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MON ÂGE — à insérer ici
   MON PAYS — Westeros
   MON AVIS SUR LE FORUM — Coooooool !!
   MON PERSONNAGE — [X] inventé [] prédéfini [] scénario
   MON AVATAR — Henry  Cavill
   COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — Bazzart
   UN DERNIER MOT MAGIQUE —Avada Kedavra

Je suis née sur la sainte terre d'Irlande, la plus belle terre de ce côté du monde. Une île entièrement verte recouverte de rouquin. C'est un peu ennuyeux, vous trouvez ? Je n'en sais rien, ma mère est originaire du nouveau monde, enfin, je dis nouveau, il n'est plus très nouveau maintenant. Elle venait exactement de la ville de Boston. Revenu en Irlande avec sa famille, elle a rencontré mon père qui faisait partie de la grande police irlandaise. En effet, Jordan, Abraham Collins, né à Cork faisait partie comme ses ancêtres de la police. C'était une affaire familiale de diriger le commissariat de Cork. Ils enfantèrent deux enfants, le premier George Morgan Collins se devait de reprendre ce qu'avait commencé le père. Il s'avéra cependant qu'il n'était pas comme les autres, mais ce n'est pas comme ça qu'avait commencé l'histoire du boucher d'Irlande, de George mains rouges comme on l'appelait maintenant. Son histoire commença le jour où pour une énième fois, George avait quitté la sécurité de la demeure familiale pour s'aventurer non loin des falaises. Il s'approcha de sa dernière trouvaille : une botte. Pas n'importe quelle botte selon lui, une botte sûrement magique. Elle pourrait le conduire au pays des Leprechaun, trouver leurs chaudrons d'or ou peut-être même dans un pays imaginaire, loin de la  paisible Irlande. Le petit Collins approcha doucement sa main de la botte lorsqu'il entendit des bruits derrière lui ainsi que des chiens. Il se retourna, son père devait être à sa recherche. Il avança sa main vers la botte et fermant les yeux, il la posa dessus. Il fût comme aspirée dans un tourbillon de vent, il ouvrit les yeux,  comme prit d'une grande peur il s'agita encore un peu plus ce qui eu pour effet de l'envoyer balader dans un champ, il resta inconscient pendant près d'une heure avant qu'il ne se réveille la nuit tombé. Il se réveilla dans de chaudes couvertures, mais il n'était plus en Irlande, il était dans une maison, éclairé par des bougies, il parla d'une voix claire à l'homme qui lui faisait face « Bonsoir... Qu'est-ce que je fais ici ? ... Je devrais rentré » Le brave homme s'écria « Toi, tu n'es pas d'ici mon petit bonhomme » Collins pencha la tête pour essayer de discerner la tête de l'homme, mais rien n'y fait, il est soudain prit par une grande fatigue et s'endormit doucement, il rouvrit les yeux à l'aube. Il était de nouveau sur la falaise. Il marcha lentement, mais sûrement jusqu'à sa maison. Elle l'attendait à son arrivée sur le bord de la route, sa mère en sortit en trombe suivie de quelques policiers. Son père jura de ne plus jamais le perdre de vue, c'est pour cela qu'il l'envoya au Lycée St-Michael. C'était sa première un monde qui frissonnait encore dans au-delà des rêves des hommes. Et comme l'aurait dit un brillant savant, le jeune George passait son temps à chercher les galets les plus beaux et le sable le plus blanc tandis que l'océan du savoir et de la connaissance se tenait devant lui.


C'est à un age des plus normales que George reçut son Hiboux de la très célèbre école de magie Poudlard. Il ne s'attendait pas à cette révélation, lui qui avait attaché son enfance à tout comprendre par la logique, il avait lut des centaines de rapports de police de son père qu'il avait subtilisé, l'homme n'était pas sorcier, il était tout simplement homme et tout était explicable, aucun fait ne pouvait s'expliquer par un rapport et une étude. Il avait fallu tout un été au jeune garçon pour finalement faire ses valises. Ses parents avaient fini par accepter le fait que leurs fils avaient bien quelque chose de différent, ils ne le chassèrent pas, mais on sentait un certain malaise dans le regard des membres de la tribu Collins. Tout le monde se demandait ce qu'il advienne de lui à cette école Poudlard. Collins père n'avait cependant pas une autre fille pour reprendre son travail, celle qu'on appellerait la petite Élisabeth qu'on nommerait bientôt déjà Eliz'. George, ne parlait pas souvent de ce qui se passait à Poudlard, vous direz peut-être qu'il a été mal accueilli ? Peut-être qu'il souffrait d'avoir le cul sur deux chaises comme disaient certains. Non, il était tout simplement fasciné, il voulait tout savoir tout connaître de ce monde explorer les forêts interdites, combattre des monstres sans nom, découvrir ce qu'il restait à découvrir ,mais  il rêvait le plus dés sa première année c'était de devenir ce que certains appelaient un Auror. Il rêvait de leurs capes de leurs combats épiques contre des mages noires sanguinaires, mais par-dessus tout, il voulait faire un parti de l'élite, bon peut-être pour impressionner les filles aussi, il avait eu quelque copine à Poudlard, mais rien de sérieux, il trouvait les filles trop ennuyeuses et pas assez hommes, pas assez capables de rivaliser avec les terribles créatures des ténèbres. Peut-être qu'il avait raison, mais on le saura jamais, ces Irlandais sont comme dirait Freud imperméable à la psychanalyse. George sortit dans les cinquante premiers aux buses et aux Aspics, il aurait pu faire mieux. Cependant, il fut embauché par le ministère comme Auror et pendant de longues années, il traqua les mécréants et les irréductibles chieurs qui infestaient sa pile de bureaux. On peut dire qu'il était fait pour ce boulot, il y a quelques années si Winston Churchill l'avait vu, il aurait bien rit de l'Ironie, un Irlandais qui chasse des Anglais sur leurs propres terres. Il fit tout cela en écrivant le légendaire mais méconnue grimoire du chasseur sans tête. Un livre avec des notes précises, des instructions, des règles qui permettaient à chaque Auror débutant d'apprendre le métier et de devenir excellent, cependant aucune maison d'édition ne publia le dit libre, dont plusieurs dizaines de pages ne voulait strictement rien dire et où se trouvait des notes pour apprendre à découper en tranches un humain morceau par morceau et dans la plus grande et joyeuse souffrance, il faut dire que Collins avait trop prit goût à son métier, il était le feu dans l'ombre, le bouclier des hommes, l'homme qui monte la garde sur le rempart, le gardien de ce petit paradis qu'on appelait le monde des sorciers et il ne supportait pas qu'une bande d'encapuchonné leur mène la vie dure. Oh bien sûr lorsque Voldemort sema la panique, il reçut quelque éclaboussure, mais rien de trop grave, deux trois séjours à l'Hôpital. C'est lorsqu'il y quatre ans que la vie du jeune Collins changea du tout au tout alors que sa sœur était à Poudlard, les mages noirs prirent le pouvoir. Collins détruisit son dossier ainsi que celui de quelques autres fugitifs après avoir piéger son bureau, il quitta les lieux et on n'entendit plus parler de lui jusqu'à ce que cela fasse la une des journaux. Les parents de George étaient morts de façon, peu commune, le chef de la police de Cork n'avait aucune marque de lutte ni de coup, George savait bien ce que cela signifiait, c'est pour cela que trois mois plus tard, il se faufila et découvrit au ministère et pas quelques brillante manœuvre que c'était Arthur Riverstone qui avait ôté la vie à ses parents outre le fait qu'il connaissait Arthur, il l'avait aussi formée. Il décida alors d'entrer dans la maison alors que la fête du mariage d'Arthur battait son plein et une fois que la mariée fut montée en haut, il la démembra et la décapita, détachant à coup de couteau de cuisine les doigts des ses mains pour coiffer son crâne d'une couronne de doigt, prenant soin de placer le doigt avec l'anneau au milieu, il signa sa tête de sa petite marque et il s'amusa à refaire la décoration avec tripes, boyaux, résidus d'estomac et os encore frais avant de s'éclipser. C'est ainsi que commença le sombre chevauché de George main-rouge, le boucher d'Irlande ou encore le meurtrier au gants blanc.