ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Yennefer a fêté ses vingt-trois années il y a quelques mois, elle est née un 2 février de l'année 1978, à Londres. Ils ont été déçus, les Yaxley, de voir que c'était encore une pisseuse et non un mâle digne de reprendre leur succession qui pointait le bout de son nez. Ils avaient pourtant espéré, que ce serait un petit gars fort et intelligent.   PROFESSION — Cela fait maintenant trois ans que Yennefer suit une formation au ministère, au sein de la Brigade Rouge. Son but est d'appartenir au Service d'Inflitration et d'Espionnage, elle travaille très dur pour arriver à intégrer les rangs des élites de la société. Son nom de famille aide énormément, mais ses capacités ne sont pas négligeables pour autant. NATURE DU SANG — Comme tous les Yaxley, Yennie est de sang pur, bien que cela puisse désormais être discutable d'après les autorités, elle fait de son mieux pour garder la tête haute et leur faire croire que rien n'a changé.  BAGUETTE — Elle mesure 27cm, est faite de bois de cornouiller et contient une écaille de dragon, ce qui fait de sa baguette un objet très caractérielle qui ne se laisse manier que par sa propriétaire. Au lieu de ne pas fonctionner, elle risque même de se venger affreusement de quiconque tenterait de s'en servir.  STATUT MATRIMONIAL — L'on ne peut pas réellement considérer que Yennefer soit fiancée, ses parents en parlent beaucoup, hésitent, mentionnent un prétendant pour en préférer un autre. Elle sent néanmoins qu'elle ne va pas tarder à se retrouver fiancée, ils semblent de plus en plus enthousiastes. ANCIENNE MAISON — Serpentard, toute autre maison aurait fait d'elle une paria. PATRONUS — Elle est incapable d'en former un, elle n'a jamais réussi et ignore si elle y parviendra un jour. EPOUVANTARD — Elle, nue dans l'Atrium au Ministère, la cicatrice en forme de croissant de lune exposée aux yeux de tous. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Une cicatrice en forme de croissant de lune, blanchâtre, sur la cuisse gauche. Souvenir douloureux et honteux du monstre qui l'a mordue, faisant d'elle une bête qui ne mérite plus le titre de sang pur. Elle en possède quelques autres ici et là, blessures d'enfant capricieuse et bagarreuse. Et bien évidemment, la Marque des Ténèbres, imprimée sur son avant-bras. GROUPE — HEAR ME ROAR

---

MON ÂGE — 22 ans.
MON PAYS — France.
MON AVIS SUR LE FORUM — Il est jouliiiii !
MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — Emma Greenwell.
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — Bazzart.
UN DERNIER MOT MAGIQUE —   

Des cris résonnaient dans les couloirs de Poudlard tandis qu'une odeur nauséabonde se répandait un peu partout, incrustant les vêtements et la peau. Yennefer plissa le nez tandis que ses camarades émettaient des plaintes horrifiées. Elle posa une main recouverte de sa robe de sorcière devant son nez et sa bouche pour ne pas s'intoxiquer avec l'odeur immonde de la bombabouse qui venait d'être lâchée. « Encore ces maudits rouquins de Weasley ! » s'écria la blonde de troisième année à côté d'elle. La jeune fille ne douta pas une seule seconde de ses propos, elle n'était à Poudlard que depuis quelques mois et pourtant déjà, les jumeaux de Gryffondor étaient aussi connus que le loup blanc, alors qu'ils étaient arrivés en même temps qu'elle. Ses parents lui avaient déjà parlé des Weasley, cette famille pauvre de traîtres à leur sang qui aimaient et protégeaient les moldus, elle avait donc tout de suite compris qu'ils n'étaient pas fréquentables. Parmi ses camarades de Serpentard, les insultes concernant les jumeaux fusaient et Yennefer hocha calmement la tête, approuvant leurs propos sans vraiment se préoccuper de ce qui se disait. Elle souhaitait simplement quitter ce couloir le plus rapidement possible, pour se débarrasser de cette odeur atroce qui allait imprégner ses vêtements si elle ne se dépêchait pas de faire quelque chose. Elle passa près des rouquins qui se faisaient traîner par le cracmol, mi-grimaçants mi-rieurs, et leur adressa un regard glacial avant de descendre les escaliers qui menaient aux cachots. Elle pénétra dans la Salle Commune des Serpentards où un silence respectueux régnait toujours. Les élèves de cette maison étaient ambitieux et travailleurs, il était rare d'entendre le brouhaha qu'elle avait déjà perçu en passant près de la porte ouverte de la Salle Commune des Poufsouffles.
Yennefer n'avait qu'une envie, enlever ses vêtements et prendre une douche pour se débarrasser de l'impression qu'elle avait de sentir affreusement mauvais. Mais elle fut interrompue par la silhouette de sa sœur aînée qui fit irruption devant elle. « Yennie, tu tombes bien, je voulais... Oh par Merlin ! » s'écria-t-elle brusquement avant de se pencher vers sa cadette pour murmurer : « C'est toi qui sent comme ça ? » La jeune fille lui lança un regard noir. « Bombabouse, Weasley, » marmonna-t-elle, l'air profondément agacée. Meredith laissa échapper un profond soupir et s'éloigna  de Yennefer pour ne pas être trop empoisonnée par l'odeur qui se dégageait de ses vêtements. « Je te dirais bien de ne pas t'inquiéter et qu'ils seront bientôt renvoyés, mais Dumbledore est un mou, » fit-sa sœur avec une grimace. Elle secoua la tête. « Ne t'en fais pas, je me contenterai d'en glisser un mot à papa, il sait y faire avec leur sous-homme de père. » Meredith lui sourit et voulut poser une main sur l'épaule de sa sœur mais au dernier moment, se ravisa, le nez plissé. « Sérieusement, Yennie, je t'aime, mais là... » La plus jeune leva les yeux au ciel et s'exclama : « Oui, c'est bon, j'y vais ! » avant de disparaître dans le dortoir des filles pour se laver et se changer.
Yennefer croisa les bras devant sa poitrine. Un frisson parcourut son échine et pourtant, il faisait déjà très chaud pour un mois de mai à Londres. En face d'elle se trouvait une estrade spécialement construite pour l'occasion, où l'on pouvait admirer les silhouettes des traîtres. A ses côtés, sa mère et son père affichaient un air satisfaits. En face, tout n'était que désolation. Granger avait les yeux écarquillés, l'air complètement absent. Pour la première fois de sa vie, Luna Lovegood semblait avoir pris conscience du monde qui l'entourait et ne souriait pas. Elle regardait droit devant elle, les traits fermés. Le plus jeune du groupe, un gamin dont elle ignorait le nom, sanglotait en parvenant à peine à tenir sur ses jambes tremblantes. Le Gryffondor à côté de lui regardait ses pieds, impossible de savoir s'il pleurait ou s'il faisait de son mieux pour ne rien afficher. Minerva McGonagall avait l'air plus vieille que jamais. Elle était fatiguée, usée, pâle. Et pourtant, elle restait digne. Yennefer avait beaucoup critiqué la directrice de Gryffondor, comme la plupart de ses pairs, mais elle avait toujours estimé la vieille femme pour ses capacités et son sens de la justice. Malgré son affiliation avec Dumbledore et l'Ordre, elle n'avait jamais été du genre à favoriser qui que ce soit, à Poudlard, s'évertuant à rester neutre dans l'éternelle guerre Verts et argents contre Rouges et ors. Elle se tenait droite, balayant la foule du regard, les accusant certainement de monstruosité et de lâcheté. À sa gauche se tenaient les jumeaux Weasley. Pour la première fois depuis que Yennefer les connaissait, ils ne riaient pas. Leurs cheveux roux étaient emmêlés, sales et leurs grands yeux bleus semblaient éteints, eux qui avaient tenu tête à Ombrage et à plusieurs mangemorts en continuant d'être les deux fauteurs de troubles qu'ils avaient toujours été, ils semblaient finalement avoir été brisés. Cela avait l'air de ravir les quelques anciens élèves de Serpentard qui se trouvaient parmi la foule et qui avaient subi leurs blagues à Poudlard. La jeune femme était incapable d'expliquer pourquoi mais elle se sentait mal à l'aise.
Traîtres à leur sang, idiots de Gryffondor qui avaient semé la zizanie à l'école, on lui avait appris à mépriser ce genre de personnes et elle aurait dû se réjouir comme les autres de voir qu'ils allaient enfin être exécutés, de voir le Seigneur des Ténèbres enfin asseoir sa suprématie. Mais elle avait juste l'impression d'assister impuissante à une ère qui s'achevait. Yennefer avait rejoint les rangs des Mangemorts comme tous les membres de sa famille, parce que c'était ce que l'on attendait d'elle, mais contrairement à Meredith et à ses parents, elle n'avait jamais réellement eu l'occasion de se battre pour cette cause. Peut-être l'avaient-elle jugée trop sensible, plus fragile que sa sœur aînée et ainsi, n'avaient jamais rien exigé d'elle ? C'était difficile à dire, la jeune femme ne connaissait pas la réponse à cette question. Mais le fait était qu'elle n'avait pas tant pris part à ce combat, elle s'était contentée d'observer. Voir les jeunes élèves aux familles pro-mangemorts se moquer des nés-moldus et des personnes comme les Weasley était devenu habituel, elle-même avait participé à cela, ces querelles entre adolescents, cette rivalité entre maisons. Cela n'avait jamais paru particulièrement violent ni malsain à ses yeux. C'était juste devenu normal. À présent, c'était différent. Les chamailleries et les moqueries étaient devenues la guerre, les insultes et les farces et attrapes, des sorts mortels. Les personnes vexées et mises à l'écart étaient devenus des cadavres et des prisonniers de guerre. Ça n'avait plus rien de drôle, ce n'était plus comme martyriser un peu un camarade, ça n'avait plus rien à voir avec elle insultant et se battant contre des nés-moldus. Elle allait assister à une exécution publique, à la mort de personnes qui avaient été à la même école qu'elle, qui avaient parcouru les couloirs familiers de Poudlard, s'étaient assis sur les mêmes bancs.

Elle se souvenait de cette fois en cours de botanique, où elle avait été obligée de collaborer avec l'un des jumeaux. George, peut-être ? Elle n'avait jamais vraiment su les différencier, mais qu'importe, ils étaient exactement pareil. Ça s'était terminé en échange virulent d'insultes, en sarcasmes et en remarques ignobles sur la famille de chacun, des disputes habituelles entre Serpentard et Gryffondor. Mais ça n'avait plus rien à voir avec tout ça, aujourd'hui, les jumeaux Weasley allaient être exécutés, sous ses yeux, et si ses parents avaient l'air satisfaits, Yennefer elle, ne pouvait s'empêcher de resserrer ses bras autour d'elle. Ces gens avaient été jugés dangereux et inutiles pour la nouvelle société du Seigneur des Ténèbres, ainsi, ils n'avaient plus de raison d'exister, à ses yeux. Subirait-elle la même chose, si elle venait à décevoir, à s'écarter ne serait-ce que de quelques pas, de la voie que l'on avait tracée pour elle ? Sans aucun doute, et c'était sûrement réaliser cela, qui terrifiait ainsi Yennefer. Elle avait critiqué l'ancien régime, comme on lui avait appris à le faire, mais maintenant qu'elle était capable de réfléchir par elle-même, la jeune femme réalisait une chose terrible, une chose à laquelle elle n'avait pas pensé. Avec le Seigneur des Ténèbres au pouvoir, plus personne n'était à l'abri, pas même ses plus fidèles mangemorts, tous vivaient à présent avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête. Courbe l'échine et obéis, tu survivras, pense par toi-même et tu mourras. Une voix claire prononça la terrible formule et le corps d'Hermione Granger s'effondra sur l'estrade, pâle et immobile à jamais. Le nabot Gryffondor poussa un cri et McGonagall tressaillit, la mâchoire crispée et les yeux brillants de larmes. Mais ils ne tardèrent pas à rejoindre la Sang de Bourbe, formant un tas de cadavres sur l'estrade. Lorsque finalement, le corps de Fred – ou bien George ? - toucha le sol, recouvrant celui de son frère jumeau, Yennefer ferma les yeux. C'était ainsi, à présent. L'Avada Kedavra avait remplacé les châtiments pathétiques d'Argus Rusard. C'est ça, le monde réel, Yennie.
Il y avait du sang partout. Sur ses vêtements, par terre, sur ses mains tremblantes qui compressaient la plaie béante dans la chair de sa cuisse. Des larmes de douleur et de terreur maculaient les joues de Yennefer et l'empêchaient de voir clairement. Elle ne parvenait pas à bouger, son corps transi de froid était tétanisé. La malédiction se répandait dans ses veines et elle était incapable de faire quoi que ce soit pour remédier à cela. Les yeux jaunes. Allait-elle se vider de son sang ici, sur le sol enneigé ? Les crocs blancs, luisants de bave. Elle savait ce qui l'avait mordue, elle n'était pas stupide, elle savait ce que cela signifiait. Le pelage aussi noir que la nuit. A partir de maintenant, elle était un monstre, une créature sanguinaire, que les nouvelles lois interdisaient ne serait-ce que d'exister. Quel avenir, pour elle ? La douleur atroce, dans sa cuisse, puis dans son corps tout entier. Au Ministère, ils allaient forcément comprendre, ils allaient deviner, elle ne pourrait pas se cacher. Froid. Tellement froid. Mais Yennefer ne voulait pas mourir. Cette idée s'imposa brutalement dans son esprit, à tel point qu'elle sursauta. Mourir, c'était la fin de tout, mourir, c'était disparaître. C'était le néant, l'obscurité totale, à tout jamais. Elle se mit à sangloter et ses doigts se crispèrent désespérément sur sa cuisse. Elle ne pouvait pas rester ici, elle ne pouvait pas mourir comme ça. Alors elle rassembla ses dernières forces pour se concentrer suffisamment et transplana. Dans un craquement sonore, elle atterrit au beau milieu de sa salle de bain et déjà, son sang se mit à maculer le carrelage blanc. Dans un dernier élan de volonté de survie, elle se traîna jusqu'au lavabo qu'elle empoigna de toutes ses forces pour se relever. Sa jambe blessée trembla sous son poids et elle glissa à plusieurs reprises mais enfin, elle parvint à lever une main pour ouvrir une des portes du petit placard qui se trouvait là. Fébrile et gémissante, elle fouilla dans les étagères, renversa plusieurs flacons qui allèrent se briser dans le lavabo jusqu'à ce qu'enfin, ses doigts se referment autour de ce qu'elle cherchait si désespérément. Yennefer se laissa retomber, incapable de tenir debout plus longtemps et tenta d'ouvrir la fiole d'essence de dictam. Elle s'y reprit à plusieurs fois, ses doigts glissaient, ne parvenaient pas à serrer suffisamment le bouchon. Si froid. Enfin, elle réussit à l'ouvrir et en versa tout son contenu sur sa cuisse, sans hésiter.

Et la douleur, putain, la douleur. Elle vrilla ses sens, comme si des centaines d'aiguilles chauffées à blanc transperçaient sa peau et sa chair. Yennefer hurla, tandis que l'essence de dictam luttait contre la plaie crée par une morsure de créature magique. C'était comme cautériser une plaie avec la lame d'une épée rougie, radical, mais tellement douloureux. Les morsures de loup-garou demandaient un traitement particulier, une grande attention, différentes potions pour refermer correctement la plaie. Mais ces traitements n'existaient plus et personnes ne devait savoir. Personne ne pouvait la voir. Alors elle endura la douleur terrible, jusqu'à ce qu'enfin, le saignement s'arrête. Tremblante comme une feuille balayée par des vents violents, Yennefer s'autorisa à jeter un coup d’œil à sa cuisse, où se trouvait à présent une large cicatrice, immonde et impossible à masquer. Il y avait du sang partout. Sur ses mains, la faïence autrefois immaculée de sa salle de bain, sur ses vêtements déchirés. Elle ne supportait pas le désordre ni la saleté, mais la jeune femme était incapable de bouger. Elle avait perdu trop de sang et n'avait rien pour y remédier, rien du tout. Alors elle se recroquevilla sur elle-même et ferma les yeux, laissant l'épuisement l'envahir totalement, cessant de lutter.
« Yennefer, nous sommes fiers de toi ! » s'exclama Thybalt Yaxley en finissant de verser le liquide ambré de la bouteille qu'il venait d'ouvrir dans un verre. Il le tendit à son épouse, avant de faire de même à sa fille. Il s'empara du sien qu'il leva avec un sourire. « Ta grande sœur est une championne et tu as enfin intégré la Brigade Rouge, nous ne pourrions être plus comblés, » susurra Mathilda, une main posée sur l'épaule de Yennefer. Papa, maman, je suis un monstre. La jeune femme esquissa un sourire à son tour avant de feindre un air ému. « Nous te souhaitons de réussir dans cette voie et de faire honneur à ton nom, ma chérie, » dit son père avant de trinquer. Mon nom... mon sang, notre sang, souillé. Elle ne cessa pas de sourire pour autant. « Merci père, mère, je ferai tout pour cela, » assura-t-elle, l'air déterminé. Si vous saviez, vous ne me regarderiez plus ainsi, si vous saviez, vous cesseriez de m'aimer. Sa mère, un peu fragile, trempa à peine ses lèvres dans son verre pour la forme avant de retourner s'asseoir sur le fauteuil confortable où elle passait la plupart de son temps à lire. « Il ne te manque plus qu'un époux, tout comme ta sœur. L'on nous reproche de prendre notre temps, mais je veux ce qu'il y a de mieux pour vous deux, » se lança son père sur le ton de la conversation, avant de boire une gorgée de son verre. De cela, Yennefer lui en était reconnaissant. Trop de ses amies avaient été mariées à des jeunes hommes qu'elles ne connaissaient pas et qui sous de belles apparences, s'étaient avérés être incapables de les rendre heureuses. Qui m'épouserait, si l'on savait ce que je suis devenue? Si l'idée de se marier n'avait jamais réellement rebuté la jeune femme, car c'était ce que l'on attendait d'elle, à présent, rien ne la terrifiait plus que de laisser quelqu'un faire irruption dans sa vie de manière intime. Devoir vivre au même endroit, dormir ensemble, coucher ensemble. Yennefer était à peine capable de regarder son reflet dans une glace, alors se montrer nue à quelqu'un, avec cette cicatrice qui la dénoncerait immédiatement ? Impossible. « Ne t'en fais pas, nous te trouverons bientôt un jeune homme digne de toi, » lui assura son père en prenant ses sourcils froncés pour de l'inquiétude concernant son futur prétendant qui n'arrivait pas. Alors elle se ressaisit et esquissa un nouveau sourire. « Bien sûr père, je vous fais confiance pour cela, » dit-elle d'une voix douce. Faites qu'il ne trouve jamais, par Merlin.

Alors alors, que dire à part que j'ai adoré Vraiment, j'ai trouvé le personnage attachant et touchant, tu décris bien le trouble qu'elle peut ressentir et à quel point sa transformation l'a chamboulée. Et je parle même pas de la partie ou tu évoques l'execution, j'en avais mal au coeur. Je te valide donc avec grand plaisir !

Félicitations petite chouette, te voici validé   Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin   voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition