ÂGE, LIEU ET DATE DE NAISSANCE — La sagesse est loin d'être révolue à l'âge de la majorité. Cet âge n'a guère le monopole de la sagesse par ailleurs, il n'y a pas d'âge à cet attrait. D'ici quelques temps seulement, elle soufflera ses vingt-et-une bougies, une année de plus au compteur. Rien ne change et les années se ressemblent. Pansy à néanmoins vue le jour un certain trois septembre a la clinique de Sainte Mangouste, à Londres (Grande-Bretagne). PROFESSION — Les ambitions de petites filles n'ont guère su se prononcer, elles sont presque restés latentes, comme atones. S'il y a encore quelques années, elle nourrissait l'envie de poursuivre une carrière de chimiste, elle trouve néanmoins dans un premier temps une place en tant qu'aide-soignante à l'hôpital de Sainte Mangouste. Aujourd'hui la difficulté de la réalité l'oblige à chercher une autre place afin de subvenir à ses besoins. Malgré les aléas et les difficultés, elle est parvenue à trouver une petite place en tant que serveuse au Chaudron Baveur. Un job qu'elle ne peut refuser et qui s'avers être une opportunité d'autant qu'elle y travaille uniquement le soir. NATURE DU SANG — Aussi loin que remonte ses souvenirs et les dires de ses propres ancêtres, la famille Parkinson a toujours été d'ascendance pure. Un statut qui par le passé affichée une importance capitale. Au même titre que son frère ainée, la jeune brunette est également issue d'une ascendance dites pure. Néanmoins sa famille a été déshonorée pour les punir des actes du passé. BAGUETTE — L'outil élémentaire de tous les futurs jeunes sorciers. Travaillée dans du bois de mélèze qui souligne l'attrait de l'orgueil, la baguette de la jeune femme contient en son cœur une écaille de sirène. D'une longueur de vingt-huit centimètres tout juste, sa baguette se veut avoir des prédispositions pour les sorts dits défensifs. STATUT MATRIMONIAL — Aimer n'a guère besoin de raison pour s'exprimer. S'exprimer en aimant n'a guère non plus besoin de raison. Pourtant c'est bien vrai, le cœur à ses raisons que la raison ignore elle-même. La brunette a déjà aimée par le passé, elle aime d'ailleurs encore en silence dans ses pensées les plus profondes. Un cœur solitaire, un cœur complexe. Pansy est désormais célibataire et apprivoise chaque jour qui s'écoule pour se faire une raison. ANCIENNE MAISON — C'est sans grande surprise qu'elle rejoint les rangs de la maison de l'étendard de Salazar Serpentard - comme la plupart des membres de sa famille hormis peut être sa figure maternelle -. Une ambition révélée, une intelligence malicieuse, Pansy avait tout d'une élève du blason du serpent. Le vieux bout de chiffon magique n'a aucunement hésité. PATRONUS — A l'image d'une sensation qu'elle a oubliée, mais à l'image du première homme qu'elle a aimée le patronus de la jeune Parkinson prend forme d'un paon. Un animal dont le tempérament fier et orgueilleux est également l'emblème de la maisonnée des Malfoy. Un détail significatif lorsqu'on a connait en profondeur finalement.   EPOUVANTARD — L'une des peurs les plus profondes,  celle que l'on refoule quoi qu'il arrive, qui vous tétanise. Son épouvantard prend la forme d'une vision d'altitude, de vide. La plus peur la plus primaire de la demoiselle est on ne peut plus basique puis qu'elle à une peur farouche du vide. Elle a tout simplement le vertige lorsqu'elle doit grimper en hauteur d'où son inimitié pour les cours de vol à l'époque. CICATRICES ET MARQUES VISIBLES — Contrairement à quelques membres de son entourage, Pansy à su épargner à son corps les douleurs physiques bien qu'une cicatrice en forme de vague se distingue sur la peau d'ivoire de son avant-bras gauche. Une marque qui résulte d'un duel plutôt rude deux sorciers. Elle s'est trouvée au mauvais endroit au mauvais moment comme on pourrait le dire. Une plaie ouverte qu'elle a soignée à l'aide d'une potion qu'elle conserve toujours sur elle, mesure de précaution. Pour le reste tout est gravé au fer rouge dans sa mémoire. GROUPE — Wandering soul.

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MON ÂGE — 100 pierres et des neiges.
 MON PAYS — planète France.
 MON AVIS SUR LE FORUM — toujours le même avis, il est superbe.
 MON PERSONNAGE — [] inventé [] prédéfini [x] scénario
 MON AVATAR — alice englert.
 COMMENT J'AI DÉCOUVERT LE FORUM — bazzart le grand mon ami.
 UN DERNIER MOT MAGIQUE — felix felicis  

Sur les premiers flocons de neige d’un hiver particulièrement rude, j’admire ce qui aurait pu être le début d’un prélude. Le mien, celui d’une banale histoire où l’assurance d’une existence n’est qu’une bascule éphémère. Tel un funambule habile et gracieux j’admire ce qu’il reste d’une esquisse où sentiments et ressentiments se mélangent et s’affrontent. En équilibre sur  mon fil, je me penche un peu trop en avant en espérant y voir l’espoir renaitre à nouveau tout comme un phœnix pourrait renaitre de ses propres cendres. Un leurre qu’est l’espérance, un piège qu’est le cycle de la vie. Un équilibre instable, insaisissable et imprévisible. Sur les feuilles tombantes d’un automne étonnamment emplit de lumière, j’écris de ma plume ce qui peut être la fin d’un amour amer.


La perfection est une parcelle de beauté. Une beauté fascine, elle entretient le mystère et s’ancre dans l’air du temps. La perfection doit toujours être ton objectif. Ton paternel mettait toujours un point d’honneur sur des paroles aussi catégoriques. Il aimait la perfection. Un mot qu’il élevait au même rang que la blancheur nette d’un flocon de neige. Il ne doit y avoir aucune tâche sur le chemin que sera ton existence. Chacun de tes gestes, chacune de tes paroles doivent être parfaites. Il n’y a pas d’erreur, il ne doit pas y en avoir, jamais. Assise derrière l’instrument à cordes frappées, sur un tabouret de velours bleu encre de chine, tes longs doigts graciles frôlent les touches d’un clavier dont la couleur ivoire tranche nettement avec les manches de ton gilet.  Les touches du piano sont froides une température qui contraste avec la chaleur corporelle de ton corps habituellement compté à trente-sept degré. Ta mère te dit bien souvent que si tes mains sont froides, tu ne dois jamais douter que ton cœur est chaud. Ton index se pose sur une touche, laissant un son harmonieux s’élever dans le grand salon de la maisonnée de ton enfance. Tu appuis sur une deuxième touche, puis une troisième. Très rapidement tes deux mains s’adonnent à s’accorder en une chorégraphie dont l’habilité n’a pour toi aucun secret. La mélodie classique est comme enivrante et vivante sous le bout de tes doigts, vibrant jusque dans ton esprit d’une manière agréable. Les cordes de l’instrument vibrent avec passion et raison, les accords sont si redondants dans ta mémoire que tout à un sens, une signification bien précise. Tu es la musique et ce dernier fait corps avec ta conscience comme pour épouser chacun de tes mouvements. Les paupières closes, tes mains s’activent à un rythme déconcertant, alors que tes mèches d’un noir corbeau s’échappent de ta queue de cheval. Une chevelure aussi noire que la nuit, un héritage que tu tiens de ta figure maternelle. L’harmonie de la mélodie résonne en écho au sein de la pièce, rebondissant sur les murs comme deux joueurs se revoyant une balle à intervalles plus ou moins réguliers et intenses. Tu n’as alors plus conscience de l’environnement qui t’entoure, juste la musique et ses ressentis. Juste la perfection de la musique et rien d’autres. Tout doucement, cette dernière revient à des flirts de rythme plus lents comme le serait une valse à trois temps. Tes doigts ralentissent, donnant une certaine légèreté à ce morceau de grand compositeur polonais. A la minute où le son salvateur de cette mélodie cesse, des applaudissements sourds viennent frapper à ton oreille. Tu rouvres alors délicatement les yeux, ces derniers se fixant sur le clavier sur lequel tu viens d’effectuer ton jeu musical. « Une composition de choix ma chérie, et exécuté à la perfection de surcroit. ». Déclare-t-il d’une voix rauque et limpide tout en disciplinant le bout de sa moustache dont la teinte poivre et sel laisse supposé la sagesse avancé d’un certain âge. Tu étais l’enfant que l’on attendait plus, une surprise bienveillante et inespérée d’après les dires de ta figure maternelle. En songeant à sa personne, des pensées tendres teintées d’une grande fierté étirent tes lèvres.  Du haut de tes dix années, tu pouvais lire toute la dignité qui brillait dans le regard orgueilleux de ton père lorsque cela concernait ton frère ainé. Un lien fraternel à la fois fort et implicite à l’œil du monde qui tourne. Douze années de différence d’âge certes, mais une distance qui vous permet d’une certaine façon de vous comprendre. Là où des conversations futiles sont inutiles, elles apprennent à le devenir. Les mains sur les genoux, Loren Parkinson esquisse un sourire suffisant empreint d’un calme qui révélait qu’il réfléchissait. Il aimait l’attrait de l’intérêt, Il aimait penser là où ta mère agissait toujours avec une fine sagesse. Tu étais ambitieuse et particulièrement assidue sur l’ensemble de ton existence et de tes buts personnels. La vanité avait une certaine place dans tes traits de ta personnalité, une manière toute particulière pour ne rien laisser paraitre pour te cacher derrière le sarcasme. Debout devant la fenêtre de la grande terrasse le chef de la famille observe tes cousines jouaient dans le jardin familial. Guère plus âge que toi de quelques années seulement, tes cousines vivaient à des kilomètres de ta réalité te semble-t-il. « Lorsque tu seras affecter à ta maison, n’oublie pas ce que je t’ai appris Pansy … ». Comment occulter des propos qui ont rythmés toute votre vie depuis que vous êtes en âge de comprendre. Tu esquisses un sourire à la fois discret et malicieux tandis que ces fameuses paroles défilent dans ta tête. Des talons claques sur le sol carrelé du salon, laissant ainsi apparaitre la silhouette élancé et svelte de ta mère. Cette dernière te considère d’un sourire aimant et emplit de fierté. « Comment veux-tu qu’elle l’oublie Loren ?! Tu ne cesses de lui répéter la même chose, je crois qu’elle a compris. ». Réplique-t-elle doucement tout en venant s’asseoir à ton coté, une main entourant ton épaule. Elle caresse tes cheveux tendrement avant de les rassembler sur un côté juste avant que ses doigts fins viennent à son tour s’éprendre du piano. Tu l’observes jouait avec une hardiesse langoureuse et passionnée. Tu apprécies de l’entendre et même si cela se fait de plus en plus rare c’est pour toi une bénédiction louable et individuelle. La musique s’évapore tel un tourbillon de mot comblant le silence. « Je te demande une seule chose lors de ton entrée au collège ma douce, c’est tout simplement de profiter du moment, hm. ». Tu ne sais plus si c’est la jeunesse de ton âge ou bien l’insouciance de ce dernier, mais ses mots prennent désormais une dimension que tu aurais souhaité entrevoir de manière différente à l’époque. La perfection est une parcelle de beauté. Une beauté fascine, elle entretient le mystère et s’ancre dans l’air du temps. La perfection doit toujours être ton objectif. Tu étais parfaite à leurs yeux, mais tu cherchais à réussir partout dans chaque domaine quitte à mépriser pour y parvenir.


Tu te perds, tu te noies. Dans le bleu de ses yeux, dans le bleu de son âme. Cela a toujours été ainsi. Du temps de l’adolescence où il était sûr de lui, à ce temps actuel où il ne semble plus qu’être l’ombre de lui-même. A cette direction, tu empruntais le même chemin. Une conscience fatiguée, épuisée, loin des grandes espérances ambitieuses que tu avais pu nourrir par le passé. Les mangemorts comme le nouveau gouvernement avaient jetés déshonneur et malchance sur votre famille. Les Parkinson d’autrefois n’étaient eux aussi plus l’empreinte d’un souvenir. Tout te paraissait éphémère et las. La lumière au bout du tunnel te semblait impossible à apercevoir, mais la colère et le sentiment d’injustice t’a permis d’avancer d’une manière à laquelle tu ne t’attendais pas. Grandir rapidement, changer en l’espace d’un instant, durant des paroles prononcées. On était bien loin de la transformation d’un cocon d’une chenille à un papillon, seulement à bien des égards ce dernier se brulerait les ailes. Tu te brulerais les ailes, mais la passion intérieure avait pris les devants bien avant que tu ne puisses laisser la raison parler. Les genoux relevés au plus proche de ta poitrine, tu sens les battements de ton cœur émettre un rythme à la fois régulier et lourd. Plus tu te mets à réfléchir, plus tes pensées voguent à une allure fugitive. Elles tourbillonnent, s’emprisonnent. La folie est un échappatoire de raison à la fois douce et utopique mais tu repousses très vite cette éventualité. Le silence d’un prix, le prix du silence intérieur est la seule solution pour le moment. Les mains autour de tes jambes, tu déposes ton menton sur tes genoux. Tes longs cheveux noirs reposent tel un halo tout autour de ton visage, son souffle caressant ton oreille alors qu’il se redresse. « J’aimerai que le temps s’arrête, juste quelques instants. ». Un phrase posée et simple. Son timbre est calme, ses prunelles parsemées d’une lueur bleutée – à nul autre pareil – sont ailleurs calquées sur l’horizon de ton regard. Les bras croisés derrière sa tête, il te couve d’un regard franc comme s’il pouvait lire entre tes lignes. La culpabilité de la tourmente le ronge et tu ne peux que le comprendre. Les bras croisés derrière la tête, il observe désormais les rayons du soleil qui se frayent par la fenêtre. Le vague à l’âme l’emporte très souvent dans une brume obscure qui parfois lui est difficile tant il lutte contre les tourments de son passé. Ses démons, des démons que vous partagiez d’une certaine manière. Il se redresse en position assise, le drap blanc tombant quelque peu de son torse. Sa tignasse d’un blond particulier presque couleur des sables est quelque peu en bataille, mais sa main qui agrippe la tienne avec possession est chaude. Un contraste flagrant contrairement aux tiennes qui sont toujours froides. Le sorcier s’approche un peu plus de toi, déposant son autre main sur ta joue. « Tu as toujours les mains froides il n’y a rien à faire, hm ? ». Te dit-il avec une légèreté qui te désarme. L’entendre rire c’était comme entendre les fracas des écumes de la mer tantôt apaisant, tantôt brutal.  Un sourire mélancolique mais sincère se dessine au coin de ta lèvre, tes iris embrasant les siennes. « Il parait que les gens qui ont les mains froides possèdent un cœur chaud. ». Ton intonation est amusé et douce à la fois, une lueur de jovialité que tu sembles lui transmettre depuis sa sortie de l’hôpital. Les cernes autour de ses yeux ce sont pratiquement estompées mais l’inquiétude et la pesanteur dans l’éclat de ses yeux demeurent intactes. Une facette pour en cacher une autre, juste avant d’embrasser le revers d’une médaille et de ses conséquences. Vos doigts s’entremêlent, son souffle dansant sur tes lèvres. « Je peux en témoigner, c’est vrai … ». Dit-il tout en déposant un léger baiser sur ta joue avant t’embrasser avec une tendre quelque peu ardente. Tu vivais une histoire de passion et de cœur tandis que tes parents – tout comme toi – mènent un combat pour venir en aide à des nés-moldus. Un concept bien lointain de l’éducation que tu as pu recevoir mais tout à changer. Tu as changé. Les mains du sorcier jouent avec le bas de ton t-shirt d’un bleu foncé. Tu te recules légèrement pour le toiser calmement et silencieusement tu prends la mesure d’une vérité dont il repousse l’échéance. « Qu’est-ce qu’il y a ? ». Une interrogation qui prend plutôt des allures d’affirmation. Tu le connais trop bien pour qu’il puisse te mentir. Il soupire avant s’asseoir au bord du lit, fuyant ton regard demandeur de réponse et de vérité. « Je ne voulais pas être aussi brutal mais je crois que tous les deux on en a fini Pansy. ». Une voix rude, dépourvu de chaleur et de sentiments et ce rien qu’en l’espace de quelques minutes. Tu fronces les sourcils, interdite. « Tu … tu ... pourquoi d’un coup ce revirement ?! Qu’est-ce qu’il y a vraiment Draco ? C’est ton père ? La pression de ces fichus partisans ! ». Tu t’en veux de te laisser submerger, de dépeindre la non maitrise de ton calme alors que désormais c’est l’une de tes armes primaires pour ne le plus souffrir. Il passe une main dans ses cheveux, avant de se redresser pour se vêtir de ses vêtements. Il ne t’adresse aucune parole quand bien même ton regard accusateur l’accompagne dans chacun de ses gestes jusqu’à ce qu’il arrive près de la porte de la chambre. « On évolue désormais dans deux mondes différents. ». Satanées paroles dépourvues de tous sentiments. Il ouvre la porte puis se fige à l’écoute de ta voix. « Tu mens Malfoy. ». Puis il disparait laissant la porte se refermer derrière lui.

Ces dires hantent encore mon esprit alors que j’entends encore les discussions fusées autour de la prochaine union de l’héritier de la famille Malfoy. Une réalité qui fait mal mais dont je dois m’accommoder pour tromper les apparences. J’ai appris que l’amour est passager, qu'il file entre les doigts. Un sentiment qui meurtrit le cœur puis l’âme. Mon cœur autrefois chaud devient sibérien et ma douceur devient ire. La flamme continue de bruler pour lui, je ne sais pas pourquoi, tout m’échappe.

c'est une fiche parfaite comme toujours ma petite Audrey, je savais que je ne serai pas déçue, bien au contraire ! ta plume est juste divine et tu t'es parfaitement appropriée le personnage de Pansy. J'ai hâte que nous puissions rp ensemble encore avec nos autres perso

Félicitations petite chouette, te voici validé Alors, tu peux désormais venir rp et t'éclater avec nous sur le forum ! Le flood est ouvert, mais aussi la chatbox ! Ne néglige ni l'un, ni l'autre. Pour commencer, tu peux recenser ton avatar afin qu'il puisse apparaître dans le bottin voilà voilà, tu auras ta carte chocogrenouille !
Ensuite, afin de t'intégrer sur le forum, de faire ton petit nid douillé, tu vas pouvoir créer tes liens en ouvrant un sujet. Nous te proposons un modèle que tu trouveras dans ce sujet. Tu vas aussi devoir te recenser dans différents sujets. Dans un premier temps, la nature de ton sang, puis ensuite, ta profession si tu souhaites travailler, bien entendu. Si ton personnage est un ennemi du gouvernement, fais un tour par ici pour te recenser. A la fin, tu pourras aussi recenser ton patronus dans ce sujet et dans le cas où ton personnage a un don magique, il faudra également le recenser ici. Quand tout ceci est fait, tu peux créer un scénario, mais lis bien les règles qui se trouvent par ici ! Nous te souhaitons donc un agréable jeu parmi nous. N'oublie pas de venir nous laisser un petit mot dans le flood et si tu as des questions, nous sommes à ton entier disposition