ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — Comme semble loin ce jour du 14 Octobre 1959, où Archimède vit le jour il y a de ça maintenant presque 42 ans. Il paraitrait que ce fût un jour très chaud d'après les dires de sa mère. Londonien pure souche, il arriva si vite que sa mère n'eut pas le temps de trouver une maternité pour l'accueillir elle et son premier né, il naquit donc au sein du foyer familial entouré de sa grand-mère maternelle et de son père.  PROFESSION — Il y a toujours eu comme une attraction mystique entre les animaux et lui. Véritable féru des bestioles en tout genre il a toujours nourri une féroce curiosité à leur encontre et ce, depuis l’enfance déjà où il s’amusait à se rendre seul près du lac non loin du foyer familial, épuisettes et bocaux à la main pour espérer ramener à sa mère un nouveau spécimen à la maison. Rien de bien étonnant à savoir que par la suite il devint très brillant en soin aux créatures magiques, où il était déjà incollable sur presque tous les sujets. Après avoir parcouru le monde à la rencontre de créatures plus merveilleuse les unes que les autres, il décida de se revenir à ses racines en officiant comme professeur dans ce domaine où il excellait tant. Mais avec le temps, il se lassa de sa position et depuis maintenant plusieurs années on peut le considérer comme le gérant de la Ménagerie Magique, où il officie chaque jour durant. NATURE DU SANG — Bien que la plupart semble considéré (ou peu justement) la famille Twombly, tant elle peut sembler si moindre aux plus puristes du genre, il semble néanmoins qu’il soit réellement de sang-mêlé. BAGUETTE — Il se souvient parfaitement du jour, où ce jeune homme petit et chétif avait poussé la porte de la boutique de Ollivander pour venir y acheter sa baguette avant sa rentrée des classes. Ce petit bout d’homme, c’était lui. Il n’avait pas osé entrer dans l’échoppe. Sa mère l’avait abandonné pour flâner chez Fleury&Bott, il se devait donc finir sa dernière course scolaire dans le magasin de baguette magique. Il fût transporté alors pour une baguette plutôt courte et fine, à l’allure souffle taillée dans un bois de vigne, contenant un croc de strangulot, une bien originale baguette pour un si petit être sans importance. Il se souvient alors du sourire du vendeur qui lui avait annoncé que ce n’était pas une baguette particulière, qu’elle était faites pour les aventuriers et les audacieux ; Une remarque qu’il ne sembla jamais oublier. STATUT MATRIMONIAL — Vieux garçon, il a peut-être parfois eu des coups de cœurs, des coups d’un soir et des histoires brèves, mais il n’a jamais trouvé chaussures à son pied. Peut-être est-il à présent trop longtemps resté seul pour pouvoir savourer pleinement une parfaite petite vie de couple ? Trop maniaque, méticuleux et toqué, où diable une compagne pourrait-elle avoir une place dans sa vie de célibataire endurci ? Il a bien aimé une femme, oui, mais c'était il y a très longtemps... ANCIENNE MAISON — Poufsouffle, les audacieux PATRONUS — Quand Archimède pouvait en reproduire un on aurait été surpris dans un première temps en constatant qu’il s’agissait d’un oiseau : le Coucou. Drôle de petit volatile qui est de manière incongrue relié à une forme de parasitisme de couvée, se mettant à pondre dans le nid d’autres oiseaux. Ainsi l’oiseau se met alors à gagner du temps en occupant de ses oeufs la maison des autres, laissant ainsi sa progéniture se nourrir des mets des petits de l’oiseau occupé en laissant mourir de faim ces derniers. Oiseau malin, culotté et opportuniste, il semble contre toute attente correspondre en tout point à ce cher Twombly. EPOUVANTARD — Tous ses chats -sa seule famille- dépecés sous ses yeux, gisant dans leurs sangs. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Des balafres de chats de ci et là sur ses jambes et bras, mais rien de bien méchant ou à déclarer GROUPE — BREATH OF LIFE

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MON ÂGE — Toujours, 20 ans MON PAYS — FRANCE MON AVIS SUR LE FORUM —   ...   MON PERSONNAGE — [x] inventé [] prédéfini [] scénario MON AVATAR — Martin Freeman COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — C'est Ron qui m'a invoqué    UN DERNIER MOT MAGIQUE — JE RECHERCHE DES LIENS EN TOUT GENRE, DU PLUS OU MOINS LOUFOQUE, SON PREMIER AMOUR DÉÇU... BREF ALLEZ-Y je vous attends    

DIX-SEPT ANS, LA DÉCEPTION DU BLAIREAU
Il faisait les cent pas dans la salle commune. Il grattait frénétiquement sa tignasse blonde. Anxieux, ça il l'était. Il murmurait, comme un acteur répétant son texte avant son entrée en scène. Le peu d'élèves qui trainaient encore dans la salle commune des jaunes au lieu de prendre le soleil dans la cour le jugeaient du coin de l'oeil. Il les sentait le dévisager. Imperturbable il n'y prêtait pas attention. Il continuait sa ronde, à en brûler la moquette vieillotte. Il soufflait, pestait contre cette boule d'angoisse qui grondait dans son estomac. Il s'arrêta net, comme pris d'un idée, avant de secouer la tête et de reprendre son incompréhensible manège devant les yeux ahuris de ses camarades. Il relut ses fiches. Oui il avait pris le soin d'écrire un texte, un soucis ? Pour dire vrai et être tout à fait honnête, il aurait certainement dû avouer que cela faisait près de trois ans qu'il imaginait chaque mots, chaque respirations, le moment idéal... Il avait même rêvé ce qu'elle lui répondrait, les mots qu'elle emploierait. Malgré une température ambiante toute à fait raisonnable, des gouttes sueurs vinrent habiller son front. Il les effaça du revers de la manche de sa robe de sorcier. Il tremblait et ceux qui avaient pu le côtoyer pendant ces sept dernières années savaient à quel point ce n'était pas un comportement normal chez le jeune Twombly. Il respira un grand coup en espérant que ses angoisses s'envoleraient aussi vite. Il se secoua de la tête au pied, tel un chien s'ébrouant. Il s'encouragea alors en se donnant une claque ou deux. Le miroir lui renvoya une image peu flatteuse de sa personne. Tout soucieux, il défroissa ses sourcils et brossa de doigts les quelques mèches indisciplinées qui semblaient vouloir se faire la malle. C'est maintenant ou jamais, s'encourageait-il. Lui qui d'habitude ne manquait jamais d'assurance il se voyait à présent défaillir à la seule vision mentale qu'il se faisait de son visage. Tu es intelligent, charmant et pas mal dans ton genre il faut bien l'avouer, il n'y a aucune raison que ça se passe mal s'auto congratulait-il avec un sourire qui se voulait franc et séducteur. Un vrai casanova, dans ses rêves. Car intérieurement il était à deux doigts de la crise de nerfs. Autant dire que la tornade Twombly était en marche et gare à ceux que se mettraient sur sa route. Il entendit un ricanement dans son dos, surement quelqu'un qui l'avait entendu se parler à lui-même. Il se retourna brutalement, faisant sursauter sa prochaine victime. Encore un soucis avec ta sale face de troll, Carlson ? Tu veux que je t'arrange ça peut-être ? Réputé pour ses bagarres légendaires dans l'enceinte du chateau, personne n'osait plus remettre en question les menaces proférées par Archimède. Le fameux Carlson se mit à blêmir et avala son ricanement avant de déguerpir aussi sec. Même si avec ses lunettes rondes vissées sur son nez, sa petite taille et sa bouille d'ange il avait tout du premier de la classe qu'on aurait adoré taquiner, Archimède était un vrai roquet qui n'avait jamais hésité à sauter à la gorge de premier venu s'il avait eu le malheur de le rabaisser. Une grande gueule dans un si petit corps et un caractère aussi insupportable qu'agaçant, autant dire que les ennemis ne manquaient pas et que les amis proches ne se bousculaient pas au portillon, ce qui étrangement ne l'avait jamais chamboulé plus que de mesure. Pourtant ça avait été différent avec Elle, oui avec un E majuscule, parce qu'elle le méritait aux yeux d'Archimède. Cette rousse incendiaire aux jambes interminables qui l'avait subjugué dès qu'il l'avait vu le premier jour de la rentrée sur le quai de la voie 9¾. Il se souvient encore de ce jour il avait cru de prime abord voir un ange. Oui c'était cliché, et pourtant c'est la vision qu'il avait eu clairement ce jour là, avec le halo mystique, le teint de porcelaine, le packaging complet de l'être celeste au final ! Il n'avait eu d'yeux que pour elle, éclipsant le reste du monde, le bruit de la foule, les bousculades, pour rien n'avait eu d'importance à ce moment que de partager sa douce présence à la dérobée. Elle devint mystérieusement une bonne connaissance avec qui il aimait discuter d'histoires, de botaniques... Au delà de sa plastique, il s'était tendrement épris de son intellect et de sa douce manière de voir le monde. Archimède n'avait jamais été de ce genre de garçon a être impressionné par la première donzelle qu'il voyait ou à être obnubilé par la gente féminine. À vrai dire les filles ne l'avaient jamais vraiment intéressées, sauf elle. Il souffla à plusieurs reprises, puis prit son courage à deux mains. Il se mit alors à essayer de discipliner sa crinière blonde. Il plaça sa main à mi chemin entre son nez et sa bouche, son haleine sentait la menthe fraîchement coupée : Parfait. Il alla donc rapidement au lieu qu'il avait convenu la veille avec sa douce fantasmée.
Essoufflée, il la vit au loin. Assise sur un banc dans la cour, elle était dos à lui. Il profita du fait qu'elle ne pouvait le voir pour reprendre son souffle. Son coeur battait la chamade, ses oreilles bourdonnaient à rendre ses tympans douloureux. Après avoir attendu en l'observant pendant de longues minutes, il se décida alors à avancer vers elle. Il vint s'asseoir le plus naturellement du monde près d'elle, comme si de rien n'était. Oh Archimède tu m'as fait peur haha, surprise apparemment, il l'avait vu sursauter puis rire franchement. Son sourire effaça alors subitement toutes les peurs et les angoisses qui avaient nourri son être pendant des années. Il lui rendit son sourire. Alors quelle était donc cette chose si importante et si pressante que tu avais à me dire aujourd'hui ? Elle n'avait pas oublié. Elle semblait si sereine, si douce, si belle. Il s'empourpra quand leurs regards s'entrechoquèrent. Et bien, je ne sais pas trop par où commencer pour tout te dire... C'était bien étonnant de ne pas l'entendre parler sans discontinuer. Il inspira une bonne fois avant de tout lui avouer, en passant du début de leur rencontre, son coup de foudre pour elle, ce qu'il aimait chez elle, il alla même jusqu'à confesser son caractère parfois difficile mais qu'il saurait dompter pour elle et aussi qu'il la rendrait toujours heureuse. Pris dans les mots qu'il avait rédigé, il ne remarqua pas tout de suite le visage de son amie se décomposer et son sourire s'évanouir sur ses lèvres pour faire place à une mine déconfite. Oh Archie c'est impossible : Je t'aime comme un petit frère Le coup fût asséner, brutal, fatal, un poignard en plein coeur. Trop fier, il n'en montra rien, il resta impassible, mais son visage était de marbre et son coeur saignait. En plus, je sors avec Gallagher ! J'espère que tu comprends, tu vois je... Il ne la laissa pas finir, il en avait assez entendu, il ne saurait en encaisser d'avantage. Blessé, honteux d'avoir ainsi purement offert et ouvert son coeur, on le lui avait retourné en morceau. Il s'élança dans les couloirs ne lui permettant pas de le suivre. Il avait besoin de respirer, de sortir. Il courût jusqu'au lac où il pleura toutes les larmes de son petit corps. Il hurla. Toutes ces années d'attente pour qu'il ait sa chance, tout ça pour ressentir cette brûlante souffrance qui résonnait douloureusement en lui ? Après de longues minutes où il extériorisa sans aucune gêne sa peine, il se ressaisit alors. Pourquoi pleurait-il ? Oui il l'aimait comme un fou, mais n'était-ce pas elle qui devrait pleurer de rejeter un homme si près de l'aimer au delà de la raison ? Pourquoi lui avait-elle préféré un vulgaire joueur de Quidditch ? Était-ce parce qu'il n'était pas l'image que les filles pouvaient se faire du petit-ami idéal, loin du sportif cliché au cerveau en jus de citrouille ? Son coeur s'épanchait d'une douleur innommable. Il décida alors qu'elle regretterait un jour les paroles qu'elle avait prononcé.

Il rentra le lendemain dans sa famille pour faire ses affaires et prit la direction de la Bulgarie pour commencer son tour du monde, bien décidé à ne rentrer que lorsqu'il aurait enfin rédigé son livre, dans l'espoir qu'elle lui reviendrait.




32 ANS, L'ENNUI DU PROFESSEUR
Les années s'étaient écoulées, et il arriva à présent dans la fleur de ses trente-deux ans. Après avoir parcouru les continents, découvert des contrées sauvages et méconnues, vu des créatures que le commun des moldus ne saurait imaginer, il était rentré dans les ordres. Enfin par tout à fait. On plante le décor : Après un tour du monde, l'édition d'un livre qui devint un véritable succès sur son voyage et le recensement de créatures magiques, il avait intégré le corps professoral de son ancienne école pour y officier en tant que professeur en soin des créatures magiques, ce qui semblait couler de source pour être honnête.

Il grelottait. Saleté de pays, pensait-il en reniflant bruyamment. Oui, son bureau n'était pas du tout isolé et il se pelait les miches dans cette ruine de chateau. De toute façon qu'importe le temps, il aurait toujours trouvé une raison quelconque pour se plaindre. On ne le changerait plus. Le cours passait lentement, il baillait ouvertement. Pour être tranquille une demie heure, il les avait fait plancher sur un test surprise de sa concoction. À vrai dire il en avait fichtrement rien à faire de savoir s'ils connaissaient son cours ou non, il avait simplement envie d'avoir la paix. Affalé sur sa chaise en promontoire, il aurait pu piquer un somme si le froid polaire ne le mordait pas autant sous ses habits et que l'interrogation ne se terminait pas dans quelques secondes. Archimède se leva alors brutalement et arracha les copies de ses élèves. Il devait encore finir son programme. Il fît mine de les lire en revenant à son bureau, Par ma barbe il n'avait pas de barbe c'est mauvais, médiocre, qui a bien pu me mettre une brochette d'incapable telle que vous ? Il brûla les copies. Les avait-il lu ? Bien sûr que non. Sur le moment, il prit un malin plaisir à voir leurs mines déconfites. Il eût d'ailleurs du mal à dissimuler son sourire. Il retourna à sa place, en prenant un air plus sérieux. Il ajusta ses lunettes en les remontant sur son nez. Bon, qui de ces joyeux veracrasses en face de moi saurait me parler du Billywig ? Un ange passa. Archimède frotta son front et soupira. le grand vainqueur verra sa moyenne doublée, un intéressé ? Des chuchotements s'élevèrent dans l'assistance. Mais Professeur, on ne a jamais du cours là dessus, Monsieur Potts, votre maison n'est-elle pas censée regroupée les plus érudits de notre espèce ? Il semblerait pourtant vous manquer d'une grosse pincée de matière grise sous cette affreuse tignasse bouclée que vous possédez. Votre mère a-t-elle dû vous essuyer jusqu'à votre rentrée pour que vous puissiez apprendre à vous torcher correctement après la toilette ? Ici nous sommes sur un débat épineux, n'est-ce pas... Les livres sont fait pour être ouvert, ainsi vous apprendrez à vous cultiver et à savoir ce qu'est un Billywig... Pour cette question stupide : 10 points en moins pour Serdaigle... dit-il le plus calmement du monde en griffonnant sur son carnet. Il n'entendit personne moucheter dans la salle de classe. Après avoir indiqué son commentaire à côté du prénom de l'élève dans son carnet, il se leva pour aller chercher un bocal qui se trouvait derrière son bureau dans la remise. Il revint en salle avec un drôle de compagnon. Bon, comme vous pouvez le remarquer le Billywig est donc un insecte... Originaire d'Australie. Il mesure un peu plus de un centimètre de long et à couleur bleu saphir étincelante. La vitesse à laquelle il vole le rend la plupart du temps invisible aux yeux des moldus, mais aussi bien des sorciers. Ses ailes son accrochées au sommet de sa tête, ici, et leur vitesse fait tourner la créature sur elle-même lorsqu'elle vole. Comme vous pouvez le voir ici, l'extrémité inférieure de son corps est pourvue d'un dard long et fin... Il continua ainsi son heure de cours, ravi à la fin lorsque la cloche se mit à retentir. Il était las. Si tout d'abord il y a de ça quatre ans, il avait cru bon de retourner à Poudlard pour y enseigner, il se voyait à présent ennuyé de sa vie pépère d'enseignant. Il en avait assez de voir les mêmes yeux vides chaque jour durant, de constater toujours un peu plus la bêtise de ses élèves. Il ne se sentait plus stimulé dans cette prison qu'était devenue pour lui Poudlard, une prison où il ressentait chaque jour encore plus le besoin de voir de nouvelles têtes, du monde. Déterminé à ne pas laisser sa carcasse pourrir comme le professeur Chourave dans sa serre, il décida que c'en était trop pour lui et qu'il n'y resterait plus une année de plus. J'espère que vous reprenez Albus, mais ce n'est plus possible pour moi... Albus avait toujours été une figure qu'il avait toujours particulièrement apprécié dans sa jeunesse et aujourd'hui, pourtant il n'avait aucuns remords à quitter le navire encore en mer. Il mima néanmoins la tristesse et la politesse, même si un Joncheruine semblait danser la gigue de son estomac jusqu'à sa tête. Je comprends tout à fait Archimède et je vous souhaite sincèrement une belle continuation Twombly sentit la main du vieillard serrer son épaule.

Merci bien, jeune homme Enorme coup de coeur pour ton personnage Une commère amoureuse des chats, j'adore Plus sérieusement, le personnage est hyper attachant, j'aime beaucoup ce que tu en as fait Bon retour parmi nous

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
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