diaphane, est veinée d’un bleu azur inquiétant. sa main droite repose sur son ventre et, entre ses doigts, le beau camélia blanc a fané. à ses lèvres, une perle rouge roule. une tache écarlate fleurit sur sa robe immaculée, à l’endroit de son cœur ; et puis, il remarque qu’elle baigne déjà dans une flaque de sang, terrible, morbide. et la douleur est soudain intolérable. et, il lui est impossible de lancer le moindre riddikulus (quand bien même ça étoufferait ce mal dégueulasse) et de forcer l’épouvantard à perdre cette forme gracieuse et pure. alors, balthazar agonise, les bras recroquevillés sur le cadavre de sa femme, suffoquant tout à coup dans sa douleur, sans pouvoir s’en dépêtrer. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — à dix-sept ans, alors qu’il quittait poudlard, terminant des études auréolées de succès, il s’est rendu dans le monde moldu, chez un tatoueur, avec sa petite-amie de l’époque. depuis, il arbore, là, entre ses omoplates, le symbole des reliques de la mort. un tatouage que peu de gens connaissent, que sasha a par souvent effleuré du bout des doigts, embrasant une flamme par inadvertance, un feu mauvais qui ne demandait qu’à se répandre. l’ambition d’une vie ancrée au plus profond de sa chair, pour ne jamais oublier où ses choix devront le mener. d’autres marques maculent sa peau pale ; de nombreuses cicatrices, résultat de plusieurs séances de torture pour déterminer si, oui ou non, il était un résistant au gouvernement. étrangement, ce sont les blessures les plus superficielles qui ont laissé leurs traces, lorsque ses détracteurs prenaient soin de guérir celles, fatales, qui auraient pu lui couter la vie avant que ses bourreaux n’obtiennent leur réponse. GROUPE — hear me roar.
Killing is not so easy as the innocent believe

balthazar, c’est un homme qui aurait voulu être le héros d’une histoire plutôt que son auteur. il n’est pas particulièrement orgueilleux ou égocentrique, mais il a ce besoin maladif de se faire remarquer, d’exister. il a cette peur panique de n’être jamais qu’un fantôme du présent, qu’on le regarde comme s’il était inconsistant. il ne veut pas hanter les mémoires, telle une vague ombre, dont on se souvient à peine de la présence. et, partant toujours du principe qu’on ne le voit pas, il tape souvent du pied pour y remédier. balthazar, à en croire, il voudrait que vous posiez vos yeux sur lui pour ne plus jamais les en détacher. (mais, s’il devait jamais choisir un seul regard, il prendrait le plus bleu, le plus pur qui soit. les deux saphirs de sasha, pour les enfermer dans l’écrin de ses souvenirs.)

balthazar, c’est un homme de lettres. c’est un homme qui vous assaille de mots, et qui se laisse assaillir par les maux. il a ce regard polaire qui vous glace jusqu’au sang, et ce sourire de loup, qui vous laisse alors penser qu’il est un homme cruel, capable du pire, sans sourciller. et, si c’est pour sauver sa vie (et plus encore, celle de sasha), il n’y a rien de plus vrai. pour autant, il sait pertinemment que ces démons viendront s’ajouter à ceux qui tourmentent d’ores et déjà ses nuits.

balthazar, c’est un homme corrompu. il a une âme à moitié dévorée par la magie noire. il y a ces ombres qui dansent dans ses prunelles hivernales ; et elles dansent autour de ce brasier, de ce feu de joie qui finira par vous cramer. c’est un flambeur ; il aime autant brûler les cœurs, qu’il se laisse calciner par ses ardeurs, comme il donne cette impression de jeter son argent par les fenêtres, à toujours dépenser des sommes folles, que ce soit en cadeaux pour sa femme, dans des jeux d’argent ou pour acheter un peu plus de livres lorsque ses étagères sont pleines à craquer. et pourtant, balthazar, c’est un homme qui a le cœur sur la main, qui remboursera toujours ses dettes et viendra toujours en aide aux plus démunis.

balthazar, c’est un homme romantique, mais ça, tu ne peux pas le savoir. parce que tu n’es pas sasha. et il n’y a que pour les beaux yeux de sasha qu’il est comme ça.


 QUE PENSEZ-VOUS DU GOUVERNEMENT ACTUEL ? VOUS EN ACCOMMODEZ VOUS OU PAS DU TOUT ? — On ne saurait se prononcer sur la réelle position de Balthazar. S’il s’accommode du gouvernement ou s’il se révolte dans l’ombre et en silence, nul ne le sait. On voit juste qu’il est toujours là, sur le sol anglais, qu’il semble prendre son temps lorsqu’il arpente les rues, qu’il réfléchit. Lui-même ne sait pas vraiment encore quel chemin arpenter. Suivre sa folle volonté de protéger sa femme – actuellement disparue – et se lever soudain contre le gouvernement, ou bien, au contraire, suivre un instinct qu’il essaie de taire depuis bien trop longtemps. Comme une voix insidieuse, venant lui susurrer de suivre la trace de ses ancêtres, d’un, en particulier. Gellert Grindelwald. Et pour ça, quel meilleur moyen que de se rapprocher du nouveau Mage noir qui a su marquer l’Histoire de son nom – une chose dont Balthazar rêve secrètement depuis bien des années ?
 QUE VOUS ÉVOQUE HARRY POTTER ET L'ORDRE DU PHOENIX AUJOURD'HUI ? — Ça ne lui inspire qu’une profonde amertume, dégueulasse. Ça ne lui inspire que ses rêves d’avenir bafoués ; que ses promesses rompues bien malgré lui, lorsqu’il jurait à Sasha que l’Angleterre était belle, et qu’il lui serait agréable d’y vivre avec lui. Potter, le héros d’un siècle, le messie de toute une génération, Saint-Potter, protégez-nous. Sauf qu’il n’a même pas pu se sauver lui-même. Et quelque part, oui, quelque part, tout au fond de lui, Balthazar lui en veut. Il lui en veut de n’avoir pas pu mettre en application tout ce à quoi Bagshot se plaisait à songer. Il lui en veut de n’avoir pas remporté cette guerre, qui aurait tout facilité. Il lui en veut d’être mort, et d’avoir enterré toute sa foi en la cause de l’Ordre du Phénix avec lui. Car, si cette organisation recelait de grands sorciers, tous plus talentueux les uns que les autres, qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Rien, du vent. De vagues souvenirs. Comme une centaine de lettres jetées à la mer. Sans l’Ordre, à quoi rimerait la moindre résistance face au gouvernement actuel ? Sans l’Ordre, ils n’ont pas la moindre chance de l’emporter sur Voldemort et ses sbires. Sans l’Ordre, Balthazar peut très bien sombrer de l’autre côté.
 LA VALEUR DU SANG, LE MARTYRE DES NÉS-MOLDUS, QUE PENSEZ-VOUS DE TOUT CELA ? — Balthazar est un être terriblement paradoxal. A-t-il jamais martyrisé des nés-Moldus ? Non. Les a-t-il déjà considéré comme des êtres inférieurs ? Oui, un tantinet. La faute d’une éducation dont il souffre encore ; car, quand bien même il n’a pas le sang Pur, il n’a connu que le monde Magique, et des humains qui vivent sans sorcellerie, qui pensent qu’une telle vie est envisageable, que peut-il bien en penser si ce n’est que ceux-là sont fous, ou tout simplement idiots ? Alors, non, Balthazar n’a jamais touché un né-Moldu, que ce soit pour lui serrer la main, ou l’étrangler, tôt le matin. (Enfin, ça, c’était avant. Avant Sasha. Car, maintenant, dés que quelqu’un ose lever la main sur un sorcier à ascendance Moldue, dés qu’un sombre inconnu ose proférer l’abominable insulte de Sang-de-Bourbe, Bagshot ne répond plus de lui ; car tout ce qu’ils disent, sur cette pseudo-vermine, c’est toute la violence qu’ils pourraient tourner un jour vers sa tendre Sasha. Et ça, il ne saurait le tolérer. Et si la cause des nés-Moldus l’indiffère à moitié, il ne peut s’empêcher de venir à leur rescousse, simplement dans l’espoir que quelqu’un en fasse de même avec son épouse, tant qu’il n’est pas là, pour la protéger par lui-même.)
 AVEZ-VOUS FAIT DES CHOSES HORRIBLES POUR SURVIVRE ? AVEZ-VOUS DU TRAHIR DES AMIS ? VENDRE DES NOMS POUR NE PAS ÊTRE PUNIS ? — Oui, oui. Mille fois oui. Pour survivre, certes, mais surtout, pour la survie de Sasha. Pour ne pas voir ses yeux, si bleus, si purs, si beaux perdre tout à coup de leur éclat. Pour la protéger, il a dû torturer, et tuer. Parfois d’illustres inconnus, parfois des gens qu’il côtoyait autrefois. Il se souvient, du visage de chacun. (La malédiction des Bagshot : être historiens leurs confère une mémoire eidétique ; l’empêchant de pouvoir trouver le sommeil, sans que les visages de ses victimes ne viennent le hanter, se coulant sous ses paupières closes, et martelant son crâne avec force.) Il a dû s’en prendre à des gens qu’il considérait autrefois comme des amis. Melkon, surtout, celui qu’il considérait autrefois comme un frère et qu’il a dû tuer avant que celui-ci ne s’en prenne à Sasha. (Le pire, pourtant, c’est de se souvenir de cette sensation de puissance, lorsqu’il tenait fermement sa baguette dans son poing. Cette effervescence, presque une jouissance, que de se rendre compte qu’il tient une vie, une dizaine, une centaine de vies, entre ses mains. Depuis, rien ne lui a jamais fait goûté un semblant de cette sensation, de ce Graal qu’est la force imposée, de ce calice empoisonné qui aura tôt fait de le corrompre, puis de le tuer.)
 EST-CE QUE VOUS AVEZ DU FUIR LE CONFLIT ET LE GOUVERNEMENT OU, AU CONTRAIRE, L'AVEZ VOUS ACCEPTE ? — Il est parti, non pas pour fuir – il est un Gryffondor, for Merlin’s sake, mais pour suivre les traces de cet homme, cette illustre – et sombre – figure qui a bercé toute son enfance : ses pas l’ont d’abord mené en Allemagne, vers Grindelwald. Puis, voyageant, il a fini par atterrir en Russie, dans le froid de Saint-Pétersbourg. Ce n’est qu’en croisant ce petit ange aux ailes brisées qu’il a éprouvé le besoin de retourner en Angleterre, sur sa terre natale, là où il sera plus fort. Et puis : la débandade. Séparé de Sasha, Balthazar commence, pourtant, lentement, à voir le gouvernement autrement que comme un groupuscule de sorciers aux mauvaises intentions. Cerné par l’influence de Voldemort et de ses Mangemorts, forcé de prétendre entrer dans le moule, voilà qu’il s’est bien trop pris à son propre jeu pour ne pas finalement y croire. Flamme vacillante qui, pourtant, ne demande qu’à s’embraser. Seul l’avenir nous le dira.
 QUEL SOUVENIR EST LE PLUS DOULOUREUX POUR VOUS, CELUI QUI VOUS HANTE JOUR ET NUIT ? — Sasha, Sasha, Sasha. Encore et toujours, Sasha. Sasha, pour toujours. Sasha n’est plus là. Le jour, ses yeux la cherchent frénétiquement, partout. La nuit, ses lèvres ne s’entrouvrent que sur son nom, soufflé par intermittence, dans un énième songe. Sasha, qu’il cherche, une fois qu’il est noyé dans la foule, tentant de la retrouver au milieu de tous ces inconnus. Sasha, dont il rêve, tard la nuit, après s’être tourné et retourné dans ce lit glacial. Sasha qui est partie. Sasha, qu’il doit absolument retrouver, sous peine d’en perdre la raison et de véritablement dérailler.
JOE, GAVIN.

MON ÂGE — dix-neuf ans. MON PAYS — fraance. MON AVIS SUR LE FORUM —  (†) a white blank page and a swelling rage. 2577139265 MON PERSONNAGE — [] inventé [] prédéfini [(†) a white blank page and a swelling rage. 3593521119] scénario MON AVATAR — thomas sturridge. COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — wife of mine. (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908UN DERNIER MOT MAGIQUE — TU VOIS QUE JE SUIS VENUE, GROGNASSE. (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626
feudeymon (c)


Dernière édition par Balthazar Bagshot le Jeu 11 Sep - 16:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 1:13


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to live or to survive
- Be careful making wishes in the dark, dark Can't be sure when they've hit their mark, mark And besides in the mean, mean time I'm just dreaming of tearing you apart -
Enfant, il aimait penser qu’il n’avait peur de rien. Même en visitant les sombres tombeaux maudits d’Égypte, il ne faisait que rire. Son père pensait que le vieux mage qui faisait les visites allait l’occire. Un vrai démon difficile à bénir. Même maintenant, au milieu des ronces qui déchirent ses vêtements, devant cette prison dont émane une noirceur intérieure, il a le défi planté dans le regard. Qui le premier, va trembler ? Tout ça n’est qu’un jeu. Il est toujours heureux de se rendre compte qu’il n’est pas un peureux. Un peu déçu aussi, oui. Il n’a pas tremblé. Bravo, il a gagné. Fin de la partie. C’est déjà fini.

Les bouffeurs d’âme ont quitté les lieux depuis près de soixante ans, et pourtant, pour la première fois de sa vie, c’est dur de sourire. Non, la seconde. Vite, un souvenir heureux. Deux perles d’azur. Sur de la neige d’opale. Froid polaire. Devant le palais d’hiver. On lui ouvre. Il sourit au portier.

Puis s’écroule.

Agité de spasmes, ses yeux se sont fermés, il parvient tout juste à hurler. Et encore, si vous aviez vu le jour où un camarade a déchiré son exemplaire de la biographie de Teignous Nott, vous n’appelleriez pas ça crier… Pourquoi, dans ces moments, a-t-il toujours des pensées de dérangé ? De toute manière, Balthazar, il n’est jamais allé en s’arrangeant.

Il ouvre lentement un œil, avec hésitation. Et constate, avec effarement, qu’il tient encore sur ses deux pieds, debout, bien droit, mais la nuque un peu raide. C’est fou, ce malaise, cette sensation de vide qui vous prend soudain à la gorge, qui vous assaille tout à coup et vous donne l’impression de tomber en chute libre. C’est la deuxième fois en deux ans qu’il passe la porte de cette prison, et il souffre encore des effets. Ça vous étouffe, vous donne envie de vomir. De mourir. Balthazar, ça le tue. Et Grindelwald est déjà mort.

Le gardien le regarde un peu de travers. Nurmengard, pourtant, n’est plus une prison ; mais un musée, sordide et malfamé, encore hanté du fantôme d’un des plus grands Mages noirs que la terre ait porté – et aussitôt recraché. Bien sûr, cet homme, là, aux grands yeux bleus, et aux joues bouffées d’une barbe de trois jours ; ce gars qui semble avancer comme en terrain familier, et couvre les murs d’un regard presque passionné, eh bien, le gardien doit le prendre pour un fou. Un étrange sourire tord la lippe de Bagshot. Il ne doit pas avoir totalement tort. Lui-même n’est plus sûr de rien. Il commence à douter de sa santé mentale, lorsqu’il se rend compte que le dernier endroit au monde où il se sent chez lui, c’est ici. C’est cette impression étrange et indescriptible, cette sensation d’être enfin à sa place, d’avoir attendu, toute sa vie, juste cet instant. Cet unique instant. Il se souvient, non sans un pincement au cœur, qu’il n’arrivait plus à trouver sa place, en Angleterre, après la mort d’Harry Potter et la dissolution de l’Ordre du Phénix. L’Angleterre… Peut-il encore appeler cette terre son pays natal lorsqu’il ne reconnaît plus rien ? Peut-il encore prétendre une fierté farouche, et un sentiment patriotique exacerbé lorsqu’il ne saurait dire ce qu’il a jamais aimé de cette sombre île aux allures funestes, désormais ?

Pourtant, il n’a pas fui.

Enfin, si, bien sûr, il a quitté la Grande-Bretagne, comme tant d’autres avant lui, et une multitude d’autres après. Bien sûr, il est parti, sans un regard en arrière, tout juste une prière. Pas même un dernier mot d’amour pour son père ou sa mère. Pas même pour Hazel, sa petite-amie de l’époque. (Une époque si lointaine, pour lui, désormais. Une autre vie, même.) Balthazar, à cette époque, plutôt que d’être dévasté par l’annonce de la mort de l’Élu, et de celles de tant d’autres de héros, lui, il se sentait comme démembré. Comment pouvait-il ne serait-ce qu’espérer bâtir un avenir, avant même qu’il ne se soit réconcilié avec son passé ? Depuis tout petit, et plus encore, depuis Poudlard, il se souvient, non sans une certaine nostalgie, de ces longues soirées, à s’infiltrer dans la Réserve de la bibliothèque, pour trouver ne serait-ce qu’un livre, qu’un paragraphe, qu’une seule ligne, au sujet de Gellert Grindelwald. Il se rappelle, de ces rares instants partagés avec son arrière-grand-mère, l’illustre Bathilda. (Il n’avait jamais éprouvé de sincère et pieuse affection à l’égard de cette aïeule qu’il voyait comme une femme bien trop condescendante et si, contrairement à tant de personnes de sa génération, elle ne fut pas sénile, elle ne fut pas épargnée des autres désagréments liés à l’âge.) C’est elle qui l’avait mis sur la piste de cet ancêtre, cette espèce de cousin à un degré des plus alambiqués ; c’est elle qui avait planté, dans le cœur de Balthazar, les graines d’une obsession mauvaise, qui avait allumé la flammèche, devenue brasier incendiaire.

Cette voix, il ne s’en souvient que trop bien. Cette voix qui l’avait conduit jusqu’en Allemagne lorsqu’il ne se retrouvait plus en Angleterre. Cette voix, elle a bercé une bonne partie de sa tendre jeunesse lorsque, alors qu’il était encore tendre et optimiste, il préférait demeurer en marge du moindre conflit, arguant qu’en tant que futur historien (peut-être), il se devait de demeurer objectif pour relater les moindres faits avec rationalité, sans se faire piéger par ses propres sentiments. Cette voix-là venait lui souffler, tard dans la nuit, qu’il ne saurait éternellement brider cette part de noirceur qui sommeillait en lui. Grindelwald fut celui qui, le premier, céda aux ténèbres de leur lignée. Et Balthazar était certainement né, ce même démon insatiable s’agitant silencieusement en lui. Alors, face à ce père invisible, vague fantôme de son présent, aussi creux qu’inconsistant, c’est en la personne de Gellert qu’il trouva un véritable mentor spirituel. (Et s’il n’en a pas conscience, il ne vit jamais l’homme, mais surtout la figure, l’emblème que l’allemand représentait pour la communauté sorcière.)

Alors, sur les ruines de l’Angleterre, voilà qu’il avait préféré prendre ses affaires, et partir s’éprendre d’une terre plus hostile, mais sur laquelle il pourrait puiser dans ses propres racines. Ça ne faisait que quelques semaines que la mort d’Harry Potter avait été publique que Bagshot avait pris son vieux carnet, celui dans lequel il annotait la moindre de ses pensées, celui à la reliure en cuir usée par le temps ; il n’avait pris que ce cahier pour seul bagage et, sans un mot, avait pris le large.

Le gardien le sort de ses pensées lorsqu’il l’interpelle. En guise de réponse, Balthazar dégaine une carte bidon de journaliste, réalisée en deux tours de baguette. “ Je prépare un article sur la commémoration des cent ans de la montée en puissance de Grindelwald ; pourrai-je accéder à la salle des archives ? ” Sourire suave de connivence, regard perçant, il ne le lâche pas des yeux tant que son vis-à-vis n’a pas détourné les siens. “ C’par ici, m’sieur. ” indique le gardien, visiblement à contrecœur, avant d’arpenter un couloir qui, de toute évidence, n’est que rarement fréquenté. Bagshot le suit, divinement poli, étonnamment agréable pour un de ces journalistes avides d’histoires sombres et sanguinaires, désirant rapporter l’ultime ragot, dans l’apogée d’une carrière insipide. Il le conduit, à travers le dédale de corridors, jusque dans une salle sombre, et poussiéreuse, austère, comportant seulement quelques étagères et une table massive, juste au centre, couverte de cartons à demi-éventrés. “ Toutes ses affaires sont ici, Balthazar n’a pas le temps de le remercier qu’il sent le regard du gardien chercher à le transcender. Désolé, m’sieur. Mais j’dois rester ici, avec vous. C’est l’protocole. ” Sourire contrit, comme pour lui témoigner qu’il comprend. (Mais il ne veut rien comprendre, Balthazar ; il estime, bien sûr, que sa visite est légitime, qu’en tant qu’ultime héritier de la volonté de Grindelwald, il devrait pouvoir récupérer ses affaires, comme ça, comme il est de coutume que votre famille vous lègue, dans un testament.) “ Qui est-ce ?, demande-t-il, en pointant du doigt le portrait (étrangement inanimé) d’un homme au visage dur, comme taillé à la serpe, qui semble regarder d’un air ennuyé, à l’unique meurtrière de la pièce, comme s’il pouvait voir bien au-delà. Le gardien se retourne vers le tableau et, à peine a-t-il le temps de tourner les talons que la main de Balthazar a déjà procédé à l’échange. (C’est sans remord qu’il abandonne là sa baguette, de la belle ouvrage, certes, mais recelant de bien moindres histoires, aussi grandiloquentes que celles de son illustre cousin.) “ L’dernier directeur d’la prison, j’crois bien. L’est mort peu de temps après votre Grindelwald, là. ” Balthazar hoche lentement la tête, l’air faussement concentré. Il essaie d’ignorer son cœur qui, pourtant, bat la chamade. La baguette est dans sa poche. Il a, en sa possession, la baguette de Gellert Grindelwald. Il fait encore mine de fouiller dans ces cartons miteux, en retire quelques feuilles, témoignages de médicomages et autres inutilités. Dans sa tête, c’est un compte-à-rebours. Il s’accorde cinq minutes et, à peine a-t-il terminé le décompte qu’il se refuse à passer une seconde de plus dans cette pièce sordide. (Il sent les nausées qui l’assaillent de nouveau.) “ Très bien. Je crois que j’ai tout ce qu’il me faut. Merci pour m’avoir accordé de votre temps et, voyant que le gardien amorce déjà un pas vers la sortie, il ajoute avec précipitation, d’un ton presque fiévreux : Inutile de me raccompagner, je sais où est la sortie. ” L’autre n’a pas le temps de réagir (que ce sit pour donner sa bénédiction, ou exprimer son désaccord) que Balthazar a déjà jailli hors de la pièce des archives et avance d’un pas endiablé jusqu’au bout du couloir.

À peine a-t-il pris le tournant du couloir qu’il avance désormais au pas de course. C’est drôle, mais il a l’impression d’avoir passé sa vie à courir. Voilà presque trois ans qu’il a quitté l’Angleterre, et c’est tout ce à quoi il a employé son temps : courir. Courir, pour échapper à des détracteurs quelconques. Courir après son passé, qui recèle de tant de secrets. Courir, pour retrouver Sasha. Sasha. La porte de Nurmengard se referme dans un boucan d’enfer qu’il s’est déjà éloigné de la prison en de grandes enjambées. Le froid l’assaille soudain, lui mord la peau et lui cisaille les os. Sasha. Il lui a dit qu’il devait s’absenter quelques heures, pour faire réparer sa baguette. Il a ensuite transplané jusqu’ici, aux portes de la prison, de sa dernière maison. Il s’est promis que c’était la première, et la dernière fois qu’il mentirait à Sasha. (Pourtant, la voix dans sa tête lui souffle qu’il ne saurait s’y tenir. Que cette histoire de baguette, qui l’obsède tant depuis des semaines, des mois, des années ; ça n’est jamais que le début d’une longue salve de mensonges qui s’écouleront d’entre ses lèvres.)

Une fois qu’il s’est suffisamment éloigné, il transplane de nouveau. Saint-Pétersbourg. Devant la maison Chistov. Il toque trois coups succincts. (Il sait que seule Sasha est présente, à cette heure-ci.) La porte s’est à peine ouverte que, déjà, un immense sourire ourle ses lèvres : “ Prête pour la terre promise ? » Il lui parle de l’Angleterre, comme de ce nouveau monde où ses rêves pourront se réaliser, lorsque ceux de Balthazar n’ont fait que se fracasser, que tomber en ruines. Il lui parle de son pays, comme d’une nation idyllique, comme un rêve qu’on sait pertinemment trop beau pour ne pas craindre de bientôt se réveiller. Bagshot est un mystificateur et, dans sa bouche, les choses les plus communes du monde deviennent tout à coup grandioses et magnifiques. Il n’aime pas le terme de menteur et se dit prestidigitateur, plutôt que sorcier. Balthazar est davantage magicien qu’il n’est sorcier. Et il sait que ses contes et merveilles sont tombées dans l’oreille de Sasha pour faire naître dans son esprit des plaines verdoyantes de sérénité et un ciel bleu de prospérité. Il sait que le réveil sera sans doute brutal. Pourtant, il ne pourrait se résoudre à retourner en Angleterre sans elle. Il ne pourrait imaginer n’aller plus nulle part, sans elle. (Et il se demande pourquoi, tout à coup, il éprouve le besoin de retourner sur les terres bretonnes. La réponse est pourtant évidente. Il veut accomplir ce que Grindelwald n’a pas pu terminé. Il veut l’emporter sur celle qui gagne toujours, parce qu’il ne saurait en être autrement. Il veut vaincre la Mort. Il veut un Horcruxe. Il veut être immortel.)

Il empoigne la main de Sasha dans la sienne et souffle tout juste “ Tu te souviens de ce que je t’ai appris, sur le transplanage ? ” qu’ils ont déjà disparu dans un pop sonore.

Direction, l’Angleterre. Direction, l’Immortalité. (Mais, dans son éternité, c’est pourtant l’Enfer qui leur ouvrira grand les bras. Mais ça, les époux Bagshot l’ignorent encore.)
feudeymon (c)


Dernière édition par Balthazar Bagshot le Jeu 11 Sep - 19:46, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 5:34

d'où tu m'traites de grognasse, sale merguez. (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626
je te souhaite même pas la bienvenue, tiens. (†) a white blank page and a swelling rage. 3125709394 et comme tu le sais, ton début de fiche craint et j'ai hâte de lire la suite. (†) a white blank page and a swelling rage. 3125709394
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 6:52

Bienvenuuuuuuuue (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908
Déjà, ce perso est gigacool. Et en plus, t'as l'air d'être trainée sur FDM par Lola, et c'est bon signe What a Face Enfin, je confirme, rien que la première partie de ta fiche vend du rêve. Il me tarde de lire la suite (†) a white blank page and a swelling rage. 3207508622
Bonne continuation de ta fiche I love you
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Cho Chang
Cho Chang
WIZARDS ∞ It's where my demons hide
ϟ HIBOUX ENVOYÉS : 968
ϟ PSEUDO : amortentia (morgane)
ϟ AVATAR : arden cho
ϟ CRÉDITS : Bombshell et LITTLE WOLF.
ϟ MES COMPTES : x
(†) a white blank page and a swelling rage. Tumblr_inline_nelyygP7Rt1scj794
ϟ ÂGE : vingt-deux ans
ϟ SANG SORCIER : sang-mêlé
ϟ PROFESSION : ancienne fugitive, elle est désormais bras droit de neville et sauveuse dans la résistance
ϟ ANCIENNE MAISON : serdaigle
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : fait d'un bois de séquoia et d'une plume d'hippogriffe, elle mesure vingt-six centimètres et est prédisposée aux sortilèges défensifs
ϟ PATRONUS : un cygne
ϟ ÉPOUVANTARD : le deuil, la mort
ϟ STATUT MATRIMONIAL : célibataire au coeur de glace, éprise de deux hommes qui hantent ses nuits les plus sombres.
ϟ POINTS RP : 35680

(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 14:08

le scéna (†) a white blank page and a swelling rage. 3825880913 (†) a white blank page and a swelling rage. 2870128747 j'approuve ce choix (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908
bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 14:14

ohlalala ce début de fiche, jomeurs. (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892 (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892
bienvenue ici, avec ce scénario de fou, moi j'ai hâte de lire vos futurs rps bagshot. (†) a white blank page and a swelling rage. 2155442247 (†) a white blank page and a swelling rage. 2155442247
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 14:51

Bienvenue parmi nous ! (†) a white blank page and a swelling rage. 1084901888 (†) a white blank page and a swelling rage. 2155442247
Si tu as des questions, n'hésite pas !
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Victoire Starkweather
Victoire Starkweather
ADMIN ∞ we rule the world
ϟ HIBOUX ENVOYÉS : 1044
ϟ PSEUDO : blackthorns (kim)
ϟ AVATAR : teresa badass palmer.
ϟ CRÉDITS : myself.
ϟ MES COMPTES : nope.
done with your shit.
ϟ ÂGE : vingt-et-un ans, seulement.
ϟ SANG SORCIER : sa mère était une sorcière et son père un moldu; la jeune femme revendique fièrement son sang mêlé.
ϟ PROFESSION : elle occupe depuis peu la position de leader des red thunder avec ginny weasley; cependant, elle maintient ses fonctions de mécanicienne et feu-follet auprès de la résistance.
ϟ ANCIENNE MAISON : gryffondor, lionne bafouée, courage balancé à la gueule du monde.
ϟ BAGUETTE MAGIQUE : elle a perdu sa vraie baguette à azkaban; celle qu'elle utilise présentement, elle l'a volée, et attend mieux.
ϟ PATRONUS : le prince des nuées de baudelaire, un fier albatros qu'elle ne fait que bien rarement apparaître.
ϟ ÉPOUVANTARD : un détraqueur pointant sur elle une baguette; et le doloris frappe, frappe...
ϟ STATUT MATRIMONIAL : célibataire déterminée à le rester. (ou pas.)
ϟ POINTS RP : 34381

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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 16:31

Ce scéna qui gère (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639 J'réclame un lien d'avance (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 parce que t'façon les mecs c'est que des lâcheurs (†) a white blank page and a swelling rage. 3125709394 /kick son perso

Welcome! (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 16:46

Le début de fiche promet en tout cas ! (†) a white blank page and a swelling rage. 2283431874 (†) a white blank page and a swelling rage. 2870128747 (†) a white blank page and a swelling rage. 2870128747 et puis j'aime tellement Tom... (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 (†) a white blank page and a swelling rage. 1084901888
welcome here !
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Astoria Greengrass
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ϟ PSEUDO : red stars aka eve.
ϟ AVATAR : kaya scodelario.
ϟ CRÉDITS : Monroes (avatar)
ϟ MES COMPTES : weaslette.
(†) a white blank page and a swelling rage. Tumblr_mponkiqNTo1s0abtdo2_250
ϟ ÂGE : vingt étoiles.
ϟ SANG SORCIER : toujours pur.
ϟ PROFESSION : serveuse à the broken crown, et danseuse au cabaret red lantern la nuit, elle tente de s'en sortir.
ϟ ANCIENNE MAISON : serpentard, pour son ambition, son intelligence et sa détermination.
ϟ PATRONUS : de la boue brumeuse, rien de plus, rien de moins.
ϟ ÉPOUVANTARD : le corps de daphné, qu'elle vient à peine de tuer d'un sectum sempra fort bien lancé pour une fois.
ϟ STATUT MATRIMONIAL : célibataire, ses parents cherchent à la fiancer avec le premier venu qui pourrait les sauver de leur situation précaire.
ϟ POINTS RP : 35747

(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 18:37

excellent choix de scénario, vraiment. (†) a white blank page and a swelling rage. 1873345134
comme tu vas devoir te coltiner sashatouille (pardon, on ne te l'avait pas encore faite celle-la ? (†) a white blank page and a swelling rage. 1243160711 ) bon courage. (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639

bienvenue et bonne chance pour ta fiche. (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 4 Sep - 22:36

Bordel, j'ai aimé le "grognasse" hahaha! (†) a white blank page and a swelling rage. 3207508622

Bienvenue parmi nous, amie de Lola. (†) a white blank page and a swelling rage. 898565604
Tout ce que j'espère, c'est que ta plume nous émerveillera autant que la sienne !

Bonne chance pour ta fiche en tous cas ! (†) a white blank page and a swelling rage. 2155442247
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyVen 5 Sep - 14:50

bienvenue (†) a white blank page and a swelling rage. 2696326756
rah, cette fiche a vendre du rêve, je le sais !
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyDim 7 Sep - 13:44

Bienvenue à toi (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908 (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 11 Sep - 8:54

Bonjour (†) a white blank page and a swelling rage. 3207508622 cela fait une semaine que tu as posté ta fiche, as-tu besoin de plus de temps pour la terminer ? Sans nouvelles de ta part, nous serons obligés d'archiver ta fiche malheureusement. (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 11 Sep - 19:49

MERCI À TOUS, BANDE DE BÉGÉS. (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 (ET À TOI AUSSI, GROGNASSE. (†) a white blank page and a swelling rage. 1160292464) VOUS ÊTES TOUS PLUS FARPAITS LES UNS QUE LES AUTRES. (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892

désolée pour le temps pris, mais j'pense qu'un délai ne sera pas nécessaire ; j'viens (à priori) de finir ma fiche. Arrow (et, désolée par avance, car il s'agit d'une des plus médiocres que j'ai pu écrire. Arrow) (ce qui en dit long sur son état, ugh. (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892)
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(†) a white blank page and a swelling rage. Vide
MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 11 Sep - 20:00

(†) a white blank page and a swelling rage. 1243160711
On va attendre, l'avis de Lola avant de nous occuper de toi (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 11 Sep - 20:48

Balthazar Bagshot a écrit:
(et, désolée par avance, car il s'agit d'une des plus médiocres que j'ai pu écrire. Arrow) (ce qui en dit long sur son état, ugh. (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892)

J'AVOUE TA FICHE CRAINT, VALIDEZ LA POUR LA PUNIR. (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626

bon, allez, dernier message de love et je redeviens la grognasse que tu connais. What a Face
le personnage est parfaitement cerné, ça déjà, c'est clair. t'as tout pigé, du côté menteur et sombre au côté plus léger, conteur et un peu rieur; et puis la famille bagshot est genre trop géniale sous ta plume haha j'aime trop les petites allusions ok.  (†) a white blank page and a swelling rage. 3865868227  je n'ai jamais aimé ton style d'écriture, tu le sais si bien, et je trouve que ta fiche est exceptionnellement bien rédigée pour une fois (cadeau What a Face ) et très intéressante parce que balthazar dans la prison, ohwi ohwi. (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908 j'aurais mieux aimé si elle était plus longue.  (†) a white blank page and a swelling rage. 3125709394 j'ai hâte qu'on rp ensemble à nouveau, jotem, voilà, cette fiche est parfaite, c'est dit. (†) a white blank page and a swelling rage. 3207508622
(JE TE FERAI AVOUER QUE T'ÉCRIS COMME UNE DÉESSE... j'ai plus d'un tour dans mon sac.  (†) a white blank page and a swelling rage. 4267979547 (HAHA))

I love you
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyJeu 11 Sep - 20:58

LA VIEILLE (MERGUEZ) TE REMERCIE, GROGNASSE. (†) a white blank page and a swelling rage. 1634637626 (même si, comme tu t'en doutes, je ne crois pas un traître mot de ce que tu me dis là. (†) a white blank page and a swelling rage. 3508571908)
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MessageSujet: Re: (†) a white blank page and a swelling rage. (†) a white blank page and a swelling rage. EmptyMar 30 Sep - 10:34

Tu me pardonnes dis ? (†) a white blank page and a swelling rage. 2696326756 (†) a white blank page and a swelling rage. 2696326756 (†) a white blank page and a swelling rage. 2696326756
Je suis vraiment désolée de t'avoir fait attendre aussi longtemps pour te valider (sérieux, près de trois semaines (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892 ) mais j'avoue que ça m'étais complètement sorti de l'esprit (†) a white blank page and a swelling rage. 922330923 J'espère que ça te découragera pas, je suis extrêmement désolée (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639 (†) a white blank page and a swelling rage. 2696326756 - t'as la permission de me lapider pour mon manque d'efficacité sur ce coup-là.



(†) a white blank page and a swelling rage. Tumblr_inline_mn47k3nsFP1qaxqrv

le vent souffle sur les plaines
tu es validé, bravo, on te jette des cotillons !

 
J'aime beaucoup ton style (†) a white blank page and a swelling rage. 1885394892 - sérieux si c'est l'une des plus médiocres je me demande à quoi ressemble les autres tellement j'ai adoré celle-ci (†) a white blank page and a swelling rage. 1243160711 J'aime le personnage et j'aime sa relation avec Sasha ; le scénario te va comme un gant (†) a white blank page and a swelling rage. 2534075639

Félicitations petite chouette, te voici validé   Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin   voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillet, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition  
feudeymon ©️ 2014

 

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