ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — c'est sous un froid de janvier sans nom qu'est venu au monde le second fils de Lysander et Elia, un fils dont ils ont tout espéré pour qu'ils soient à leur image, un sorcier puissant, ambitieux et qu'il fasse honneur à sa famille. Rosen va bientôt souffler une bougie de plus et avoir trente ans. PROFESSION — le destin semblait tout tracer pour Rosen. Si son frère a embrassé une carrière comme langue-de-plomb, Rosen n'était pas de cet avis et décida de devenir un médicomage, attentif aux soins et aux autres. Son père fut forcément déçu par ce choix, lui qui voyait un autre fils au ministère, heureusement, sa fille unique, Cedrella, réalisa son souhait en devenant une brillante auror puis avec la guerre, membre de la brigade, la nouvelle police magique. Rosen quant à lui est resté médicomage, mais sa renommée est faite désormais. Il aime aussi soigner les créatures magiques et se rend chez les particuliers pour le faire. NATURE DU SANG — il a plusieurs générations que les Montague ont dit adieu à la pureté de leur sang, par obligation et non pas par choix, cependant, leurs convictions sont inchangés, le sang-pur reste supérieur à tous. BAGUETTE — il avait onze ans quand le jeune Rosen se rendit chez Ollivander. Il fit plusieurs essais pour trouver sa baguette et celle qui fut sienne était faite dans le bois d'un vieux mélèze, imprégnée d'un morceau d'écorce de saule cogneur et mesurant près de vingt-sept centimètres précisément. Elle a toujours été prédisposée aux sorts de guérison et est parfaitement droite et élastique. STATUT MATRIMONIAL — il fut fiancé à une sorcière, mais brisa ses fiançailles en découvrant qu'elle était une née-moldu, il ne l'aimait pas ANCIENNE MAISON — si Jacob est devenu un élève sous la gouverne du lion et Cedrella, sous celle des serpents, Rosen s'est envolé chez les aigles. PATRONUS — le sorcier a beaucoup de mal à en matérialiser un et quand il y parvient, celui-ci prend la forme vaporeuse d'un ours. EPOUVANTARD — avant l'accident, son épouvantard était connu pour prendre la forme de plusieurs flammes. Le feu est un traumatisme chez le sorcier qui n'a jamais aimé ça, mais quand il est devenu maudit, il ne voit plus que son propre reflet, lui-même, devenu un monstre nocturne, la bête hurlant à la lune. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — c'est une cicatrice qu'il cache à tout prix. Elle se trouve sur son épaule, une morsure dont les traces de dent sont encore visibles, dix mois après. Le souvenir d'un loup, le souvenir d'un monstre qui a retiré une partie de l'humanité de Rosen. Il cache sa malédiction, du mieux qu'il peut pour ne pas être tué par le gouvernement et pourtant, il le soutient, car c'est un bon enfant, qui a toujours suivi les idéologies de sa famille. Il est comme le mouton noir dans un troupeau blanc. GROUPE — breath of life désormais, mais avant, il aurait appartenu à shadow squad, sa morsure a tout changé pour lui.

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MON ÂGE — 22 ans déjà    
MON PAYS — allez les bleus  
MON AVIS SUR LE FORUM — aussi sexy que Druella  
MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario
MON AVATAR — KING IN THE NORTH  
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM —  
UN DERNIER MOT MAGIQUE — bon, j'ai craqué, mais j'irai pas plus loin que trois comptes, sinon, ça sera impossible à gérer   et puis j'ai tellement travaillé sur Rosen et ses origines que je ne pouvais pas ne pas le faire, mais je fais les choses dans les règles de l'art les amis, demande et tout et j'ai le nombre de rp dans chaque compte pour pouvoir faire ma demande, donc voilà, je vous aime et mp-moi pour des liens avec Rosen       je cherche plein de liens alors hésitez pas, surtout une copine pour faire crac crac    

PANACHE DE FUMÉE ≠ - Je voulais être seul, Jacob lâcha froidement le petit frère. Il effectuait aujourd'hui, sa cinquième année à Poudlard et il savait l'enjeu. Le jeune Rosen allait passer ses BUSES, un élément important dans sa scolarité. Il prenait toujours tout au sérieux et il souhaitait avoir d'excellents résultats, surtout dans certaines matières. Un simple Effort Exceptionnel en potions n'allait pas lui suffire pour embrasser la carrière de médicomage qu'il voulait. Sans prêter attention à Jacob qui portait sa grosse valise pour la ranger, Rosen s'empara d'un petit carnet dont la couverture était faite en écailles de dragon. Il la caressa légèrement avant de l'ouvrir. C'était dans ce petit journal qu'il entretenait ses notes privées, à propos de tout. Perfectionniste dans son travail, il s'empressa de relire les dernières notes qu'il avait écrit au moins de juin dernier. - Tu ne la portes pas ? s'étonna Jacob après avoir rangé sa valise. Rosen leva les yeux vers son frère, étonné. - Porter quoi ? demanda-t-il, irrité - Ton insigne, ta fameuse insigne dont tu es si fier. La remarque était piquante. Sans attendre, Rosen ferma son carnet en observant son frère ainé. Si Jacob était l'ainé, il avait tout d'un sorcier immature qui aimait se pavaner, à l'image de ses camarades de Gryffondor. Tout l'inverse du cadet qui était sérieux, réfléchit et pointilleux. - Serais-tu jaloux ? Si tu avais collecté moins de retenue, tu l'aurais eu, cette insigne. Jacob ne répondit pas, il se contenta de fixer son frère avant de se lever et de sortir de la cabine. Une bonne chose de faite, songea Rosen intérieurement.

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- C'est excellent, comme toujours de votre part, Montague lâcha le professeur de potions en donnant au jeune homme, son parchemin. Il avait parfaitement rédigé les explications au sujet des méthodes pour lutter contre les poisons. Satisfait, Rosen ne put s'empêcher de sourire et de répondre un simple - Merci, professeur. La cloche sonna et le sorcier ramassa ses affaires avant de sortir avec la masse d'élèves. Il s'approcha de la cour intérieur pour apercevoir son frère dans sa tenue de joueur de Quidditch. Silencieux, Rosen fit demi-tour. Il n'aimait ni le Quidditch, ni voir Jacob se pavaner en vedette des Gryffondor. La bibliothèque était l'endroit parfait où Rosen aimait se retrouver. Il commença à lire Les différentes vertus du sang des dragons par Albus Dumbledore avant de lever les yeux vers une sorcière du nom de Elsa Woodstone qui était une préfète de cinquième année rattachée à la maison Poufsouffle. - Tu ne prends jamais de pause, toi ? dit-elle avec un léger sourire - C'est de la détente, pour moi. - Oh, drôle de détente. Dis... Tu ne veux pas aller au match avec moi ? - Non, répondit Rosen d'un ton sec et pincé - Je t'embête ? - Bonne déduction. - Pauvre idiot ! Et elle tourna les talons, agacée et surtout, vexée. Rosen pouffa légèrement de rire avant de reprendre sa lecture. Il était bien uniquement seul, avec ses livres et son esprit créatif à souhait.

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Être préfet, c'était avoir le sens des responsabilités. On accordait souvent sa confiance à Rosen, du moins, le corps enseignant, car il était un excellent élève parmi les moutons. Il savait utiliser sa tête et être un sorcier d'exception. C'était ce que son père, Lysander, lui avait toujours enseigné. Chacun de ses enfants devait toujours montrer le meilleur de soi-même, se dépasser, au delà des limites. Si Jacob était un élève correct, il n'en restait bien moins fougueux, coeur brave et appréciant le Quidditch. Rosen était différent, plus droit et savant. Cedrella, leur petite soeur avait entamé sa première année chez les Serpentard et nul doute que son ambition était à l'origine de son arrivée chez les vipères. Rosen faisait désormais sa ronde quotidienne. Il avait astiqué son insigne de préfet quelques heures avant et parcourait les couloirs du second étage quand il entendit un bruit étrange. - Qui est là !? s'écria-t-il en courant rapidement, sa baguette à la main. Rosen tourna dans un autre couloir et remarqua une armure au sol, désarticulée et plusieurs tableaux qui se plaignaient d'avoir été réveillé. - Je vous aurai siffla le sorcier en reprenant sa course. Rosen connaissait les lieux et les couloirs pour les arpenter chaque soir. Il laissa tomber au passage, sa robe de sorcier qui le ralentissait et se promit de la récupérer après dans le couloir, avec son insigne ! Enfin, il arriva dans un couloir plus petit et aperçu deux ombres qui s'engouffraient dans une vieille salle de classe qui servait jadis pour l'étude des moldus. Rosen l'ouvrit à la volée et observa le visage des deux coupables. Il s'agissait de Sarah Turner, une sorcière née-moldue de la maison Gryffondor et... - Jacob ?! Surpris ? Rosen l'était. Sa baguette l'éclairait par le biais du sortilège lumos. Sans attendre, Rosen la baissa vers les mains des deux sorciers qui étaient liées. Il devina la suite. - Tu sors avec ça ? - Oui et ? - Mais c'est une sang de bourbe ! Père sera... Sans lui laissant le temps de finir sa phrase, Jacob attrapa son frère par le col de sa chemise et le plaqua contre le mur. De la colère se lisait dans ses yeux - Ne... L'insulte... Plus jamais de... Sang de bourbe ! articula-t-il difficilement avant de lâcher son frère. Trop choqué, Rosen ne répondit rien. Il observa Jacob s'éloigner avec Sarah. Ce fut sûrement ce moment qui brisa quelque chose entre les deux frères, quelque chose d'unique et que même la magie ne pouvait pas réparer.

DES RIVIÈRES POURPRES ≠ - Occupez-vous du patient quatre ordonna le chef du service du premier étage, blessures par créature magiques. - Bien entendu lâcha Rosen en jetant son gobelet qui contenait un excellent thé vert pour tenir en pleine nuit. Il était guérisseur et talentueux, il n'avait pas envie de s'occuper d'un pauvre patient et encore moins de lui nettoyer le derrière, mais visiblement, son chef avait décidé qu'il devait le faire. Rosen se promit d'en toucher deux mots à Narcissa Malfoy qui dirigeait l'hôpital, en attendant, il allait se plier gentiment aux ordres de son chef. Rosen alla dans une pièce interdite au public pour prendre plusieurs flacons de potions et les installer sur un chariot. Il entra dans la chambre du patient quatre qui s'appelait en réalité, Llewyn Carter. Cet homme chauve avait de nombreuses griffures et morsures sur le corps. Il semblait instable et il était solidement attaché avec des cordes ensorcelées. - Bonsoir, monsieur Carter. Alors, on va prendre sa potion ? C'est pour votre bien lança Rosen en arrêtant le chariot. Il s'empara d'un petit flacon dont le liquide était bleuté et s'approcha. Llewyn ne répondait pas, il bafouillait quelques mots et baver énormément. - Il est temps, on dirait. Allez, ouvrez la bouche, mais Llewyn n'en fit rien. Il tourna vigoureusement la tête et donna un coup de pied dans le chariot pour renverser les potions. - Pauvre idiot ! tonna Rosen en posant sa potion pour sortir sa baguette et nettoyer le tout. Dos au sorcier, il ne remarqua pas les quelques reflets de la lune qui caressaient la peau de Lelwyn. L'homme laissa place à la bête et à peine les crocs s'étaient manifestés qu'une force titanesque s'empara du sorcier qui brisa ses liens avant - Qu'est ce que... commença Rosen avant de voir la gueule du loup-garou s'écraser contre son épaule pour y enfoncer ses crocs accérés. Rosen manqua de hurler et heureusement que la transformation n'était pas complète. Il parvint, par réflexe, à envoyer un sort sur la bête qui fut envoyé plus loin, sonné. Sans prêter attention au reste, Rosen se leva et glissa dans l'étrange liquide issu du mélange des potions. Il sortit de la pièce et alla dans une autre, vide avant de verrouiller la porte. Il entendit les sirènes retentir quelques minutes après. Des médicomages avaient du voir le loup-garou et ils devaient le maîtriser. - Par Merlin... marmonna Rosen en retirant sa blouse. Il sentait la douleur l'envahir et un frisson parcourir tout son corps. La morsure était profonde et déjà, Rosen avait compris. Il était condamné.

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Le poids du fardeau était lourd. Trop lourd. Rosen avait l'impression que sa morsure le brûlait à chaque instant. Cela faisait désormais deux semaines qu'il avait été mordu et qu'il cachait ça. Tout avait changé. Rosen avait changé lui-même, il remettait en cause son existence et son avenir. Alors qu'on le fouillait pour voir s'il n'avait pas un objet dangereux et qu'on s'empara de sa baguette, le gardien le laissa passer en lui indiquant qu'il s'agissait de la cellule quatre cent douze. Rosen acquiesça, sans un mot. Chacun de ses pas résonnaient dans le couloir. Les cellules se suivaient et Rosen jeta des regards furtifs aux prisonniers d'Azkaban. Certains semblaient mourant, d'autres suppliaient le sorcier de les libérer, mais il n'en fit rien. Il croisa un détraqueur et soudain, un frisson le glaça. Enfin, il arriva devant la cellule tant attendu. Il s'agissait de celle de Jacob, son frère. Cela faisait désormais sept mois qu'il y était enfermé. Le frère de Rosen avait osé trahir le gouvernement, celui que leur famille soutenait depuis longtemps, depuis toujours en fait. Il avait sauvé une née-moldue d'une mort certaine et avait tué un de ses collègues avant d'être arrêté. Jacob semblait avoir vieilli et il était fatigué, cela se lisait sur ses yeux. Sa barbe avait énormément poussé, comme ses cheveux. - Père m'a informé, tu vas recevoir le baiser du détraqueur dans deux jours. Comme seule réponse, le grand frère du sorcier se mit à rire, un rire éclatant, un rire effroyable même. Il n'avait pas peur de la mort, non. - Arrête ça ! demanda Rosen, agacé. - Oh, je t'énerve ? Pardon, fils héritier. Maintenant, c'est comme ça que notre père t'appelle hein ? Le fils héritier ! Avant c'était moi... Mais tu vois, j'ai décidé de prendre un autre chemin et il a joué de ses relations pour m'éliminer. Fais attention, Rosen. L'intéressé ne répondit pas. Il se mit accroupi devant son frère qui était dos au mur, face à lui. Rosen posa ses mains sur les vieux barreaux humides. - Pourquoi tu as trahi la famille ? Réponds moi ! J'ai besoin de savoir... Sans un mot, Jacob se leva et s'approcha de son frère. Il l'observait de ses yeux d'un bleu abysse longtemps avant de répondre, un léger sourire dissimulé sous son épaisse barbe - Finalement, père n'a pas le contrôle que je pensais qu'il avait sur toi. Tu peux être sauvé, pas comme Cedrella. Rosen, si j'ai décidé de faire ça, c'est parce que c'est juste ! Tu comprends ? Toutes les valeurs qu'on nous a enseigné quand nous étions enfants, la haine des moldus, les mangemorts, tout ça... Ce n'est pas juste Rosen ! Il faut se battre pour la victoire. Ils tuent tous ceux qui ne sont pas comme eux, ils vont me tuer parce que j'ai refusé d'exécuter un ordre ! Tu comprends ? Ils veulent un monde à leur image et si tu n'es pas eux, tu meurs ! Rosen l'entendait bien, sauf qu'il était d'accord avec ça. Au plus profond de lui, il pensait vraiment que le sang faisait ce qu'était un sorcier. Il avait été élevé ainsi, dans cette idylle. Il était difficile de s'en défaire. Le plus jeune des deux frères baissa les yeux au sol et posa son front contre les barreaux. Il parlait à voix si basse, que ces mots en étaient presque inaudibles. - Je ne veux pas que tu meurs, j'ai besoin de toi. Jacob n'était pas idiot, loin de là. Les sourcils légèrement froncés, il lança - Qu'est ce qui a changé en toi pour que tu penses comme ça ? Que tu... Doutes de toi ? - Un patient m'a mordu, dit-il entre ses dents avant de fixer son frère, un patient qui était un loup-garou. Jacob resta silencieux. Il comprenait. Son frère devenait une proie des chasseurs, il ne chassait plus, il était chassé. Son changement était donc du à cela. L'ainé posa sa main sur la joue de son frère. - Je suis désolé. Rosen ravala ses larmes pour rester digne. Il se redressa et observa longtemps son frère. Il jeta ensuite un regard vers un détraqueur au loin. Ils étaient aveugles, bien sûr. Rosen passa sa main dans son pantalon et se débrouilla pour sortir une toute petite fiole. Elle contenait un liquide transparant, quelques gouttes à peine qu'il tendit à son frère. - Seulement trois gouttes. C'est un puissant somnifère similaire à la Goutte de Mort Vivant. Il va te plonger dans un sommeil profond pour vingt-quatre heures et va mimer ta mort. Quand les détraqueurs penseront que tu es mort, les gardiens viendront récupérer ton corps et le jeter dans la fosse commune. Le reste dépend de toi. Et sans se retourner, Rosen quitta les lieux. Il lui semblait avoir entendu un léger remerciement, mais il n'en était pas sûr.

INSTINCT DU CHASSEUR ≠ Du sang coulait le long de la tempe de Rosen. Plus il courrait, plus il sentait ses forces l'abandonner. C'était le matin et il était nu dans la prairie. Le souffle court, l'haleine forte, il sentait encore entre ses dents le goût de la biche qu'il avait croqué durant sa transformation, mais surtout, celui de cette femme dont il connaissait le visage. Il s'agissait de Dominique Griffon, une sorcière française qui vivait à Londres depuis sa jeunesse et qui travaillait au service de traque des loups-garous. Elle l'avait trouvé et elle n'était pas seule. Son collègue, Elphias Murray l'avait vu et s'était enfuit, blessé, dans les bois. Il fallait le retrouver, il le fallait. Il en dépendait de sa survie. Rosen s'arrêta dans sa course. Il baissa les yeux vers le sol. Il suivait des traces de pas dans la boue et elle s'arrêtait devant un buisson. Elphias était là, tremblant. - Murray... débuta le sorcier, mais il se prit de plein fouet un sortilège. Rosen tomba lourdement au sol et sentit une plaie béante s'ouvrir sur son torse. Il jura et rampa quelques centimètres avant de lancer un sortilège informulé. Sans baguette, c'était difficile, mais la plaie se ferma doucement. Dirigé par un instinct dont il ignorait le nom, dont il ne savait pas non plus la provenance, il attrapa une pierre de la taille de sa main. Il le vit alors, Elphias, ce petit sorcier gras s'approcha en courant pour l'achever, sa baguette à la main. Rosen se tourna et lui envoya sa pierre qui frappa le sorcier en plein visage. Elphias s'écroula au sol, assommé et en gémissant. Sans attendre, Rosen se redressa et attrapa la baguette de son ennemi. Il visa Elphias qui agonisait. La pierre avait touché son oeil droit. - Ce n'est pas ce que je voulais... Je ne l'ai jamais voulu. Un éclair vert frappa Elphias. Sans attendre, Rosen cassa sa baguette et s'occupa de faire disparaître le corps. Ah, comme il semblait bien loin, le petit préfet parfait et travailleur, égoïste, il semblait si loin, qu'il n'avait jamais existé.

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Le regard posé sur sa tasse de thé, Rosen attendait patiemment sa soeur. Cedrella était l'une de ses sorcières qui soutenaient ouvertement le gouvernement au point de travailler pour lui. Après tout, elle était une enfant, une enfant qui avait été éduquée pour avoir ses idéologies. Il n'était pas étonnant qu'elle soit ce qu'elle était. Rosen aussi avait été ainsi, mais depuis qu'il se changeait en loup-garou, sa vision des choses avait changé. Il voyait la mort, il voyait que ses anciens alliés étaient désormais ses ennemis et il cachait tant bien que mal sa condition. Il ne voulait pas fuir, il ne pouvait pas. Tout ce qu'il avait construit, il ne pouvait pas tout perdre pour une morsure accidentelle. Silencieux, il ne touchait pas à son thé et fixa le serveur qui posa un Rhum à la Groseille pour sa soeur. Il la connaissait si bien, il savait tout d'elle et elle de lui, pourtant, depuis sa morsure et surtout, depuis qu'il avait rendu visite à Jacob, il s'était éloigné d'elle. C'est Cedrella qui avait demandé ce rendez-vous. Rosen ne pouvait pas fuir éternellement. Enfin, elle arriva, le sourire aux lèvres et heureuse de voir son frère qu'elle embrassa sur le front. Parfois, on se demandait qui des deux étaient l'ainé. Cedrella s'installa face à lui et posa son sac. Le bout de sa baguette était visible. - Je ne suis pas en retard ? Oh, pardon. Merci pour le rhum ! Alors, comment vas-tu ? dit-elle avait entrain. Pétillante et souriante, c'était Cedrella. Rosen ne répondit pas tout de suite, il se contenta de sourire légèrement. Elle était innocente, elle était coupable à la fois. - Fatigué. - Ca, je ne le vois bien, tu as une mine monstrueuse et rase moi cette vilaine barbe ! cela sonnait comme un ordre, mais c'était ainsi que parlait Cedrella. Elle se mit à boire une longue gorgée de sa boisson. - Tu as appris, pour notre frère ? Cedrella l'observa, longuement. Comme si elle pesait le pour et le contre de la phrase. Elle souffla un peu. - Je n'ai jamais eu qu'un frère, toi. Concernant la chose que tu désignes, il est mort et c'est tant mieux. Rosen plissa les yeux, que pouvait-il dire et faire ? Sa soeur pensait que Jacob était mort, sa ruse avait fonctionné, mais en réalité, leur frère était bien vivant et avait réussi à s'évader d'Azkaban grâce à lui. Au fond, il regrettait de ne pas être resté cet homme perfectionniste, intransigeant qu'il était bien avant sa morsure. - Rosen... commença-t-elle en posant sa main sur la sienne, je vois bien que quelque chose te tracasse. De quoi s'agit-il ? Tu peux tout me dire, tu le sais. Tu as des problèmes ? Je travaille au ministère, je peux m'en occuper ! - Non non, tout va bien, je t'assure, c'est... L'hôpital, ça me fatigue, énormément. J'enchaîne les nuits et des horaires chaotique. C'était un mensonge, un énorme mensonge dans lequel Rosen se perdait. Il était perdu, mais il ne pouvait pas dire la vérité, il en était incapable. Il aurait voulu, mais les mots ne sortaient pas. Le sorcier préféra changer de sujet, l'air plus taquin. Il devait retirer tous les doutes que sa soeur pouvait avoir. - Alors, ta journée ? - Oh ne m'en parle pas ! Horrible ! Leur complicité semblait ne jamais avoir changé, mais Rosen savait que c'était faux. Une belle comédie, tout ceci était une comédie qui finirait en tragédie.

ce personnage envoie du pâté.    j'ai hâte de te voir rp avec, et ta plume, marine, elle est tellement belle.   c'est énervant, tu sais.    bref, je te valide.   tu vas pouvoir poster le scénario de cedrella la princesse.  

Félicitations petite chouette, te voici validé   Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin   voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition