ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — 21 années de façade, née, non pas là où sa mère travaillait, à Sainte Mangouste, mais dans une clinique moldue de Londres. Première discorde entre ses parents. La jolie a fait son entrée au monde un soir de Décembre, le 21, un joli cadeau de noël. PROFESSION — infirmière, ce poste bien loin de ses espérances l'a poussé à de nombreux retranchements: elle a notamment fait profiter de ses charmes à un jeune guérisseur pour qu'il passe sa candidature à un poste plus haut placé en haut de la pile. Elle travaille d'arrache pied chez elle pour devenir une médicomage affirmée. Sa mère refuse de l'aider, pour que, comme elle, Lavande se batte pour faire sa place. NATURE DU SANG — sang-mêlée, elle n'a que peu de souvenirs de son père moldu. Lorsque ses parents ont divorcé, sa mère l'a choyée comme une princesse, évitant les questions et les demandes sur son paternel. Lavande ne s'est par la suite jamais intéressée aux moldus, si ce n'est à la mode Londonienne, divine.BAGUETTE — elle est faite en bois de cerisier, dix-huit centimètres, en son coeur uncrin de licorne, prédisposée aux enchantements. STATUT MATRIMONIAL — célibataire, elle a longuement profité des charmes de garçons au alentour avant qu'un homme blessé lui balance à la figure qu'elle n'était qu'une putain désabusée, au coeur de pierre, une traitresse au sang impur. Depuis, elle n'oublie plus ses soucis dans les draps d'autrui. ANCIENNE MAISON — gryffondor, les rouges et or, n'a-t-on jamais dit qu'il fallait du courage pour affronter ses amis ? Il en faut encore plus pour les trahir, selon elle. Peut-être que Lavande a oublié la notion de lâcheté, qui sait ? EPOUVANTARD — la trahison suprême qu'elle a faite, et son résultat, les jumelles patils, leurs cheveux ébènes baignant dans leurs sangs, les visages tuméfiés par la peur et l'horreur, ses anciennes amies, qu'elle a sacrifiée pour sa vie. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — elle a une légère cicatrice sur la pommette gauche, résultat d'un crochet du droit qui lui a fait finir la tête contre le coin de la table en bois du salon. Merci la Brigade Rouge. GROUPE — breath of life.

---

MON ÂGE — nineteen
MON PAYS — douce france, le pays de mon enfance
MON AVIS SUR LE FORUM —   
MON PERSONNAGE — [] inventé [] prédéfini [ x ] scénario
MON AVATAR — emily browning
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — une licorne nommée charlie delta m'a emmené à lui
UN DERNIER MOT MAGIQUE — feeeeeydeymoooon

LUCIDITE : Il était mort. Son sang était figé, comme son visage, aujourd’hui translucide. Ses vêtements étaient sales, débraillés, ses lunettes, brisées. Et c’est à cela qu’était censé ressembler le sauveur du monde magique ? Piètre image qui se dressait devant elle. Elle ne sait comment ses pieds l’avaient emmenées ici, loin de Sainte Mangouste, mais elle n’avait pas vraiment réfléchi. Trop de morts l’avait entouré en cette journée, souvenir terrifiant de ce monde qui était sien aujourd’hui. De la manière dont elle pouvait mourir, demain. Elle aussi, aurait pu se trouver sur cette estrade, les poings liés, le visage baissé, torturé et sans espoir pour la suite de sa vie. Mais elle avait la chance d’être toujours en vie, de respirer et de trouver sa place petit à petit, même si elle tentait de se faire discrète. L’espoir s’est envolé au même moment qu’Harry est tombé, et s’il elle n’avait pas versé de larmes en voyant Hermione et d’autres tomber, c’était parce qu’elle les réservait pour plus tard, à un moment plus intéressant. Elle laissa la dépouille de son camarade de côté, se déplaçant vers la sortie de l’atrium, pour rejoindre Parvati, qu’elle avait abandonnée en larmes dans les bras de sa sœur. Elle retourna sur le chemin de traverse, où le « nettoyage » avait lieu. Au chaudron baveur, dans la chambre 23, elle trouva les deux sœurs en larmes, serrées l’une contre l’autre, démunies, sans espoir. Pendant un instant, Lavande trouva ses amies un brin pathétique, avec leurs maquillages dégoulinants. Mais la compassion l’envahi tout de même, elle n’était pas sans cœur. Padma releva la tête, reniflant bruyamment, essayant une larme noire de sa joue. « Oh, Lavande ! Tu as vu quand Luna est tombée ? Elle semblait si triste ! » Padma avait fait sa scolarité à Serdaigle, il semblait logique qu’elle soit d’autant plus touchée par la mort de la blonde un peu cinglée. Lavande hocha la tête, les yeux brillants en se souvenant de sa mort. Elle ne voulait pas paraître sans cœur, mais elle était si heureuse que la Brigade Rouge n’est pas tenté de mettre fin à ses jours, alors, quand ses camarades et professeurs sont morts par un éclair vert sortant d’une baguette, elle était presque soulagé. Etait-elle un monstre pour autant ? «  Je crois qu’on devrait se cacher… Ce sera bientôt notre tour… » La brune dévisagea les sœurs Patil avec ébahissement : elles comptaient fuir ? Mais elle ne voulait pas partir de Londres, elle ! Même si cette ville renfermait les plus terribles de ses souvenirs, elle n’avait pu se résoudre à se battre quand Harry s’est fait tuer par le Seigneur des Ténèbres, tout comme les sœurs jumelles, elle n’avait plus vraiment d’espoir depuis la mort de Dumbledore. Et puis, Hermione, Harry, et Ronald, ils n’avaient pas supporté les Carrow et leurs vices. C’est à partir de là que Lavande a cessé de se battre. Découragée, elle n’y avait jamais tant cru, à ce monde meilleur. Sa mère, l’avait presque prévu, lors de son divorce, voulant l’écarter à tout prix du monde moldu. Intérieurement, Lavande la remerciait. Si la jeune sorcière n’était pas pour cette guerre et ce nouveau gouvernement, elle savait qu’elle pourrait trouver un moyen de s’en sortir sans la fuite. Elle pouvait avoir un avenir à Londres, devenir médicomage, une guérisseuse accomplie. « Les filles, vous n’y pensez pas sérieusement ?! Une vie à fuir ? Non, on va trouver une solution, attendez encore deux semaines, et là, je vous écouterais. Vous êtes sous le choc… Parvi, je sais combien tu appréciais Dean, mais c’est fini maintenant. » L’indienne s’effondra à nouveau en larmes. Elle prit le bras de sa meilleure amie entre ses doigts fragiles, la poussant à la regarder dans les yeux : « Merci, Lavande. Je ne serais pas ici aujourd’hui, sans toi. » La gryffondor lui lança un sourire gêné, se baissant à sa hauteur pour la prendre dans ses bras, caressant doucement ses cheveux soyeux. Elle se demandait quelle formule magique ou quel soin Parvati et Padma utilisaient pour leurs cheveux. C’était vrai, ça, il était si beau, si brillant, il devait y avoir un secret indien derrière ça ! Lavande ferma les yeux une petite seconde pour retrouver ses esprits. « Tu es comme ma sœur, Parvati, tu le sais. » Il n’y avait aucun mensonge dans cette phrase, elle l’aimait comme elle aurait aimé sa sœur. Relâchant son étreinte, elle servit trois thés brulants afin de chercher ce qui les attendait dans les feuilles de thés. Silencieuses, elles avalèrent leurs thés, inquiètes de ce que pouvait dévoiler les feuilles. Les jumelles Patil lachèrent un petit cri, alors que Lavande frissonna de tout son corps : la croix, symbole d’épreuve et de souffrance. Mais quand elle tourna la tête pour observer les tasses de ses amies, son cœur fit un bond dans sa poitrine : Le sinistros pour l’une, la tête de mort pour l’autre. La mort, et un grand danger sur leur chemin. C’était bien pire que sa tasse. Elles allaient mourir.

ANIMOSITE : Le mois de Juin touchait à sa fin, et les températures n’étaient pas vraiment à la hauteur des espérances, ses jupes et robes étaient au placard, seul ses pantalons sorciers lui flattaient les jambes. Le mois de Juillet sera peut être plus clément, en attendant, la jeune infirmière se pressa dans le chemin de traverse pour récupérer la plateforme de transplanage la plus proche. Une fois les deux pieds bien ancrés, elle se répéta les trois D. mécaniquement dans sa tête. Elle sentit une drôle de sensation lui chatouiller le nombril, et elle réprima un frissonnement quand ses deux pieds se posèrent sur le sol, non loin de son appartement, qu’elle partageait avec sa mère à Milton Keynes. Elle marchait d’un pas léger, se rappelant qu’enfant, son père l’avait inscrite à la danse moldue, le classique. Elle était plutôt douée, gracieuse, selon ses professeurs. Parfois, elle aimait dessiner des mouvements qu’elle avait appris, mais ses souvenirs restent flous, sa mère a pris soin de l’éloigner de ce monde. Son immeuble en champ de vision, elle vit trois grands hommes vêtus de noir, avec un brassard rouge au bras gauche juste devant sa porte d’entrée. Elle baissa la tête, paniquée, cherchant une issue près d’elle : La brigade rouge venait pour elle. Sa mère était en sécurité, bien qu’elle ne s’en souciait pas vraiment pour le moment, cette pensée lui traversa l’esprit. Sa mère ne pouvait pas l’aider. Inspirant doucement, elle se fit passer pour une vulgaire moldue, les cheveux détachés et son sac à main au bras. Elle pensa retourner à la plateforme de transplanage, mais c’était trop risqué. Elle n’avait pas d’argent moldu pour prendre un taxi, et si jamais la brigade attaquait le taxi, cela ferait beaucoup de grabuge pour pas grand chose. Valait mieux rester discret, mais ce n’était pas le plus grand talent de la brune, la discrétion. Sa blouse de Sainte Mangouste dépassait de son sac, et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle passa devant son appartement, devant les trois brigadiers qui n’eurent aucun doute sur son identité. Ils la suivirent quelques mètres plus loin, pour la coincer dans une impasse. La baguette serrée dans sa main, elle lança quelques sortilèges de défenses, mais fut bien vite désarmée, à la merci des trois hommes, dont les sourires sadiques ne laissaient présager rien de bon. « Miss Brown Lavande, vous êtes condamné à la peine de mort pour votre soutien à Harry Potter et votre rébellion contre Voldemort. Vous passerez devant la cour du Magenmagot avant de subir votre sentence. » Lavande sentit ses jambes flageoller sous son poids, le poids de la mort qui l’enrôlait dans ses bras. Son cerveau refusait l’information, son regard tentait de trouver de l’aide autour de ses murs trop hauts pour elle, coincée, elle avait l’impression de suffoquer, que les murs se resserraient autour d’elle, elle ne voulait pas mourir, elle ne pouvait pas mourir. « Tu lui as lancé un doloris ? » Ses lèvres se pinçaient, elle se recroquevilla sur elle même, démolie. « Non, mais c’est pas une mauvaise idée ! DOLORIS ! » Lavande tomba à la renverse quand le sortilège la frappa de plein fouet. Elle se tordait de douleur, sentant chacun de ses membres souffrir un par un, comme si un feu la dévorait, sa tête menaçait d’exploser, et un cri déchirant, à glacer le sang fit éclater de rire ses bourreaux. Des larmes coulèrent le long de ses joues quand il releva sa baguette pour poursuivre ses assauts de douleur. « NON ! S’il vous plait, pas encore ! » Le plus grand, s’approcha d’elle, baguette rangée, et s’accroupi pour être à sa hauteur, avançant sa main vers le visage de la sorcière terrifiée, qui, par reflexe, recula sa tête. Le rictus de l’homme face à elle lui rappela qu’elle était prisonnière. Il caressa ses lèvres pleines, se léchant les babines comme un prédateur. Lavande s’imagina alors mille scénarios, plus terrible et destructeurs les un des autre.  « Tu préfères d’autre douceurs, ma jolie ? » A ces mots, Lavande eut envie de vomir sur ce type, de l’ecraser, de le faire souffrir lentement, qu’il ressente son supplice au centre de sa chair, qui la pleure toute la nuit pour qu’elle le libère… Mais il y avait bien un moyen de s’en sortir, non ? Si elle était ici, face à eux, c’était juste parce que Parvati l’avait convaincu que c’était une bonne idée, de faire partie de l’A.D, et puis, c’était drôle de faire tourner en bourrique cette idiote d’Ombrage. Elle pensa à sa meilleure amie, bien tranquille, cachée avec sa sœur jumelle dans leur maison de campagne, alors qu’elle, elle allait travailler chaque jour pour faire bonne figure… « Attendez ! Je… Je connais des gens, des personnes que vous cherchez, qui sont cachées. Si… Si vous me laissez, je vous le dirais, ne me tuer pas, je vous en supplie. J’ai encore plein de choses à vivre… » Le brigadier se releva, la tirant par les cheveux pour qu’elle se relève. Il la jaugea de haut, tournant autour d’elle comme un vautour, alors qu’elle fermait les yeux pour calmer sa respiration et ses spasmes de peur. « Qui ça, hein ? » La sorcière souffla doucement, ouvrit les yeux pour regarder dans les yeux l’homme qui la torturait quelques minutes plus tôt.  « Oui, je sais où se trouvent Parvati et Padma Patil. » Il éclata d’un rire tonitruant, suivi de ses compagnons de fortune. Il frotta ses mains l’une contre l’autre, et prit le menton de la jeune femme entre ses mains, menaçant : « Ca a interêt à être vrai, Brown, ou je t’éclate ta petite gueule de fausse bourgeoise parfaite. » Lavande savait à présent quoi faire. Elle leur confia l’endoit ou sa meilleure amie se cachait depuis qu’elle avait lu son destin dans les feuilles de thés. Après tout, elle ne faisait qu’avancer leur mort à quelques jours, ou quelques mois, elles n’auraient pas pu survivre bien longtemps, si ce n’était pas elle qui les avait dénoncées, ça aurait été un autre. Et puis, quelqu’un avait bien dû dénoncer sa propre participation à l’A.D, non ? « Voilà, comme ça vous pourrez les capturer et les emmener au ministère. » Le brigadier secoua la tête négativement, moqueur. Il tourna sa baguette entre ses mains, la passant sur sa joue, un brin trop chaude au goût de la jeune femme. « Oh, non, nous n’allons pas les capturer, nous allons les tuer… Le petit doloris que je t’ai envoyé n’était qu’un amuse bouche, j’ai envie de plus, maintenant, et du sang de bourbe, c’est drôle à voir couler. Ramène-toi, Brown, tu ne veux pas rater ce spectacle. » Et dans un « Pop » sonore, ils disparurent.

La torture qu’elle vit sous ses yeux, le regard désemparé de Parvati, celui, haineux de Padma, le sang qui coulait de leurs bouches, les sorts, jumeaux, comme leur sang, que les bourreaux envoyaient sans relâche, puis l’abandon de Padma, qui l’effondra dans la mort la première, suivi de peu par sa sœur, qui, en la voyant tomber, perdit son dernier espoir de survie, et d’entendre sa meilleure amie s’excuser. Les corps meurtris et ensanglantés de ce qui furent ces amis laissèrent Lavande pantelante, le visage constellé de larmes brûlante. « Pathétique. » furent les derniers mots qu’elle entendit avant de se prendre un crochet du droit, joli cadeau du brigadier, qui la fit chanceler pour atterrir sur le coin d’une vieille table en bois, et de s’évanouir auprès des deux cadavres.

REALITE : Elle croyait pouvoir échapper à son destin, mais foutaise, chacun savait que c’était impossible. Elle en a fait l’amère expérience. Parce que la vie n’était pas un ami, non, pas pour elle en tout cas. En échange de cette « chance » d’avoir rejoint la Terre, elle a subi des millions de déception, désillusion en tout genre. Ceux qui se disaient heureux mentaient, dans cette nouvelle société, c’était impossible. Sa mère en avait fait les frais. Ainsi, les erreurs de Lavande se répercutent sur chacun de ses gestes, chacune de ses pensées. Sa vie ne fut qu’un mirage, le bonheur plus qu’entrevu au détour un drap jauni, sans en profiter. Ce qu’elle a enduré peut paraître anodin, après tout, elle l’a sûrement mérité, comme la plupart des gens le pensent. Pourtant, certaines choses du passé resurgissent et font plus de mal que de bien. Pourtant, elle a recherché le Bonheur, même éphémère, un peu impersonnel aussi, parfois, parce qu’elle trouvait en elle les ressources d’être heureuse de la même manière que ceux qui l’entouraient. Le bonheur, c’était tout et n’importe quoi, après tout. Pour redevenir heureux, il faudrait aussi, croire en quelque chose. En un souhait ? Ici, il resterait impossible à réaliser. En soi ? Mais la société faisait tout pour détruire la moindre idée de conception personnelle. Faire confiance au reste du monde ? Elle restait la preuve vivante que la trahison était la chose la plus simple à faire. En l’avenir, peut être, celui que certains nous avaient promis ? Il est mort, en même temps que ces personnes. Il fallait se taire et tout faire pour le Lord, maintenant. Et puis, la vie continuait à poursuivre son court, après tout, sans attendre que Lavande le trouve à son tour, ce bonheur. Le temps est passé et ce fut à elle de trouver le bonheur plus vite afin de défier les aiguilles de son horloge de vie. Après avoir accepter que la vie était faite pour elle, que la rancœur, la culpabilité ne servait à rien, et que la solitude pouvait se combler autrement que par Parvati, Lavande avança, doucement, privilégiant sa carrière d’infirmière, qu’elle rêvait de voir fleurir. Son emploi ne la satisfaisait pas entièrement, elle voyait plus haut, comme sa mère, médicomage, elle espérait bientôt prendre sa place, car la vivacité et l’esprit de cette dernière s’éteignant peu à peu avec la déshumanisation de son monde.
Et si Lavande vivait à travers ses rêves, elle comptait bien tous les concrétiser un jour. Comme son grand désir d’enfant, mais sans père, elle ne pouvait pas y penser réellement. Alors, elle passait son temps à tenter de s’améliorer en tant qu’infirmière, flânant plus que demandé dans les couloirs de l’hôpital, ne comptant plus ses heures supplémentaires, après tout, c’est la seule chose qu’elle avait à faire. Elle ne s’amusait plus le soir venu dans des draps qui n’étaient pas les siens, depuis qu’on avait bafoué son honneur par des rumeurs (qui étaient vrais) sur la mort des jumelles Patil. Jamais elle n’avouera qu’elle a fait tuer sa meilleure amie pour garder sa vie. Alors, quand on lui balança cela au visage après avoir refusé des pratiques sexuelles déplaisantes, elle a décidé d’être chaste pour une certaine période : le temps de trouver celui qui sera le père de ses enfants, son mari, celui qui partagera sa vie. Parce que le seul qu’elle a aimé de tout son cœur, de tout son être, il y avait cinq ans, il n’était sûrement plus de ce monde, même si certains disaient l’avoir vu au Ministère de la Magie, Lavande n’en croyait rien,  les faux espoirs ne l’intéressaient plus. Elle n’imaginait pas retrouver un homme à la carrure de joueur de Quidditch tel que Ronald Weasley, dont les cheveux roux s’emmêleraient à chaque fois qu’une main étrangère viendrait se perdre le long, possédant des yeux bleus comme la mer, qui pouvaient exprimer des choses qui la ferait frissonner de plaisir à nouveau, et des fossettes d’enfant quand il souriait. Mais surtout, sa taille, le fait qu’il soit tellement plus grand qu’elle, donc tellement rassurant. En fait, cette description ressemblait drôlement à l’homme de dos à quelques pas d’elle. Ni une, ni deux, elle se rapprocha du jeune homme, qui fit volte-face en la voyant arriver : son visage était tuméfié d’anciennes et récentes blessures, son allure vouté lui donna envie de le prendre dans ses bras, ses cheveux en bataille et ses vêtements à deux doigts de lâcher le différenciait du Ron qu’elle avait connu. Pourtant, quand elle plongea son regard dans les yeux azurs du rouquin, elle sut que c’était lui, il n’y avait aucun doute : « Ronald ? Tu es vivant ? »

Jarjar a raison, fiche parfaite j'adore Lavande et Emily est parfaite. J'aime l'écriture, j'aime tout, bienvenue

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition