ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Seconde fille du couple que formait autrefois ses parents, la brunette à vue le jour un certain trente-et-un aout au cœur même de la capitale britannique du pays qu'est Londres. La majorité largement dépassée depuis des années désormais, la sagesse et l'insouciance forme une combinaison bien lasse. Même du haut de ses vingt-huit ans, elle pense toujours la même chose. PROFESSION —Bien avant que tout ne sombre dans la déchéance telle à l'image du monde magique aujourd'hui, Dorcas était membre de l'équipe de Quidditch des Canons de Chudley. Une place qui nourrit bien des espoirs d'antan. Actuellement, elle est considérée comme une fugitive, une tête à abattre, sans la moindre activité professionnelle désormais. NATURE DU SANG — N'ayant jamais tenue une quelconque importance quand à l'origine du sang, Dorcas est issue d'une ascendance mêlée. Un détail qu'elle juge futile, mais qui aujourd'hui se résume d'une importance capitale pour certains. BAGUETTE — Taillée dans du bois d'if représentant la sagesse, la baguette de la jeune femme mesure près de vingt-six centimètres et contient en son cœur un croc de dragon. Rigide et fidèle à sa propriétaire, elle se veut posséder des prédispositions pour la lévitation. STATUT MATRIMONIAL — Cœur fidèle, Dorcas est avant tout la femme d'un seul homme soit Aiden Wheeler. Une complicité intuitive, une vision en laquelle elle voit un avenir, une confiance et ce depuis quatre années. Elle est également mère d'un petit bonhomme de trois années, le fils de Aiden. ANCIENNE MAISON — Dorcas a fièrement étudiée sous les couleurs de la maisonnée d'Helga Poufsouffle  alors que beaucoup s'attendait à la voir rejoindre les rangs des aigles. Ce bon vieux bout de chiffon a tranché à l'époque point à la ligne. PATRONUS — Prolongement de l'existence au delà des barrières du temps, tourbillon du passe, du présent et du futur ensuite, la corneille est un animal intuitif et mystérieux qui chez les amérindiens est source de sagesse  et de vérités intérieures et extérieures. La forme de son patronus n'est alors plus aussi surprenant que cela.EPOUVANTARD — L'image n'est qu'une simple vision de sa peur dans son aspect la plus primaire mais aussi la plus profonde. S'il y a quelques années son épouvantard demeurait différent, aujourd'hui il prend la forme du corps de son fils, inerte dans ses bras. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Elle possède une petite cicatrice au niveau de sa clavicule gauche, suite à une chute lors d'un match de quidditch. L'intérieur de son poignet droit accueille aussi une autre cicatrice, synonyme d'une tentative de fuite il y a de cela quelques années. GROUPE — We never forgive.

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MON ÂGE — 100 pierres et des neiges.
MON PAYS — planète France.
MON AVIS SUR LE FORUM — il est juste magnifique, bravo à vous les filles.    
MON PERSONNAGE — [] inventé [] prédéfini [x] scénario
MON AVATAR — crystal reed.
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — par les chemins de bazzart.
UN DERNIER MOT MAGIQUE — felix felicis  

 
Ne bride jamais tes espérances Dorcas. Elles sont les libertés de chacun mais surtout elles t’appartiennent. Crois y fortement ma chérie car c’est cela qui fait tourner puis avancer le monde. Pieds nus, tu cours à en perdre haleine. Les fines brindilles d’herbes fertiles viennent chatouiller la plante de tes pieds. Sa verdure s’étend tout autour de toi, tel un ilot alors que le vent vient s’emmêler dans tes boucles d’un noir corbeau. Tu continues de courir. Infatigable, insaisissable. Tu cours encore et encore au travers des grandes étendues qui abritent le domaine de vos voisins. Ces derniers possédaient un  vaste jardin, entouré d’une clairière où la vue et la paix étaient loin d’être éphémère. Pour toi, tout cela demeurait  encrée dans l’instant présent pour ne jamais se faner, ne jamais cesser d’exister. La brise d’été quelque peu fraiche pour cette fin de saison vient caresser ton visage. Un visage de porcelaine alors que tes joues rougies par l’effort constatent nettement avec ta peau d’ivoire. Un trait physique hérité de ta figure maternelle mais qu’avait tendance à t’envier ta sœur ainée. Alice était la parfaite réplique de votre mère, tu étais celle de ton père. Cela n’avait strictement rien pour te déplaire bien au contraire. Quelques pas de plus en avant et te voilà au bout d’une colline qui surplombe le petit village où tu as grandis. Petite fillette aux regards mystérieusement rieurs et rêveurs, ton souffle est quelque peu saccadé. Avidement tu reprends ta respiration tout en portant ta main gauche en visière comme pour éloigner les rayons forts chaleureux du soleil qui viennent gêner ta vision. Une vision où l’horizon se répète tel un cycle à répétition mais où chaque couleur se nuance par le temps. Bientôt, le soleil déclinera au profit d’un plafond étoilé formant alors les couleurs de ton propre ciel. Doucement, tu parviens à recouvrer le rythme régulier des battements de ton cœur. Un sourire plein nait alors sur tes lèvres et tu soupires avant de te laisser tomber de tout ton long sur le sol mousseux et doucereux de la pelouse. En hauteur, les nuages cotonneux et épais forment entre eux des visages sur lesquels tu tentes de mettre des mots, des noms. Certains prennent même la forme d’un balai de quidditch tandis qu’un autre isolé du lot prend la forme du profil de Peeves, l’esprit malin du collège où ta sœur étudie depuis deux années désormais. Elle ne se cessait de le décrire comme un mauvais farceur, un être perturbateur. Tu la croyais sur parole, après tout il en fallait beaucoup pour mettre Alice en colère, mais tu avais hâte de découvrir ses vérités pas toi-même. Bientôt, bientôt. Tu tends alors la main en direction du ciel comme pour tenter d’attraper les nuages mais ils sont bien trop loin, bien trop hauts. L’ombre d’une silhouette élancée et fortement coutumière s’avance vers toi, sa main saisissant la tienne. Tu reconnais la carrure de ton père, cet homme pour lequel ton respect est total. De sa  bouche charnue, il émet un son rauque tout en rigolant. «  Doe, tu sais qu’il va bientôt être l’heure de diner ? Ta mère et ta sœur te cherchent partout tu sais … Tu leur donnes du fil à retordre ma grande. ». Son intonation est loin d’être réprobatrice, non il ne fait que constater une évidence qui a le don de le faire rire, lui rappelant certainement l’enfant qu’il avait été autrefois. Il te le disait souvent, lorsqu’il vous racontait des anecdotes de son enfance à lui et à son frère. Il secoue la tête alors que tu prends appuie sur la main qu’il te tend pour t’aider à te remettre sur pied. « Je sais, je sais mais j’aime venir ici et puis de toute façon Alice n’aime pas m’accompagner. Elle dit qu’on s’ennuie et qu’à trop rêver on finit par se perdre. Je n’aime pas quand elle me dit ça. ». Dis-tu d’une voix cristalline, une moue boudeuse se dessinant sur tes traits. Tu croises tes bras contre toi, ton paternel venant te prendre dans ses bras pas pour te porter sur ses épaules. De sa démarche prudente et tranquille, tu sais qu’il recouvre le chemin de la maison. « Ne fais donc pas la tête ma fille, toi et ta sœur êtes comme différentes. Je suis bien plus âgé que toi et pourtant je continue de croire aux rêves après tout c’est ce qui donne un véritable sens de l’espoir. Tu n’es pas d’accord ? ». Ses dires sont toujours teintés de sagesse et de songerie comme si en étant ailleurs il demeurait tout autant imprégné dans l’instant réel. Il lève légèrement la tête pour t’observer et le sourire sur ton visage lui donne toutes les réponses qu’il pouvait attendre de ta part. « C’est bien ce que je me disais ! ». Reprend-il en souriant. Ton père saisit les mains que tu lui donnes et se met à chantonner une comptine ayant bercé à chacun votre petite enfance. Il accélère le pas et à l’image du vent tu te sens libre, sans contraintes. Ne bride jamais tes espérances Dorcas. Elles sont les libertés de chacun mais surtout elles t’appartiennent. Crois y fortement ma chérie car c’est cela qui fait tourner puis avancer le monde. Ses paroles ne t’ont jamais quitté, que cela soit aujourd’hui ou encore demain, elles résonnent toujours en ta mémoire.


Assise en tailleur sur la moquette du salon, le regard rivé sur tout un tas de papier jonchant le sol, tu ramènes quelques mèches rebelles qui s’échappent de ta tresse derrière ton oreille. Tu n’arrives pas à dormir. L’anxiété puis l’excitation  te gagne toujours autant la veille d’un match, le seul moyen pour toi de remédier à cela est de revoir encore et encore les stratégies mises au point avec ton entraineur et tes coéquipiers. Pourtant il s’agit d’une simple routine dont tu as l’habitude depuis quelques années, pour autant tu sais combien ces habitudes ont la vie dure. Il doit être aux alentours de deux heures du matin. La rue principale est plongée dans un bleu obscur et seuls les rayons de la lune viennent se filtrer un passage au travers de la grande fenêtre du salon. Tu aimais te retrouver là, assise à contempler un paysage qui te rappelait quelque peu ton ancien appartement. Ce dernier était certes sommaire mais tu aimais cette simplicité. Le loft de ton petit ami quant à lui demeurait à son image et tu t’y sentais comme chez toi. Désormais cela l’était et à cette perspective tu esquisses un sourire songeur et amusé à la fois. Vêtue de l’un des t-shirt trop ample de Aiden et short de pyjama, tu replaces tes lunettes de vue sur le bout de ton nez avant de relever les yeux vers un morceau de papier légèrement froissé. Un facture de communication, tiens celle-là elle était passée à la trappe. Au moment où tu t’apprêtes à te redresser sur les genoux, tu sens deux mains fermes et déterminées se glisser autour de taille. Ainsi ton dos repose contre son torse, les jambes de Aiden t’entourant de part et d’autre de ton corps. Son menton se pose sur ton épaule gauche, alors qu’il dépose un baiser dans ton cou. « Tu es encore debout … ». Son timbre de voix encore ensommeillé prouve combien il est encore fatigué. L’un comme l’autre vous travailliez très dur quand bien même votre domaine demeurait divergent. Son assertion est tout simplement une simple constatation, après tout tu te réveillais toujours lorsqu’un match important était de mise le lendemain. Dieu sait combien tu étais douée, les scores de temps et les articles de la presse en attestaient mais loin de rester sur des acquis tu ne cessais de douter. Ses deux mains autour de sa taille te caressent le ventre depuis tout à l’heure comme pour apaiser l’angoisse qui te taraude. Naturellement, il passe la main sous ton t-shirt et la chaleur de ses mains émet un contraste saisissant avec le froid de ta peau. « Ouais mais tu sais aussi que je dois me concentrer pour revoir tout ça, hm ? ». Lui dis-tu en rigolant sérieusement tout en lui montrant les papiers éparpillés autour de toi. Aiden t’embrasse le long de la nuque avant de défaire ta tresse  et d’hocher la tête en guise de réponse. Chatouilleuse, tu plis légèrement le cou. « Sans compter que tu t’en mêles les pinceaux avec tes … ».Cette fois ci, tu n’as guère le temps de finir ta phrase car il te fait taire en déposant ses lèvres sur les tiennes. Un échange que tu prolonges en nouant tes bras autour de dos. Tu souris contre sa bouche, son souffle effleurant le bas de ton visage. « Je sais que tu y arriveras, tu n’as pas besoin de tout ça. En revanche, je veux bien capter un peu plus ton attention si tu veux … ». Te murmure-t-il doucement, d’une manière malicieuse. Tu aimais entendre sa voix, parce qu’elle dépeignait toute la confiance mutuelle que vous vous portiez mutuellement. Là, à cet instant même, dans le creux de ses bras tu sais mieux que personne que c’est là où se trouve ta place.


Sa silhouette n’est plus qu’une ombre, un point noir s’enfonçant dans la nuit. Tu lui ordonnes de partir, de s’enfuir pour préserver sa vie. Les points liés, le visage fatigué de ton père est parcouru d’hématomes. L’expression de ses traits autrefois communicatifs et bienveillants sont désormais tirés accueillant avec une fatalité nouvelle la suite que sera le prochain instant, sa propre fin. Là sur le ponton d’exécution – auprès de plusieurs autres sorciers nommés traitres –, son visage se fige sur le tien. L’intensité de ses prunelles est véridique, il partira la tête haute en te transmettant ce que tu sais si bien déjà. Des larmes coulent le long de tes joues, tes lèvres se pressant en une ligne mince. Tu peux encore ressentir les mains de ta mère presser les tiennes si force, que cette puissance est suffisante pour traduire sa douleur. Ton jeune frère bien que plus grand que toi – en taille – la serre contre lui comme pour la soutenir, comme une canne en bois supporterait le poids de la vieillesse. Tu peux entrevoir le hochement de tête de ton père. Il est bref et explicite. Son enseignement et ses paroles circulent dans ta mémoire, son héritage se transmet au travers de tes veines, de vos souvenirs communs. La colère bouillonne encore, la rage n’est pas encore atténue. La déchirure et la culpabilité te soulève le cœur tel un empoissonnement contre lequel tu ne peux rien faire. Sa silhouette n’est plus qu’une ombre, un point noir s’enfonçant dans la nuit. Tu lui ordonnes de partir, de s’enfuir pour préserver sa vie. A l’image d’Aiden tu te dois de l’imiter pour sauver la vie de tes proches mais aussi celui de l’être innocent que tu portes. Elle a reçu le baiser du détraqueur, elle a été emprisonnée. Le mal ricane de ton malheur. Tu as l’impression d’être sur un jeu d’échecs. Les personnes que tu chéris et qui ont accompagnés ton existence semblent tomber un à un. Laisser des espaces bien vides. Un hurlement déchire l’obscurité profonde de la nuit, le sort d’un vert glacial, la prononciation d’un sort impardonnable, irrévocable. Tu as l’impression de suffoquer sous la lourdeur de la culpabilité, de la haine et l’excès de violence qui vivre en toi depuis tant de temps. Tu te redresses bien trop rapidement en position assise, le cœur battant, le souffle court. Un filet de sueur froide s’écoule le long de ta tempe, tes yeux se posant immédiatement sur le petit corps blotti contre toi. Couché sur le côté, le  petit bonhomme dort d’un sommeil paisible serrant au creux de ses bras une petite peluche prenant la forme d’un dragonneau. Une peluche que lui avait offert ton frère pour son première anniversaire et qu’il ne quittait plus depuis. Tu l’observes en silence, un sourire protecteur et aimant se dessinant aux coins de tes lèvres. Il est le résultat d’une passion, d’un sentiment véridique et sincère. Porteur d’un espoir et d’une innocence qui mérite la perspective d’un avenir meilleur. James était un enfant à la fois timide et méfiant à bien des égards, mais d’un calme et d’une maturité qui quelques fois avait tendance à surprendre. Les traits de son père était présent dans chacun de ses regards, et te donnait la confiance de croire qu’il était encore en vie. L’ombre de la responsabilité semble reprendre ses droits. Tes pensées sont joueuses ces derniers temps, prenant comme un malin plaisir à te tourmenter davantage. La mort de ton père, l’emprisonnement de ta sœur ainée, et Aiden ? Avait-il était assez prudent pour éviter de tomber nez à nez avec des détraqueurs ? Etait-il tout simplement encore vivant ? Où est ta part de responsabilité là-dedans Dorcas ? Ce flot incessant d’interrogations cesse derechef lorsque la petite main de James se pose sur la tienne. « Maman. ». Commence-t-il une première fois avant de serrer davantage son compagnon en peluche. Ton attention se pose sur lui, un regard aimant et protecteur à la fis. Tu te rallonges à son coté, passant une main autour de sa taille pour le rapprocher de toi. Il fait de même de sa main libre, ses yeux sombres te souriant avec une certaine malice, une certaine peur également. « Maman … j’ai peur du noir, je ne veux pas être tout seul dans le noir … ». Il chuchote tout doucement tout en jetant une brève œillade en direction de la porte. Vous aviez beau avoir rejoint les autres, en sécurité, James éprouvait constamment la peur d’être séparé de toi. Tu  caresses doucement sa joue, avant de caresser sa tignasse brune légèrement en bataille, cela avait tendance à l’apaiser. « Tu te souviens de ce que je t’ai dit Jamie ? ». Lui dis-tu doucement d’une intonation calme et sereine. Ton fils hoche lentement la tête, tout en fermant les yeux. « On est accroché comme les deux petits doigts d’une main, comme le signe d’une promesse mon grand. ». Tu déposes un baiser sur le sommet de son front. « Je t’aime maman. ». James se rapproche un peu plus de toi tout en baillant, tu souris en le toisant avant de lui murmurer ces trois petits mots à l’oreille à ton tour. Rapidement, il retombe dans les bras de Morphée. Plus tu le regardes, plus tu y vois le visage de son père. Un père qu’il n’a pas connu mais surtout qu’il ne connait pas encore. L’espoir n’est pas totalement perdu, il vit au travers de son regard.

Doe est parfaite Audrey tu as une plume excellente, une des meilleures que j'ai jamais lu, si ce n'est la meilleure et tu as su t'accaparer le personnage, j'adore. J'ai hâte qu'on puisse rp

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition