ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — c'est à cette belle époque, sans encombre, sans noirceur, érigée sur les cendres d'un passé encore fumant, que Ginevra Weasley a vu le jour. Dernière enfant, d'une lignée à la chevelure flamboyante, le trésor tant attendu par sa mère : une petite fille, fleurissant dans la chaleur du mois d'août de l'année 1981 (le 11 plus précisément). Ginny était la cadette, Ginny était la cible des moqueries, des petites blagues, le centre de gravité des attentions : seize années de bonheur ont jalonné son existence, l'apothéose s'accrochant à ses lèvres avec le baiser d'Harry Potter sur sa bouche. Depuis, les quatre dernières longues années de son existence n'ont été que tumultueuses complications, un Enfer durement traversé : à vingt ans aujourd'hui, la Weasley peut se targuer d'avoir affronté des affres d'existence plus ténébreuses que beaucoup. PROFESSION — discrète et doucereuse, elle avait embrassé du bout des doigts l'ambition de devenir une joueuse de Quidditch professionnelle : poursuiveuse à Gryffondor, elle avait fait des merveilles, le patronyme des Weasley irrémédiablement raccroché à la victoire des rouge et or à la Coupe de Quidditch de Poudlard. On avait scandé son nom parmi les rangs de ses camarades, et l'adrénaline d'une vie d'aventure avait pulsé dans ses veines. Et les Ténèbres sont venus, se sont emparés de Poudlard, dernier bastion résistant au retour de Lord Voldemort. Dumbledore, puis Harry, tombant dans le néant. Ginny Weasley s'est lancée à corps perdu dans l'espoir de survivre ; la loyauté se transformant en désir de vengeance lorsque le Mage Noir et ses fidèles ont mis en route la machine infernale qui a peu à peu effrité toute son existence. Le monde de Ginevra Weasley s'est effondré, et désormais l'envie de s'engager dans une voie aussi lointaine que le Quidditch, lui semble utopique. NATURE DU SANG — le sang n'a jamais été synonyme de puissance pour les Weasley : c'était ce qui les rendait roux, ce qui faisait d'eux une famille étroitement liée. A l'esprit de Ginevra aujourd'hui, le sang était ce qui la rattachait à ses parents, à ses frères - ce n'était pas le signe d'un statut privilégié, d'une suprématie quelle qu'elle soit. On regardait les Weasley comme des traitres à la propreté de leur héritage ; la fascination du patriarche de la famille envers les moldus étant perçue comme une honte par beaucoup. Jamais elle ne pourrait qualifier le sang coulant dans ses veines comme immonde, quand bien même sang-pur est désormais associé à des extrémistes fous. Ginny est une Weasley, jusque dans les profondeurs de son corps, chaque fibre de sa peau : emplie de vilénie, les flammes de ses cheveux ayant glissé jusqu'au fond de ses prunelles, elle défend bec et ongles l'héritage qui est le sien. Non pas celui d'un statut de sang, ni même celui d'une longue histoire sorcière dénuée d'empreinte moldue. Celui des Weasley du Terrier de Loutry Ste Chaspoule. Celui d'Arthur et Molly Weasley, membres de l'Ordre du Phénix, et éternels défenseurs de l'honneur du monde magique. BAGUETTE — à insérer ici STATUT MATRIMONIAL — il n'a que sans cesse varié : Ginny Weasley était, dès son entrée à Poudlard, une jeune fille très prisée par les garçons. Invitée dès sa troisième année par Neville Londubat au bal de Noël, la rousse a pris ses aises, et a peu à peu flirté avec ceux qui posaient une attention sur elle. A écouter Ron, il était une époque où Ginny avait sans doute embrassé tous les garçons de Poudlard. Tous, sauf un. L'irrémédiable un qui éveillait en elle le spectre doucereux d'une fleur fragile : d'une œillade, Harry Potter l'a toujours faite rougir, bégayer avec excès, agir comme une petite fille intimidée. Timide et fuyarde dès qu'elle croisait Harry, il a fallu à la Weasley tout le soutien d'Hermione Granger pour se parer à nouveau d'assurance. La présence de Michael Corner et de Dean Thomas dans un petit coin de son cœur a, parfois, réussi à effacer le visage de Harry ; lui qui, au fond, n'avait d'yeux que pour Cho Chang. Son histoire avec Harry Potter a, finalement été aussi fugace que passionnée ; maintes fois, elle avait pensé à ce que pouvait être, la chaleur d'un baiser de celui qu'elle avait toujours aimé. Leur premier baiser est resté un secret soigneusement enfermé dans la Salle sur Demande, réponse inévitable aux longs regards lascifs, discrets, qu'ils s'étaient lancés tout au long de sa cinquième année. Elle a pu toucher ce bonheur sans nom en une caresse, avant que tout ne lui échappe : sous les lumières chaudes, jaunâtres du mariage de Fleur et Bill, Ginny a senti Harry lui prendre la main une dernière fois. Poser son regard vert avec attention sur elle, comme pour embrasser les traits de son visage et en dessiner chaque détail dans sa mémoire. Mémoire qu'il a emporté dans sa dernière demeure ; le silence de ses songes. Seule, triste, vibrant d'une colère incontrôlable, Ginevra a parfois du mal à croire qu'Harry Potter s'est éteint, et qu'il a soufflé un froid glacial sur les braises de son cœur meurtris ; embrasser Harry pour la première fois l'a fait battre plus vivement que jamais, le perdre a plongé dans un sommeil infini tout l'amour qu'elle pouvait avoir encore pour ce monde. Aujourd'hui, Ginny Weasley ne ressent qu'une haine froide quand elle se plonge pour sonder les profondeurs de ses ressentiments - et elle se persuade que jamais, jamais elle ne pourra aimer qui que ce soit d'autre qu'Harry Potter. ANCIENNE MAISON — profondément juste, loyale, courageuse et caractérielle, a vibré dans les veines de Ginevra Weasley ce qui semblait être une évidence pour le Choixpeau : tous ses frères ont trouvé leur place au sein de la maison de Godric Gryffondor, et Ginny, l'unique fille, a suivi leurs traces. Peut-être que sa fougue, son investissement, en ont surpris plus d'un : bien souvent avait-elle agi en secret de ses frères, ne révélant ses talents et grandes valeurs, qu'une fois ayant franchi les portes de la grande école de Magie. Ron, Fred et George l'ont découverte brillante sur un balai, aussitôt qu'elle a fait ses premiers pas en Quidditch pour l'équipe de son école. Pleine de surprises, il s'est avéré que le Choixpeau avait su lire au plus profond des talents cachés de Ginny ; et qu'il avait su trouver la place qui était sienne. L'or et le rouge sont les couleurs qui représentent le mieux la jeune Weasley ; celles de l'inépuisable fidélité qu'elle vouera au souvenir de Harry, celles de la fougue qu'elle est prête à mettre pour aider la rébellion, et sceller le Destin de ce monde ténébreux, afin que jamais Harry, Hermione, Fred, George, et tant d'autres ne soient morts en vain. PATRONUS — peut-être est-ce de la poésie stupide, le sentiment démesuré d'une adolescente doucereuse, mais le patronus de Ginny a toujours eu une valeur importante pour elle. C'est au sein de l'Armée de Dumbledore, en quatrième année, qu'elle a appris à en créer un : et ce n'est nul autre que Harry Potter qui lui a enseigné le sortilège du Patronus. Elle se souvient, du regard qu'il a attardé sur la forme argentée qui avait fini par souffler hors de sa baguette ; un haut cheval se cabrant avec sagacité. Un air vaillant, conquérant - les souvenirs heureux, elle en avait à foison, à l'époque. Avec Harry, le cheval s'est envolé, quelques temps durant, des océans de chagrin faisant disparaître l'amas argenté dans le néant : peut-être y avait-il un temps où Ginny n'aurait eu même aucun moyen pour se défendre face à un Détraqueur. Aujourd'hui, il lui arrive de voir se dessiner dans la lumière une crinière virevoltant, la forme pâle et floue d'un grand animal. Rien de plus, car il semblerait que, comme les ténèbres, le chagrin ait commencé à empoisonner ses souvenirs. EPOUVANTARD — à insérer ici CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — à insérer ici GROUPE — à insérer ici

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MON ÂGE — 21 ans, j'ai la majorité partout dans le monde, je peux me bourrer la gueule à l'internationale,    
MON PAYS — la France des insomniaques, vous avez vu à quelle heure je suis debout ? Demain je vais larver toute la journée, again !
MON AVIS SUR LE FORUM — il est bien sympathique, beau, halloweené, et en plus le contexte est vraiment bon !   Tout ce que j'ai à dire, c'est qu'à m'inscrire si tard, j'ai la migraine.
MON PERSONNAGE — [] inventé [x] prédéfini [] scénario, j'ai vu que Ginny était déjà tentée, mais la personne ne s'est pas connectée depuis quelques jours, et a commencé sa fiche il y a un petit moment, alors je me dis qu'il y a peut-être une ouverture (d'où le pseudo également), je tente, car qui ne tente rien n'a rien.
MON AVATAR — Sophie Turner, la classe suprême  
COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — en passant une nuit blanche ?  
UN DERNIER MOT MAGIQUE — doliprane   j'essayerai de communiquer quelque chose de plus clair aussi vite que possible ! Désolée pour la compétition, si l'autre Ginny revient, mais je ne pouvais pas passer à côté du personnage   si ça pose vraiment souci, je pourrai cogiter à autre chose. (credits @baellor, tumblr)

Vous pouvez choisir de faire un rp sur un thème que nous vous fournissons. Vous pouvez tout supprimer pour les consignes et rédiger votre test écrit ici en choisissant un des quatre thèmes fournis à la suite. Le choix vous appartient, il doit être le plus concordant avec votre personnage et sa carrière, son choix de vie (vous ne pouvez pas avoir vu Voldemort au ministère si vous êtes commerçant par exemple). Vous devez détailler le rp, faire ressentir les émotions et sentiments de votre personnage et se concentrer sur le thème en ajoutant des anecdotes.

   

THÈME ÉCRIT (1) : l’exécution publique
   Nous sommes le premier mai de l'année 1998. La grosse horloge Big Ben sonne midi. Un échafaud a été monté à l'occasion en plein cœur de Diagon Alley. Les agents du ministère et des mangemorts entourent les lieux, des prisonniers montent sur l'estrade dont Hermione Granger ou encore Dean Thomas. Ils sont tous menottés et silencieux. La foule s'amasse et plusieurs rayons verts frappent un à un les prisonniers. Vous êtes là, dans la foule et vous ne dites rien. Sans un mot, vous assistez à l'exécution de chacun de ces gens. Vous êtes surpris, choqué, effaré, heureux de voir enfin ce monde sombrer vers les ténèbres ? Merci d'appuyer ici sur la psychologie de votre personnage, ce qu'il ressent, les émotions qui le frappent à cet instant, quand l'espoir s'envole.

   THÈME ÉCRIT (2) : l’attaque du convoi
   C'est le mois d'avril de l'année 2000. En ce jours assez chaud pour la saison, le gouvernement magique qui est désormais dirigé par les anciens mangemorts et Voldemort fait venir un convoi à Gringotts. Il s'agit de plusieurs coffres scellés qui sont amenés sur le dos d'un dragon de la race d'un Boutefeu Chinois dressé par des spécialistes. Alors que le dragon arpente la ruelle principale du Chemin de Traverse qui a été sécurisée pour l'occasion, un assaut dirigé par Seamus Finnigan frappe le convoi. Les agents du ministère sont attaqués et le dragon perd tout contrôle. Le but de cette action ? Faire savoir que la résistance est toujours là et récupérer le convoi qui contient principalement des galions d'or afin de financer la résistance. Vous étiez là, un simple passant, un agent du ministère ou un résistant qui souhaitait se faire entendre. Vous avez participé à tout cela, décrivez nous vos actions et votre ressentiment par l'assaut du convoi.

   THÈME ÉCRIT (3) : l'instinct du chasseur
   Autrefois, il y avait les rafleurs, aujourd'hui, il y a la Brigade Rouge chargé de la sécurité intérieure du pays. Vous êtes le chasseur, vous poursuivez un fugitif, qu'il soit un cracmol, un né-moldu en fuite, un hybride, un ennemi de l'état qui a essayé d'atteindre à la vie du ministère. Votre objectif est de l'arrêter à tout prix, alors vous êtes prêt à tout pour arriver à vos fins. L'échec n'est pas toléré et la paix n'a jamais été une option, vous le savez. Vous poursuivez votre cible, vous devez l'arrêter, jusqu'où irez vous pour y parvenir ? Vous devez décrire vos actions, ce que vous êtes prêt à faire pour le gouvernement et les mangemorts, faire ressortir vos pires sentiments.

   THÈME ÉCRIT (4) : vivre ou survivre
   La fuite était la seule option pour vous. Vous avez du tout quitter. Adieu votre vie privée, votre famille, vous n'êtes partie sans rien, juste votre baguette pour tenter de survivre. Vous avez voyagé partout dans le pays, vous avez squatté quelques vieilles fermes abandonnées, vous avez même du vous nourrir vous même, vivre comme un délinquant aux yeux des moldus pour échapper à ce gouvernement. Vous avez du vous battre, affronter la Brigade Rouge et les détraqueurs puis vous êtes arrivé au château de la famille Shafiq. Vous avez enfin un nouveau foyer, un endroit où vous reposez, mais qu'allez vous faire ? Vous battre ? Vous devez décrire ici, le long parcours de votre personnage, les épreuves qu'il a partagé et son ressenti aujourd'hui, vis à vis de la situation actuelle.