ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Barbara - ou Bee, pour les intimes - a vingt-six ans. Elle est née une nuit orageuse du mois d'aout 1975, le trois, précisément, à Brighton, en Angleterre. C'est dans cette petite ville qu'elle a passé toute son enfance, d'ailleurs. PROFESSION — Depuis sa sortie de Poudlard, Bee trempe dans des activités plus ou moins légales au sein même du Londres magique. Pendant un temps, elle vendait un peu de drogue - de la poudre de corne de bicorne, surtout, cette merde se vendait comme des petits pains - et puis quelques potions, sous la cape, pour le compte de telle ou telle Mafia. Depuis le changement de gouvernement, cependant, elle s'est trouvée à vendre du polynectar, mais aussi des fausses identités, sous la cape, bien entendu. Ses produits s'adresse à une clientèle plutôt fortunée, mais elle est prête à faire quelques concessions, en l'échange de services divers rendus. NATURE DU SANG — Elle est de sang-mêlé, deuxième génération. Sa grand-mère maternelle a épousé un moldu, puis ont eu sa mère, une sorcière, qui s'est elle-même mariée à un moldu. Le mélange des sangs, qu'est ce que vous voulez.  BAGUETTE — Bois de cerisier, corne de licorne, vingt-trois centimètres, prédisposée aux enchantements. STATUT MATRIMONIAL — Célibataire. ANCIENNE MAISON — Serpentard, comme sa mère, et la mère de sa mère avant elle. PATRONUS — Bee arrive à produire un patronus corporel depuis très peu de temps, mais il se trouve qu'il prend aujourd'hui la forme d'un lièvre. EPOUVANTARD — Son père, dans n'importe quelle forme. Elle a toujours été très intimidée par cet homme, depuis son plus jeune âge. Même aujourd'hui, alors qu'elle est loin de son joug, elle ne peut s'empêcher de trembler à sa pensée.   CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Trois longues cicatrices qui croisent son dos. Elle ne les évoque jamais, mais sera particulièrement directe si vous abordez le sujet.  GROUPE — Breath of Life

---

MON ÂGE — dix-sept ans ! (et toutes mes dents) (pour le moment)
MON PAYS — la France !
MON AVIS SUR LE FORUM — Ça m'à l'air parfaitement abject, c'est d'ailleurs pour ça que je suis là   
MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — Miss Amber Heard (future Depp) (*pleure*)
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — Par Charlie, que vous connaissez ici sous le nom de Chérie !
UN DERNIER MOT MAGIQUE — J'aime bien vos smileys   Aussi c'est ma première fois sur un RPG, donc soyez indulgents avec moi   

naissance d'une mère sorcière et d'un père moldu, deuxième enfant - jeune enfance tranquille - père perds son emploi de professeur et se met à boire - le père commence à frapper la mère, qui se réfugie dans son travail d'infirmière à Ste Mangouste - Barbara s'interpose entre la ceinture de son père et son frère et récolte des cicatrices - le père finit par partir - Barbara finit sa scolarité à Poudlard et entre officiellement au service des mafieux

SCARS Une petite fille joue avec son frère dans le salon, c'est une soirée comme les autres depuis un certain temps. Le père est alcoolisé, trop pour l'heure, pas assez pour lui. Il ne tient pas très droit et voit probablement flou à l'heure qu'il est. Les enfants ont apprit à ne pas être dans ses pattes quand il est dans cet état, et ce depuis qu'ils l'ont vu frapper leur mère il y a quelques soirs. C'est le garçon, le plus âgé des deux, qui a décidé de jouer avec sa soeur pour la distraire de ce spectacle affligeant. L'homme déambule dans la cuisine, à la recherche de cacahuètes. Il n'en trouve pas, et s'énerve. Et, de manière prévisible, son regard se tourne vers les deux seules autres personnes présentes dans l'appartement, ses propres enfants. Les grommellement se transforment très vite en hurlements, et la petite fille se cache les oreilles, et se recroqueville sur elle-même. Le garçon essaye de raisonner avec son père, en vain. L'homme sort sa ceinture des trous de son jean, et la lève vers le garçon d'un geste menaçant. La fillette s'interpose entre son frère et la ceinture, au moment critique. Le cuir frappe le bas de son dos, dénudé, et déchire un peu le tissus de son tee-shirt. Elle hurle de douleur, et tombe à genoux. La mère pourrait arriver à ce moment là, arrêter la scène, et éloigner ses enfants de cet homme perfide. Mais ça serait trop simple, beaucoup trop simple. La ceinture continue de tomber sur le dos de la fillette, encore et encore, jusqu'à ce que le monde s'écroule en un million de diamants. Ou jusqu'à ce que son frère fracasse la bouteille vide de whisky sur la tête de son père et l'assomme. [...] Ta soirée a été bien productive. Tu as vendu plus que prévu, si bien que tu n'as plus rien en stock. Il te faudra joindre tes fournisseurs au petit matin, pour continuer à satisfaire le client. Tu espères aussi que le trouble politique qui règne va continuer à régner un moment. Les affaires n'ont jamais été aussi bonnes que maintenant ! Et pour souligner le tout, tu as tiré ton coup. Une belle soirée, oui, c'est le cas de le dire. Tu sors du lit, nue, et déambule dans la pièce sans gênes, à la recherche de tes vêtements. Tu sens le regard de ton hôte se poser sur ta chute de reins, même sans te retourner - les hommes sont si prévisibles. Tu n'y prêtes même pas attention -même si tu dois reconnaître qu'un sourire satisfait s'étire sur tes lèvres. Et puis soudain, tu l'entends se lever, et se poser juste derrière toi. Et sa respiration, doucement, dans ton cou, ses lèvres sur ton oreille, son nez dans tes cheveux, et le bout de ses doigts, qui caressent ton dos. « Tu m'as jamais dit d'où venaient ces cicatrices... » Ta mémoire affiche soudainement l'image de ton père devant tes yeux et tu te mords la langue pour éviter de produire un son fort désagréable. Tu te retourne face à ton amant et colle ton corps au sien, remarquant qu'il a remit son pantalon.  « Mon père était un connard alcoolique et violent. Un jour, j'ai essayé de me mettre en sa ceinture et mon frère. » tu réponds simplement, en posant quelques baisers sur sa mâchoire, autant pour le distraire lui que toi. Tu descends tes mains jusqu'à sa taille et le pousse sur le lit. « Depuis, j'ai une sainte horreur des ceintures. » tu ajoutes en lui enlevant la sienne et la jetant loin de toi, loin de vous. Tu as vraiment besoin d'une distraction.


MAFIA « J'arrive toujours pas à comprendre comme t'as réussi à faire passer de la poudre de griffes de dragon à Poudlard. Ça me tue. » Tu hausses les épaules avec un petit sourire fier. Tu avais mis un certain temps avant réussir ton coup, mais finalement, tout c'était passé comme sur des balais volants. Aucun problème à reporter. « Le tout, c'est de savoir où sont les failles dans la sécurité. Rien de plus simple. » Effectivement. Tu avais juste essayé de faire entrer plusieurs objets dans Poudlard, et observé ce qui passait ou ce qui ne passait pas. Suffisait juste ensuite de trouver la bonne combinaison entre les deux, le tout associé à un sort anti-attraction. Pas plus compliqué que ça, vraiment. « Et ça s'est bien vendu ? » Un sourire ironique se colle sur tes lèvres à cette question. « Une poudre stimulante ? Aux dernières années ? C'est quoi cette question, bien sûr que ça s'est bien vendu ! On est à peine en novembre, et mon stock est déjà écoulé ! » Ton ami te regarde avec étonnement, et peut-être même une pointe de vénération. Il reste silencieux quelques minutes, le regard fixé sur toi, tandis que tu croises les jambes et bois ta Bièraubeurre, appréciant le silence. « T'as déjà pensé à ce que tu voulais faire plus tard ? A la sortie de Poudlard ? » il te demande soudainement, brisant l'atmosphère de paix qui régnait. A sa question, ton regard se pose sur ton uniforme vert et argent, et tu hausses les épaules. « Pas vraiment. » Peut-être continuer les études, faire du mannequinat, se lancer dans une carrière de journaliste... Tu n'en as aucune idée. « Tu devrais considérer la mafia. Vraiment. » Tu le regardes, et hausse un sourcil. « T'as les talents qu'il faut, c'est clair. Sans ajouter que vu ta gueule d'ange, personne te soupçonnera jamais. » Un sourire -sincère cette fois - étire tes lèvres. Ouais. Pourquoi pas, après tout. La Mafia. [...] Il est tard, tôt, peu importe. Autour de toi, la rue se vide peu à peu, tandis que le soleil se lève et que tu le regarde, assise sur un banc, un peu plus gelée à chaque minute qui passe. Tes mains sont dans les poches de ton blouson, l'une refermée sur ta baguette, l'autre sur ce qui se reste de tes produits. Il te tarde que le jour se lève, pour que tu puisses rentrer chez toi, et tourner cette page. « Hé, t'es Barbie c'est ça ? Mon pote Jeb m'à dit de trouver une fille canon dans le coin... » Tu jettes un oeil presque agacé au garçon qui te parle - un enfant, vraiment. Quinze ans peut-être, seize maximum. Tu soupires et lui fait signe de t'asseoir à côté de toi. Il s'exécute. « Passe ton bras autour de mes épaules et rapproche-toi. » Il te regarde, sans comprendre. Tu lèves les yeux au ciel, exaspérée te colle à lui et mêle tes jambes aux siennes. Le jour est encore timide, mais tu vois tout de même l'enfant rougir. « C'est moins suspect si on ressemble à un couple qui sort de soirée. » Tu te sens obligée de lui expliquer. Ça doit être sa première fois. « Qu'est ce que je peux faire pour toi ? » Tu sens sa baguette pointer dans sa poche - du moins, tu espères que c'est sa baguette. « Hum... » Tu croises son regard pointer vers ton décolleté, vers votre proximité. Il rougit encore plus, si c'est possible, et autant ton exaspération monte, autant tu es prise d'un élan de tendresse envers ce petit. « Je vais te faciliter la tâche va. » Tu prends le sachet de pilules qu'il te reste dans la poche et le fourre dans la sienne, récupérant au passage les billets qui s'y trouvaient. « C'est le dernier qu'il me reste, et le dernier que j'aurais avant un bon moment. A partir de demain, je change complètement de gamme de produits. J'espère donc ne pas te recroiser de si tôt, ni près de moi, ni près d'un autre vendeur - du moins, pas tant que tu n'as pas atteins la majorité. Capiche ? » Le petit acquiesce rapidement toujours aussi rouge qu'un palpitant. Un sourire s'élève sur tes lèvres lorsque tu réalise que ça y est, la vente banale de drogue, c'est terminée pour toi. Demain, tu passeras au niveau au-dessus, aux choses plus importantes et de plus en plus demandées dans ces temps de troubles polico-débiles. Enfin, tu vas pouvoir faire du vrai profit. « Autre chose, avant que tu partes. » Tu approches tes lèvres des siennes et lui donne un baiser tout ce qu'il y a de moins chaste. « Trouve toi une copine. » Tu lui dis, en décollant tes lèvres des siennes, avant de te lever et t'en aller comme si de rien n'était. Un petit sourire reste cependant accroché à tes lèvres - ce n'était décidément pas sa baguette.


BARBIE DOLLTu sors de l'établissement, un sourire sur le visage. De l'autre côté de la rue, deux hommes t'attendent, ton frère, et un de vos amis, la personne grâce à laquelle vous êtes tous là aujourd'hui. Tu t'avances jusqu'à eux, en faisant ton possible pour retrouver ton sérieux et un visage neutre. « Alors, ils t'ont aimée ? » Charles demande, anxieux. « S'ils l'ont aimée ? Non mais tu l'as vue deux secondes ? C'est clair qu'ils lui ont mangé dans la main, ces vieux gâteux ! ». Charles se tourne vers ton ami, l'air menaçant, et tu préfères annoncer tout de suite la nouvelle avant qu'ils commencent à se taper dessus. « Vous avez sous les yeux un nouveau membre de la grande famille qu'est la mafia londonienne ! » Tom - ton ami - se tape dans les mains l'air surexcité tandis que Charles te prends dans ses bras et te soulève. C'était une période d'attente assez stressante pour les deux. Tom, parce qu'il a été celui qui t'as introduite à la mafia, Charles, parce qu'il avait simplement peur pour toi. Un sourire sincère se fige sur tes lèvres à voir leurs réactions, mais tu leur fais signe de se calmer. Le meilleur est encore à venir. « Ils m'ont demandé mon nom. » tu dis, simplement. Ca a été une question à laquelle tu n'avais pas réfléchis. « Un surnom, plutôt. » « Et ? » « T'as dit quoi ? » « Barbie. » tu réponds, particulièrement fière de toi. Charles éclate de rire, mais Tom, lui, à l'air perplexe. Outre le fait que le surnom te va naturellement bien de part ton prénom, il est aussi parfait pour toi, pour la simple et bonne raison que la majorité des personnes que tu croises pensent à toi comme étant une poupée. C'était ta façon de leur donner un beau doigt d'honneur, mais avec un peu plus de classe.
Mais il faut bien dire que Barbie, ça te colle à la peau.